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samedi 31 décembre 2011

H-2 Before Ignition

vendredi 30 décembre 2011

Le Programme du Leader Approuvé par le Groupe Pour Le Concert Foncia "Choux D'Ail Sait"

pour ceux qui voudraient réviser :

programme du 13/01/2012

_ Everybody /intro

_ hit the road jack

_ sweet home Chicago

_ docteur bonheur

_ la fille du père noël

_ ecolosong

_ love in vain

_ sweet home Alabama

_ jumping jack flash

_ wathever

_ clash (choux d'ail sait)

_ god save the queen

_ Caroline

_ +/- rappel = bête de scène +......


L'Original Manuscrit
(conseil aux fans : à garder précieusement : ça vaudra de l'or plus tard)

jeudi 29 décembre 2011

C'était Il Y A 10 Ans : Le Carré (Hors Champ) Au Cabinet Il Montre A Une Jeune Musicienne Stressée Les Gestes Du Swing (De Golf) Sensés Apaiser Ses Tensions


Bah oui.. Il me fallait une pirouette : Phil, on ne le connaissait pas il y a 10 ans ! Alors comment j'aurais eu une photo ??

C'était Il Y A 10 Ans : 2 Groupies Attendent les Musiciens Dans La Loge des UFR, Qui se Sont Un Peu Lachés Durant L'Entracte

C'était Il Y A 10 Ans : L'Ultrabassiste, La Choriste (Qui s'Incruste) et Un Nain de Jardin (Perdu de Vue Depuis : Si Quelqu'Un Sait Ce Qu'Il Est Devenu..)

C'était Il Y A 10 Ans : Le Sage et La Choriste Historique


Désolé, je n'ai pas trouvé de photo drôle ou compromettante.. d'ailleurs de manière générale, je ne suis pas drôle.

C'était Il Y A 10 Ans : Lizzzz L'Egérie du Leader

C'était Il Y A 10 Ans : Catou, Celle Qui Porte A Bouts de Bras Le Bassiste

C'était Il Y A 10 Ans : Le Leader (et Sa Groupie)

C'était Il Y A 10 Ans : Kéké Le Photographe de Scène des UFR (Et Deux de Ses Modèles)

C'était Il Y A 10 Ans : Le Barde

C'était Il Y A 10 Ans : BaouLinda


Réveillon du jour de l'an 2002, chez les J.

C'était Il Y A 10 Ans : Le KreaX


réveillon du jour de l'an 2002

Guit'Art


Robert Lee MacCameron - Two negro musicians - 19th

mercredi 28 décembre 2011

Souvenez-vous : Le Réveillon du Millénaire - 31 Décembre 1999. On dansait sur Ca :

samedi 24 décembre 2011

A Ta Droite, à la Table du Réveillon : Ingrid, la Cousine Suédoise, Invitée de Dernière Minute : Ok !

Animation du Réveillon : Pierre-Noël Est Prêt !

La Chanson Pour Accompagner la Dinde : OK !

Bon, Le Sapin : C'est Fait !

Flûte ! Dans Quelques Heures le Réveillon : IL est Grand Temps de Décorer Le Sapin.

vendredi 23 décembre 2011

La Fille du Père Noël du Jour : Elle Raconte des Trucs A la Télé

Charlotte Lebon est la fille du Père-Noël du jour. Elle raconte de merveilleux contes sur Canal Plus dans le Petit Journal de Noël. Et elle est toujours aussi craquante. Moi j'aimerais être l'un deux deux lutins qui lui donnent la réplique assis à ses pieds...

Une Question de Date et de Lieu, Mais Pas Seulement

Hier soir c’était répète de noël. En préambule nous étions réunis autour de la table de la cuisine et de madame Chapoton, la maman de Sylvie, qui avait apporté des dates de son jardin.
.
Et en parlant de ça, il est question que nous ayons une « date » le 13 janvier. Déjà, à ce stade, on constate une coïncidence extraordinaire : le 13 janvier c’est l’anniversaire exact de la création officielle de notre groupe, il y a cinq ans, ce qui devrait placer ce concert sous les meilleurs auspices. D’un point de vue cosmique : c’est énorme !
Cependant, et l’on peut y voir une manifestation des influences complexes du ying et du yang, le 13 tombe en janvier sur un vendredi. Selon l’humeur de chacun, cela peut être plus ou moins bénéfique. Quant à moi j’aurais plutôt la superstition pessimiste.

