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mardi 23 septembre 2008

Bon Anniversaire Lololalolo

C'était hier, nous assistions au mariage de notre "claviers" avec celui qui n'était pas encore le 'GGR'( Grand Galeriste Reconnu) sur tout le Languedoc et au delà : Philou.
La virginale pureté de cette jeune femme à peine sortie de l'adolescence irradiait sa beauté à 360° (par contact, même Philou paraissait beau).Aujourd'hui, quelques années se sont écoulées. Devenue la titulaire incontestée des "keyboards" des UFR, celle que l'on nomme désormais LOLOLALOLO,pose ci-dessous dans son costume de scène.


Bon Anniversaire Lolo !

Allez, pour le fun, on ne s'en lasse pas.... Une petite photo "Vintage" sortie de nos archives.
Sur celle-là,on a l'impression que lolo, qui n'a pas changé, pose à coté de Toto.

18 commentaires:

Pascale a dit…

Bon Anniversaire Lololalolo !

The Undertakers 5 a dit…

oh ?

(je me frotte les yeux... je n'en crois pas mes petits yeux...)

Anonyme a dit…

moi je me frotte les mains!

pascale est de retour


poun

Anonyme a dit…

Ecoutez : Les groupes, c'est comme un bon sandwich :
Le batteur, c'est le pain. Il laisse un goût en fond, on y fait pas trop attention, mais il est vital : sans lui, tout se barre en couille
Les guitaristes, c'est le jambon : c'est le goût dominant, ceux qui attaquent, ceux qui donnent le goût aux sandwich. Mais il en faut pas trop.
Le chant, c'est les cornichons : c'est celui qui se dépose devant tout le monde. Pas long en bouche, mais très agréable, et dominant quand il est là. On peut éventuellement s'en passer.
Le clavier, c'est le beurre (de cacahuète ou pas), la mayonnaise, le fromage parfois : Il se marie super bien avec le reste, il lie toutes les saveurs entre elles, en trame de fond. Mais faut pas déborder, sinon ça coule.
Le bassiste, c'est la salade : Il a aucun goût, il est pas spécialement agréable. Mais il fait joli. Alors on en met, c'est l'usage.


...

Anonyme a dit…

Je ne sais pas qui tu es "anonyme".(Pour plus de commodités ,je vais te baptiser Eustache.)J'ignore donc ,disais-je, si tu es un bassiste en pleine dépression , si tu souffres de quelque trouble de l'audition, ou si tu es un piètre cuisinier, mais dans tous les cas ,tu te trompes, Eustache (on la sentais un peu venir celle-là, non?)
La basse est hyper importante et , pour rester dans ta très cocasse parabole du sandwich,je verrais bien la basse être la deuxième tranche de pain .Partageant ainsi avec la batterie , le rôle primordial de tuteur, d'ossature du morceau.
C'est bien la moindre de ces fonctions.
Et puis,Eustache, tu serais peut-être un peu embarassé si tu devais dire à un Mac Cartney,un Sting ou un Stanley Clark que ce n'est rien qu'un branleur qui n'existe que pour le décor ou la coutume !..
P.

Anonyme a dit…

Bienvenue chez toi Pascale.
Tu nous as manqué.
P.

Anonyme a dit…

Bon, j'étais en pleine déprime musicale sachant que je n'arrivais pas à la cheville des autres membres du groupe et l'intervention de" l'anonyme" confirme mes certitudes (j'ai dépassé le stade du doute),car dans le sandwich, rien au sujet de la choriste.
Donc ma décision est prise, comme je ne manque à personne, je vous quitte!

Adieu, je vous aimais bien quand même.

O---e

The Undertakers 5 a dit…

Voila, bien joué Pierrot ! avec tes histoires douteuses de restauration rapide, ben tu me l'as déprimée mon Odile aux blanches mains.