Enfin, à titre personnel, le lieu du concert, le mas d’Albert Sebbag, ne m’est pas très propice. C’est en effet dans le parc de ce mas que j’ai eu un gros « passage à vide » un soir de mariage. A une autre occasion le concert que nous y avons donné ne m’a pas laissé un souvenir éblouissant, hormis la prestation de nos claudettes, bien qu’Odile, à qui j’en parlais tantôt ait tenue à pondérer mon sentiment en remarquant que tout le monde était massé devant la scène pour encourager le groupe. Il est vrai que la vastitude de la salle et les conditions acoustiques précaires produisaient peut-être une fausse impression de vide et d’indifférence, depuis la scène.

Sentiment contrasté donc vis à vis de ce concert, pourtant grassement rémunéré par notre agent immobilier préféré ce qui devrait justifier sans conditions notre venue. Sans compter que le simple fait de faire plaisir à Philippe devrait être une raison suffisante à ce déplacement en banlieue nîmoise.

Mais en général, quand on multiplie les raisons pour expliquer telle ou telle chose, c’est qu’aucune n’est valable. Peut-être dois-je alors me tourner vers une analyse plus psychologique (avant de tenter l’approche psychanalytique) : J’ai constaté, à mesure de nos prestations, un stress croissant de ma part. Jusqu’ici considéré comme le va-t-en-guerre du groupe, acceptant n’importe quelle proposition, je deviens de plus en plus frileux.

Mais c’est qu’au début : je ne savais pas ! Au fil de nos expériences, et de leurs succès ou leurs échecs, j’ai pris la mesure du travail nécessaire à un spectacle de qualité, « propre et carré ». Mes imperfections, mêlées à celles des autres membres du groupe multiplient les risques de plantage intempestif de notre machine de manière exponentielle. Les lois statistiques étant ce qu’elles sont, c’est à dire fortement influencées par le hasard, les succès relatifs ne peuvent qu’appeler autant d’échecs cuisants pour que le bilan de nos concerts soit à l’équilibre, surtout si on donne un coup de pouce au hasard par impréparation. C’est un peu comme si nous avions une bombe nucléaire dégoupillée en main (quand on fabriquera des grenades atomiques individuelles) prête à exploser, ou encore si nous étions les machinos d’une locomotive folle lâchée à pleine vitesse sur une ligne régionale mal entretenue par les Réseaux Ferrés de France. J’ai le sentiment que TOUT peut arriver, au grès de la distraction ou des oublis de l’un ou de l’autre. Et je m’inclus bien sûr dans le lot. Certes un spectacle doit laisser la part belle à la spontanéité et l’improvisation, mais celles-ci ne sont qu’apparentes et dissimulent, en tous cas chez les pros, des mécanismes de précision et des automatismes empreints de complicité que nous peinons à acquérir.

La complexification et le nombre désormais important des morceaux que nous interprétons rendent nos répètes hebdomadaires du mercredi de plus en plus denses. Je me souviens qu’il y a encore un an, nous prenions le temps d’une longue pose après quelques morceaux, profitant de cet instant de complicité pour échanger sur tout et sur rien. Désormais c’est un marathon permanent pour essayer de passer en revue la plus grande partie de notre répertoire durant l’heure et demi que dure notre réunion. Malgré cela, certains morceaux sont laissés de coté durant de longues semaines voire plusieurs mois et nous avons des difficultés à les reprendre lorsqu’intempestivement je les propose à l’exécution. Nous manquons dramatiquement de pratique, et nos approximations, nos hésitations, ne manquent jamais de m’effrayer lorsque je nous imagine, pendant que je chante dardant mes yeux sur le cahier de chant que je n’arrive toujours pas à proscrire, en conditions réelles devant un auditoire.

Bien sûr je me raisonne en relativisant : il s’agit de répètes, et par définitions ces exercices sont fait pour ça. C’est le moment d’essayer de nouveaux arrangements, des instruments exotiques et de laisser libre cours à notre imagination. Notre séance hebdomadaire nous permet de revenir sans cesse sur le métier, et le droit à l’erreur y est légitime. Cependant la répète est également le moment de la synthèse de l’état de l’art de chacun et de sa confrontation au groupe. En théorie nous devrions avoir travaillé dans la semaine pour présenter au jour J un travail correct. En pratique peu d’entre nous ont la possibilité de consacrer du temps à ce travail nécessaire qui se transforme parfois en séance de déchiffrage. Un peu comme l’élève qui ne ferait pas ses devoirs à la maison et ne serait évalué que sur les contrôles en classe. A moins d’être un génie l’élève en question ne peut avoir qu’une moyenne modeste.

Et pourtant, inexplicablement : sur la vingtaine de concerts que nous avons donnés, la plupart ont été satisfaisants, si l’on exclut les erreurs de casting manifestes (type concert de feria), ou les catastrophes musicale (le cinéma de Mathieu).

Mais comment cela est-il possible, au regard du tableau mitigé que je viens de brosser ? Et bien durant les concerts on se sublime ! Inexplicablement nos imperfections, perceptibles à nos oreilles aguerries se dissolvent en un tout macrospiquement acceptable.
Le plus souvent les gens n’y voient (entendent ?) que du feu, leurs sens et leur esprit critique émoussés par l’ambiance et les boissons consommées généreusement (quoique avec modération) et roulés dans la farine par un flot de parole dans lequel le chanteur tente de les noyer afin de mieux les abuser.
La plupart du temps également l’assistance nous est acquise à priori, car composée d’amis naturellement disposés favorablement à notre égard, ou portés à la clémence, voire à la compassion.
Reste une inconnue, de taille, dans cette équation fragile du concert parfait : le public lambda. J’espère que notre commanditaire ne se trompe pas sur le choix de notre groupe pour distraire la centaine de personnes conviée à cet exercice difficile du repas de fin d’année d’entreprise.
On comprend bien que le personnel réuni pour l’occasion sera enclin à la bienveillance ne serait-ce que pour ne pas heurter le patron par des remarques désobligeantes, mais la confrontation à une indifférence polie est toujours possible. Et l’indifférence, ça me mine. J’en ressors assez déprimé, insatisfait, morose, bougon et chafouin car comme vous le savez la scène est pour moi une drogue puissante, sans doute un exutoire à quelque carence. Parfois comme pour les accros, le retour à la réalité est terrible. Finalement c’est plutôt bon signe : cette peur prouve que ma passion est intacte, qui se nourrit non seulement de notre travail passionnant et la relation qui nous lie, mais aussi du retour que nous en font ceux qui nous écoutent.

jeudi 22 décembre 2011

L'Autre Fille du Père Noël

Après l'allumeuse (celle que j'ai trouvée au petit matin toute nue dans mes grands souliers), publiée précédemment, voici la bosseuse (toute la nuit elle avait donné des cadeaux à tous les enfants).

Le Crobard de Noël du Jour


"Je ne discute pas le principe, je dis simplement ceci : ce n'est pas le moment."

mercredi 21 décembre 2011

La Fille du Père Noël

En Attendant l'Etoile de Bethleem : Le Chant de Noël des UFR

Au pied du sapin
C’est la nuit de noël
Tous les enfants espèrent
Voir le concert des UFR
Au pied du sapin
Quand là dehors il gèle
Le feu brille dans les yeux
Des p’tits nenfants ils sont heureux

Vive les fans, vive les fans
Vive les fans d’hier
Ceux de White et de woostock
Ca c’était pas du toc
Vive les fans vive les fans
Vive les fans si fiers
Qui suivent les UFR
Au plus fort de l'hiver

L étoile du berger
A traversé la nuit
Conduisant les rois mages
Jusqu’à la salle Jim Morrison
Ce soir c’est la veillée
Et de noël l’esprit
Souffle sans partage
Alors qu’au clocher minuit sonne

Depuis bientôt cinq ans
Que nous allons chantant
C’est noël tous les jours
Dans la joie et dans l’amour
Quand on monte sur scène
C’est dans les yeux des fans
Qu’on a la récompense
De nos doutes et de nos peines

Depuis bientôt cinq ans
Que nous allons chantant
Nous vivons simplement
dans le plaisir d’être applaudis
et les fans réunis
Nombreux fidèles ardents
Nous font une ovation
chantant noël avec passion

mardi 20 décembre 2011

La Complainte du Père Noël

J'écoutais France Info dernièrement, dans ma studiomobile, passant au grès des flashes info, d'une chronique à l'autre. Une petite chronique sympa s'intéresse aux chansons intemporelles, universelles, les standards,  celles qui ont marqué l'histoire musicale, ou qui ont imprimé leur marque dans l'inconscient collectif. Dans le genre nous avons le Temps des Cerises, ou La Mer, Le Sud, ou encore le Petit Bonhomme en Mousse.