Pas mal le coup du clerc et du capelan, "je fais un commentaire injurieux pour la salade, méprisant pour les cornichons, et puis après je recolle les morceaux tel le sauveur extrayant des décombres fumantes les restes épars de la victime surprise par la catastrophe.

le coup du pompier pyromane quoi.

il n'y a pas de mots assez forts pour qualifier une telle attitude irresponsable.

Anonyme a dit…

'Tin, t'as raison, j'avais pas remarqué le coup du cornichon.Pas bien cool pour ton égo .
En ce qui concerne l'absence de choriste dans le jambon-beurre ,soit il est considéré comme inclus dans le curcubitaceae sus-cité, soit il s'agit là d'une terrible faute de goût.Car enfin comment imaginer notre modeste formation sans toi ,Ô odile à l'organe sans humaine limite.
Quand à cette étonnante suspicion de "pompier pyromane",sache mon cher Mitch (essaye donc de le dire à haute voix avec un stylo dans la bouche), que j'aurais trouvé plus approprié d'utiliser la blanquette de veau à l'ancienne comme outil métaphorique.
P.

Anonyme a dit…

Bon quand faut y aller ,faut y aller

C'est pas l'envie qui me pousse,parce que moi la polemique, vous le savez, c'est pas mon truc

Je veux pas defendre la basse, car, pierrot, brillament s'en est chargé,en outre, n'etant pas un vrai bassiste,mais un simple frappeur de corde grave qui tente laborieusement de suivre le rythme donné par la batterie,je ne me suis pas vraiment senti visé par "la diatribe du sandwitch"

Ce que je constate tout de meme ,c'est que notre "courageux" anonyme est surtout un tres mauvais cuisinier
c'est pourquoi tout en restant le plus possible courtois et mesuré dans mes propos ,je vais essayer de lui prouver combien il fait erreur

le pain : on y fait pas attention
le jambon:il en faut pas trop
les cornichons: on peut s'en passer
le beurre ou la mayo ,ça coule et ça degouline
quand a la salade elle n'a aucun gout
Pôvre garçon,il doit travailler a la SNCF

Odile,qui n'est meme pas cité par ce j'en foutre d'anonyme,pourrait lui expliquer qu'un BON sandwitch,oui, ça peut ressembler a un groupe de rock

Une croute bien dorée et craquante enrobant une mie levée a coeur dont chaque alveole a la saveur du four a bois dans lequel elle a cuit peut etre effectivement comparée a un batteur savoureux comme l'est phil le k dans ses grands moments

Moi je dit ,dans un sandwitch, le jambon :y en a jamais trop!une belle tranche bien epaisse ,coupée a la hussarde ou l'on voit les nervures de la bete ciselés comme l'est le jeu de nos deux guitaristes d'exception; c'est pas un regal ça?

LE CORNICHON....AH LE CORNICHON voila un condiment qui n'est pas neutre ,qui n'est pas fade ,
Suivant l'humeur on le sucotte,on le grignotte,ou on l'avale goulument
On hesite a mordre dedans,son gout surprend,il etonne mais au fond :quelle extraordinaire saveur il degage:tout a fait comme mitch

Le beurre, la mayo,a condition que le beurre soit fermier et la mayo "faite maison", sont les liens indispensables a l'unité du sandwitch.Ils relient entre eux les differents ingredients ,permettant a chaqu'un de se bonifier au contact des autres,ce que fait si bien lolo grace a son touché hors du commun
Par sa presence,son charisme,elle nous rend meilleurs!

et la salade, putain de salade,ça n'as aucun gout la salade ? mais de quoi tu parles, con d'anonyme,
Tu parle de laitue ? de battavia ?de chicorée?de frisée ? de cresson?de mache?.Visiblement tu n'y connais rien, visiblement tu ne comprend rien!
la salade, c'est elle qui donne cette extraordinaire consistance au sandwitch,elle renforce le moelleux du pain ,elle exhalte le gout du jambon,elle fait un nid douillet au beurre et a la mayo pour qu'ils s'etalent langoureusement dans tout le sandwitch.C'est comme la basse,quand elle est jouée par un autre que moi ,elle est le lien indispensable entre tous les "instruments-ingredients"
voila, pauvre naze d'anonyme,a quoi peut ressembler un bon sandwitch ou un bon groupe de rock

Mais, dégénéré du bulbe, abruti des carpathes,ecrivaillon ringard! tu veux savoir a quoi peut ressembler un TRES bon sandwitch ?