Chez les anglosaxons c'est Jingle Bells. C'est même devenu là bas, aux States, un genre musical à part entière. Dans la carrière d'un chanteur à succès, il y a un passage obligé : la chanson de noël, et même, ultime consécration : l'album de noël. Elvis Presley, Dean Martin, Franck Sinatra, mais aussi les Beach Boys et même Ozzy Osborne* s'y sont frottés, teintant de leur interprétation ce chant qui paradoxalement n'a pas été écrit pour noël mais pour Thanksgiving, puis adaptée en français par Francis Blanche.

C'est pourquoi j'aimerais proposer à nos auteurs et compositeurs "maison" d'écrire un chant de noël, afin que les UFR aussi, comme les grands, laissent à la postérité une compo de légende adaptée à d'éventuels concerts de fin d'année.

Peut-être Lololalolo notre pianiste pourrait-elle nous composer quelque mélodie festive mais en même temps empreinte du merveilleux esprit de noël, celui qui entrainerait nos chères têtes blondes dans une rêverie chaleureuse, allongés au coin du feu, à deux pas des branches odorantes du sapin décoré et orné de cadeaux aux papiers chatoyants ; celle du bonheur tranquille et familial.
J'entends déjà le texte de Pierrot, aux accents simples et vrais, authentiques, sur des mots qui habilleraient parfaitement des sentiments de partage, d'entraide et d'amour, à l'image de la production des Fossoyeurs...



*Quoique pour ce dernier, je n'aie pas vérifié mes sources. Mais j'aime en caresser l'idée.

Le Crobard de Noël du Jour

Le Concert du Café Olive, par Le Carré

J'avais invité le Carré notre batteur à faire la relation de la soirée de samedi dernier au café Olive. Mission accomplie avec précision...

En effet nous etions samedi soir au cafe olive ou nous avons assiste avec les Richebois,Desimeur et Charras a non pas un, mais trois concerts


Le premier etait composé de deux musiciens, Marc Simon assez connu sur la scène nîmoise et accessoirement mon camarade de classe de 6 ème, jouant un rock progessif, passant au grès des morceaux d'une gibson au xylophone, accompagné d' un excellent jeune batteur lui meme ami du fils de Jaco (présent aussi ce soir la) ensuite on a eu droit à deux morceaux de style country par un guitariste-harmoniquiste?

Je suis pas sur du terme!

Puis enfin le groupe de mon copain kine-bassiste dont je ne connais toujours pas le nom (du groupe) avec des reprises de standards du rock (Joe Jackson,Clash ,Aerosmith....) avec en guest star sur quelques titres Chris Gonzalez autre figure musicale nimoise

Donc très bonne soiree, du haut niveau mais bon, pour se remonter le moral : notre avantage sur ces groupes c'est que nous, on fait de l'original, de l'autenthique, on a nos compos !!


phi le k

lundi 19 décembre 2011

Guit'Art

 
George W. Lambert - la guitariste - 1902

Un Petit Conte de Noël

dimanche 18 décembre 2011

Répètes de Noël Pour Notre Barde

On sait combien la merveilleuse fête de noël est importante pour les enfants. Et quel bonheur pour les parents de voir briller dans leurs yeux, au soir du réveillon, la flamme de l'esprit de noël. Chaque année Christian s'attelle à cette difficile tâche de donner à Bruno et Cyril, les deux plus jeunes, un spectacle à la mesure de l'évènement. Ils sont encore pleins de cette touchante naïveté dans le regard qui nous récompense, nous parents, des efforts d'une vie de sacrifice pour les élever selon les principes chrétiens. 

Cette fois-ci, outre les christmas carols dont il connait désormais les partoches par cœur, le statique guitariste a décidé de rajouter des effets scéniques. C'est pourquoi une fois par semaine il répète en secret chaque geste de son nouveau spectacle. Le casting est difficile, la chorégraphie épineuse pour faire rentrer dans l’espace réduit du salon la mise en scène grandiose qu'il a imaginée dans son cerveau de mala.... de génie. Il doit payer de sa personne, se faire violence pour exprimer le meilleur de ses mains d'artistes. 

En tant que biographe des UFR j'ai eu l'autorisation d'assister à cet instant privilégié où l'imagination de l'auteur se concrétise et prend corps. Je peux vous assurer que des étincelles de béatitude et de joie enfantine vont sans aucun doute s'allumer dans les yeux de Cyril et Bruno, lorsque qu'aux douze coups de minuit débutera la féérie de noël proposée cette année par notre rutilant Barde. Je ne doute pas qu'enthousiasmés, les deux bambins tendront à leur tour leurs mains pour participer au spectacle vivant.

Méconnaissable sous son habile maquillage, le Barde répète son spectacle avec une amie artiste de rue..

J-7

Une semaine avant Noël, une partie des UFR, dont de source sûre le Carré et l'Ultrabassiste, était au café Olive pour assister au concert d'un groupe dont le batteur est un ami de Phil.
Peut-être ce dernier pourra-t-il nous en dire un mot en commentaire ?

Pour ma part ce dimanche matin j'étais aux halles avec l'ex-choriste Odile aux Blanches Mains. Après nos emplettes, nous avons promené dans les rues et nous sommes arrêtés chez Bérénice-chapelier où j'ai craqué pour un nouveau chapeau de scène. Je pense que ça devrait ajouter à notre incroyable performance scénique.


Parfait par jour de grand vent

Et pour finir un petit Tariquet au Comptoir des Halles, devenu le lieu branché de l'After-Halles des bons bourgeois nîmois après leur visite aux étals.

samedi 17 décembre 2011

Traversé Par une Inspiration

Lors de notre séjour à Colmar, il ne s'est pas passé un jour sans que notre Barde n'emprunte la Gibson ou la guitare seiche de Vincent notre hôte pour travailler encore et encore tel ou tel morceau...

Lu Sur FaceBook...

De Catou Richebois à Michel Mazet

M.Mazet, votre verv(b)e nous manque à tous : quand retrouverons-nous le chantre,le grand-chantre de notre cathédrale de fraternité ? Notre prose est si pauvre , un seul être vous manque et tout est dépeuplé comme dirait l'autre ramant tout seul sur son lac pendant que le temps s'était arrêté.
Donc si tu pouvais reprendre le joug et te remettre au travail ça nous ferait le plus grand plaisir .
Une fan du premier jour (pas adventiste pour 2 sous,)



Merci ma Catou pour ce message d'amitié. Ça me touche beaucoup et m'encourage à reprendre le collier, surtout en sachant que ça vient de toi et que personne ne peut te suspecter de flagornerie.. Il est vrai que le blog a rythmé mes semaines depuis presque cinq ans et que jusqu'ici je m'étais astreint, malgré ma paresse naturelle à l'alimenter avec le plus de régularité possible. J'y voyais également une sorte de challenge personnel et surtout ça m'amusait de construire la légende des UFR à coups de dithyrambes ronflantes et de chroniques ou d'images trafiquées, en construisant une sorte d'objet bizarre, gauchissant la réalité un peu comme s'il s'agissait de nous mais dans un univers perpendiculaire (j'en ai marre des mondes parallèles !) .

Il est de fait que je traverse une petite crise d'intérêt mêlée d'une légère sécheresse intellectuelle : j'ai l'impression d'avoir fait le tour, et de me répéter. Et pire que tout : que ça n'intéresse plus personne ! Ça va repartir je pense, enfin je crois. Je suis comme ça, cyclique et flou, velléitaire, procrastinateur, bougon, le tout dans un contexte professionnel particulièrement féroce en ce moment, qui me laisse le soir dans un état larvaire : je m'affale devant les chaînes 60, celles où des émissions sur le désossage de voitures et les reportages sur les stages commandos des forces spéciales me plongent dans un état d'hébétude salvateur, au lieu de m'atteler à quelque travail sur le blog !

Allez ! plus que quelques jours, et avec le nouvel an, je pourrai poursuivre notre fabuleuse saga sur l'ardoise (qui serait un ipad) vierge d'une année nouvelle que j'espère riche et prolifique pour les UFR. Rassures toi, si j'enterre en première classe toutes les règles du chant avec acharnement, je ne serai pas le fossoyeur de notre blog !

jeudi 15 décembre 2011

Si Lololalolo Avait fait Partie d'Un Groupe de Rock Japonais - Rebelle et Cependant Traditionnel...

mercredi 14 décembre 2011

Un Duo de Choc

Pour la tournée de deux des UFR à Colmar lors d'un week-end consacré aux marchés de noël, Mitch avait cédé sa place au chant à Sylvie qui dans la gaité, la bonne humeur et une débauche d'effets scéniques sut mettre le feu à la soirée...

mercredi 30 novembre 2011

La Nouvelle Chanson Préférée du Barde

J'étais au travail, codifiant les examens afin de faire rentrer l'argent dans les caisse quand Jésou m'a appelé : "Va sur Youtube, et cherche Lola, des Kinks. Et apprend le texte : on le jouera à la répète, je viens de trouver les accords.
donc je m'exécute, voici la version live '79 de ce tube composé en 70 à la suite d'une rencontre inattendue dans un bar... On y apprend que Lola n'est pas tout à fait celle qu'on pense...