Rajoutes y quelques fines tranches d'une belle tomate bien fraiche,bien juteuse,toute encore impregnée de la rosée du matin et fleurant bon la provence......
rajoutes y odile, rajoutes y un choeur,rajoutes y un COEUR !

tu est mauvais en cuisine ,tu est nul en musique,tu n'as rien a faire sur ce blog, casse toi gros naze

poun la salade defraichie

Anonyme a dit…

he ben dis donc !
vous pêtez la forme les chéris !
kéké

Anonyme a dit…

Les garçons, vos soutiens me vont droit au coeur. Merci en premier lieu à Mitch mon roi de choeur, le seul, l'unique.
Pascou tu m'as déjà prouvé qu'en des situations périlleuses je pouvais compter sur toi, notamment la nuit où Mdame UNIT a failli nous envoyer" ad patres".
Pierrot tu es démasqué par le beurre de cacahuètes dont tu es très friand (il parait que les douaniers Newyorkais se délectent encore du stock qu'ils t'ont confisqué).

O. limier d'un soir

Anonyme a dit…

Salut Kéké, alors la Féria, petite ou grande cuvée?
Odile

Anonyme a dit…

petite cuvée, soirées ratées par manque de portable pour retrouver pôtes et pôtesses...
j'ai donc craquer : j'ai un portable !!!!!!!!!!!
kéké

Anonyme a dit…

Odile, je suis désolé de te decevoir ,mais je ne suis pas assez tordu ou pas assez désespèré pour faire des réponses à mes propres messages.Commissaire ,c'est un métier.Pascou va, je l'espère se mettre sur le coup.
Pounet,je suis un fan inconditionnel de ta prose en règle général.Cependant ,j'ai été un peu déçu par le paragraphe ou disons plutôt par les deux petites lignes consacrées au jambon.J'aurais apprécié un peu plus de soutien en parlant d'un jambon entier avec l'os ,délicatement fumé, saupoudré d'herbes aromatiques diverses..enfin tu vois le genre.Pas grave ,m'en remettrais.
Bon c'est pas tout les enfants mais j'ai plein de vies à aller sauver ce matin.
A+
P.

The Undertakers 5 a dit…

un petit aparté dans cette guerre des chefs à 5% de TVA : mon anif tombe pile poil le même jour que celui de Google.

ca n'est pas une info indispensable j'en conviens, mais il fallait le souligner. (allez sur google ce samedi et vous verrez : on fête ses 10 ans)

Anonyme a dit…

Alors là, Kéké, chapeau bas. Si on m'avait dit qu'un jour toi aussi tu serais propriétaire d'un de ces engins multi-fonctions super gadgétisés servant accessoirement de téléphone,je me serai écroulée de rire (en abrégé:lol)Il fallait vraiment que tu sois en manque festivement parlant, elle était si nulle que ça la Féria?

Odile

The Undertakers 5 a dit…

Par ailleurs, dans cornichon, il y a le corps bien sûr, mais pas que ça. Il y a le nichon aussi..

Cela va sans dire, mais ça va encore mieux en le disant.

donc on peut considérer que lorsque Machiavel (la véritable identité de notre anonyme)assimile le chant au cornichon,(attention : un cornichon de plein chant, pas un cornichon élevé en batterie sans aucun espace pour s'ébattre) il englobe à la fois le chanteur au travers d'une Ode à son corps musculeux, et son cor(en référence à son organe), mais aussi, les choeurs par le truchement des glandes ô combien mammaires que nos choristes arborent fièrement,et qui se soulèvent de si belle manière au grès du tempo des titres que nous interprétons, sous l'étoffe douce et sensuelle qui en épouse les formes parfaitement.