Une petite chose encore : Le titre a été enregistré à Londres. Dans le texte original figurait Coca Cola. Mais pour des raisons de droits, les producteurs ont appelé le groupe, qui était en tournée aux States, pour modifier le texte. Le chanteur a dû retourner à Londres entre deux dates pour réengistrer sa partie. C'est pourquoi il chante désormais Cherry Cola dans la chanson.


Lola

I met her in a club in old Soho
where you drink champagne
and it tastes like cherry cola
See-oh-el-aye cola.
she walked up to me
and she asked me to dance
I asked her her name and in a dark brown voice
she said Lola El-oh-el-aye Lola la la la la Lola.
Well I'm not the world's most physical guy
but when she squeezed me tight
She nearly broke my spine
oh my Lola
la la la la Lola.
Well I'm not dub
but I can't understand why
she walked like a woman and talked like a man
oh my Lola la la la la Lola la la la la Lola.
Well
we drank champagne and danced all night
under electric candle light
she picked me up and sat me on her knee
and said "Dear boy
won't you come home with me ?"
Well
I'm not the world's most passionate guy
but when I looked in her eyes
I almost fell for my
Lola la la la la Lola la la la la Lola.
Lola la la la la Lola la la la la Lola.
I pushed her away
I walked to the door
I fell to the floor
I got on my knees
then I looked at her
and she at me.
Well
that's the way that I want it to stay
and I always want it to be that way
for my Lola la la la la Lola.
Girls will be boys
and boys will be girls
it's a mixed up
muddled up
shook up world
except for Lola la la la la Lola.
Well
I left home just a week before
and I'd never ever kissed a woman before
but Lola smiled and took me by the hand
and said "Dear boy
I'm gonna make you a man."
Well
I'm not the world's most masculine man
but I know what I am
and I'm glad I'm a man and so is
Lola la la la la lola la la la la Lola.
Lola la la la la Lola la la la la Lola.

vendredi 25 novembre 2011

Music'Art



Barend Blankert - Bedside table with a violin - 2010

On notera que ce violon a été utilisé par Pierrot : Une corde est cassée.

jeudi 24 novembre 2011

SJM* : Le Rock en Panoramique


*Comme j'imagine que plein de nouveaux lecteurs nous lisent chaque jour, pour rappel : SJM = Salle JIM Morrison. L'Antre des Possibles Musicaux, comme on la nomme entre nous. Enfin, le lieu où nous répétons depuis quatre ans grâce à la générosité de Sylvie. Sylvie est aux UFR ce que l'Auvergnate était à Brassens. Une mère, une confidente, une bienfaitrice. Notre mère courage à nous. Respect Sylvie.

Une Allergie A La Moutarde



A agrandir...

dimanche 20 novembre 2011

La Leçon de Musique

Parfois, certains pourraient croire que nos répétitions ne sont que suites de rigolades, de fumeries, de boissons et de parlottes. Il n'en est rien. chaque répétition se déroule de manière studieuse, dans la concentration, on répète inlassablement chaque titre, on décortique chaque accord,  afin d'atteindre la perfection du geste et du style. Massacrer le rock, c'est un boulot, et les UFR s'attachent à le faire consciencieusement.

vendredi 18 novembre 2011

La Moumou : Déchiffrage du Mercredi

jeudi 17 novembre 2011

La Fois Où Phil Faillit Monter Sa Section Percus

Phil notre batteur ruminait ça depuis de longs mois : Le chanteur avait ses choristes, la pianiste caressait tout un  octave de ses doigts délicats et faisait du gringue au  Leader qui s'était adjoint un assistant au sax, les guitares formaient un cercle très fermé, et la basse refusait de jouer au tempo, jetant un suspicieux voile d'ombre sur le légendaire couple bass/batt. 
Le batteur se sentait isolé au sein du groupe. Il battait mélancoliquement sur les rocks les plus échevelés, son regard maussade se perdant dans le flou de la nuit qui filtrait sombrement au travers des vasistas de la Salle Jim Morrison, refoulant au fond de sa gorge des sanglots de frustration. La dépression, sournoisement, lentement, insidieusement, guettait telle la goule malfaisante tapie au fond de son repère d'aigreur.
Et puis il eut une idée : un casting de percus ! Lui aussi aurait sa section. Il fit paraître une annonce dans un périodique spécialisé et procéda à une série d'auditions. Il en écouta des centaines sur le fauteuil qu'il avait fabriqué lui même avec des tubes de cuivre et du béton vibré devant la table basse low-tech en tomettes d'asphalte du salon face à sa Ludwig : défilèrent en une litanie Prévertienne des grands et des gros, des vieux et des pubères, des virtuoses, des tripes , des hystériques, des stones, des gardois, des passants, des enthousiastes et des mondains. Et puis, alors qu'il désespérait et se résignait déjà à l'échec, deux jumelles se présentèrent et enflammèrent son corps cinquantenaire sur des rythmes simples :
Les Tambourine Twins.
Là il sut dès les premières mesures de leur reprise d'Ecolosong, sur le loooong solo de cymbales et de cloche musicale après le break de Pierrot, il sut de manière claire, avec l'acuité acérée que donne la certitude, que ce seraient elles et personne d'autre. 
Il congédia la trentaine de candidats qui attendaient encore leur tour dans la cuisine de Marie-Françoise qui les faisait patienter en leur servant des tartes tièdes au pralin arrosées de café fort. Il se leva et les félicita pour leur interprétation. Il questionna les demoiselles. Elles répondirent, parlèrent d'elles, de leur vie, de leur expérience, de leur rencontres, de leur passion. Une complicité s'établit.
Un petit ange passa ; quelqu'un, pour meubler, il sembla à Phil que c'était lui, dit : "voilà, voilà...
Elles s'enquirent des conditions d'engagement. Phil parla avec des trémolos dans la voix, en chuchotant mais avec emphase avec un rien de fébrile nervosité : il décrivit les concerts, les répètes, il mentionna notre deuxième CD de dans deux ans d'il y avait deux ans, il encensa le blog du groupe, tellement foisonnant, il glissa sur le trésor de guerre des UFR, cette cagnotte jalousement dissimulée entre deux bouquins sur une étagère de la SJM, il vanta la culture musicale du Barde, le génie du Leader -c'est un diamant, s'enflamma-t-il- et mentionna le montant du dernier cachet des UFR "plus les consos" précisa-t-il avec une certaine fierté. 
Il y eut un blanc. L'une des twins étouffa péniblement un petit rire, puis essuya une larme au coin d'un œil. "C'est bon de rire parfois, laissa-t-elle échapper.
"Bon, ben c'est pas le tout rompit l'autre, puis regardant sa montre : Oh là, là, comme le temps passe, on parle on parle, et puis on s'aperçoit pas que l'heure tourne ! faut qu'on y aille, on reste en contact, hein ? bisous et tout ça, au r'voir m'sieurs-dames, lança-t-elle à la cantonade. Dans un concert de tambourins elles s'éclipsèrent.

Bref : C'était la fois où le Carré tenta de recruter une section percus.

mercredi 16 novembre 2011

Music'Art


Alexandre-Louis-Benjamin De Smit - couple in an interior making music -19th

mardi 15 novembre 2011

La Moumou : Le Film !

Concernant cette vidéo : c'est la première tournée avec mon nouvel Iphone 4S. Et franchement question luminosité, piqué de l'image, saturation des couleurs : Il est tip top ! full HD. Hélas vous ne vous en rendrez pas compte car pour publier la vidéo sur Youtube, il m'aurait fallu plusieurs heures, en l'état, compte-tenu de la ridicule bande passante de ma connexion. J'ai donc dû, la mort dans l'âme réduire drastiquement la définition. Le résultat est donc aussi médiocre que d'habitude.
J'adore les trente premières secondes, Pascou y est... attentif !
Mais assez bavassé : bonne toile.

lundi 14 novembre 2011

La Moumou C'est Tip Top : Les Deux Versions !

Bon.. Pour faire une petite surprise à notre KreaX nous avions décidé de reprendre dans une chanson sa célèbre formule La moumou c'est tip top. Pas facile cependant : Déja pour la simple raison qu'il y a peu de rimes en "amou" ou même tout simplement de mots commençant ou se terminant par mou qui puissent rimer avec moumou. d'autant que la dite moumou fait référence à la moutarde. Je vous le replace dans le contexte :
"Passe-moi la moumou chérie. Hmm ! elle est bonne cette moutarde : Elle est Tip top !
Vous le voyez, le cadre est fixé, il est assez rigide et laisse peu de place à la divagation poétique. L'autre raison c'est que nous n'avons pas eu beaucoup de temps pour ça. C'est donc comme d'habitude dans l'urgence que se sont fabriquées deux versions de texte pour le Pichon12, mélodie composée par le KreaX et arrangée par P, choisie comme support du texte.
En fait c'est plutôt le contraire qui s'est passé : il a été nécessaire de faire rentrer le texte dans la trame que nous avait envoyée le Leader. Et bien sûr vous connaissez Pierrot : Il envoit une version, on tente de travailler dessus, tout seul dans son coin (grave erreur), en constatant que ça ne rentrera jamais, mais LUI, de son coté en a déjà arrangé une autre version, assez incompatible avec le texte qu'on a péniblement tenté d'écrire.
Et là je ne parle que de la forme, car sur le fond du texte reproduit en version A ci-dessous, il se situe dans les profondeurs abyssales de la pertinence.
Je vous livre donc les deux approches artistiques, à travers les deux textes sur lequel nous avons travaillé. Deux équipes avaient été constituées pour celà :

Equipe A : Mitch
Equipe B : Tout le reste du groupe !

Résultat des deux brainstormings :

Equipe A : (version étendue)

L’amoumou c’est tip top

Moi j’aime quand l’amour est tiède
En demi teinte
pas trop intense
Moi j’aime quand l’amour est lâche
un peu fadasse
l’amour qui passe
Je kiffe, kiffe, kiffe  l’amour mou
L’amour mou c’est tip top

Moi j’aime quand tu fais la moue
Ton air bougon
Ton look chardon
Moi j’aime quand tu fais la moue
Ca donne le ton
Pas de violons
Je kiffe, kiffe, kiffe  ta moue
Ta moue moue c’est tip top

Moi j’aime quand l’amour est vache
Regard fournaise
Macho total
Moi J’aime quand l’amour fait tache
Toi corps de braise
Total fatal
Je kiffe, kiffe, kiffe  l’amour mour
L’amour mour c’est tip top

Moi j’aime te voir en boubou
Le soir en été
Juste nue dessous
Moi j’aime te voir en boubou
Sensualité
Juste pour nous
Je kiffe, kiffe, kiffe  ton boubou
Ton boubou, c’est tip top

Moi j’aime quand l’amour c’est doux
Des p’tits bouts
De rien du tout
Moi j’aime quand l’amour c’est doux
Des moments doux
Juste un peu flous
Je kiffe, kiffe, kiffe  l’amour doux
L’amour doux c’est tip top

Moi j’aime tous tes p’tits tabous
Et ta colère
Et tes éclats
Moi j’aime tous tes p’tits tabous
Et les éclairs
Tout autour de toi
Je kiffe, kiffe, kiffe  tous tes tabous
Tes tabous c’est tip top

Equipe B : (version compacte)

La moumou c'est ti top (ça c'est le titre)

Tip Top
La moumou (ad lib)
.
.
.

BILAN :

Y a pas photo : la version B l'emporte haut la main. Sur le plan de l'efficacité, rien à dire, c'est ramassé et percutant, ça se retient facilement et en plus ça remplit parfaitement le cahier des charges : la référence à la formule initiale est respectée à la lettre, ça rime (s'il y a un nombre pair de couplets), ça ne se perd pas dans des tentatives alambiquées et pitoyables pour décliner le concept de base. Il y a même de l'inventivité puisque les auteurs ont inversé les deux termes de la phrase du KreaX : la moumou c'est tip top devient sous leur plume audacieuse : Tip top la moumou !
Il fallait y penser.
Et en plus, détail pratique, on gagne deux mots puisqu'on passe d'un texte exagérément long de six mots à un objet ultra lapidaire de 4 mots et cinq syllabes, beaucoup plus rock'nroll comme le prouvera la vidéo extraite de notre répète dernière au Pin.

Bravo donc à l'équipe B pour le travail collectif de ses membres, preuve s'il en était besoin que l'union fait la force.

samedi 12 novembre 2011

...De Notre Envoyé Spécial à Avignon

Je viens de recevoir ce mms de notre Ultrabassiste, de piètre qualité certes mais permettant tout de même de reconnaitre très distinctement l'enseigne d'un lieu mythique pour les UFR, puisqu'il s'agit du Délirium Tzigane qui fut le théâtre, il y a quatre ans déjà de l'un de nos plus gros (et surprenant) succès. Que d'émotions me submergent à la simple vue de cette porte ! Je ne connais pas les circonstance de la présence de notre Poun en ces lieux, mais je ne manquerai pas de l'interroger et de vous rendre compte prochainement.

Répète Aux Pins, en Hommage à Nos Poilus