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vendredi 31 décembre 2010

Dernière Répète de l'Année : Le Mot du Leader


2011 sera une année "PLus" ! a déclaré en substance notre P. à l'orée de nouveaux défis pour les UFR et d'une cinquième année de vie commune.

mercredi 29 décembre 2010

Une Nouvelle StudioMobile


Noël apporte comme chaque année son lot de nouveautés, qui préfigurent les tendances de l'année nouvelle. Le renouvellement de matériel concourt à modifier le paysage sonore d'un groupe, influe sur son style, ses choix musicaux. Ici le chanteur des UFR rend un dernier hommage à sa fidèle 107 Trendy, qui a véhiculé son chant durant deux ans. On se souvient que ce petit studio itinérant compact trois portes avait succédé au volumineux studio taillé pour l'autoroute le 405 prestige. Les bouleversements technologiques se succèdent et s'accélèrent, et un matériel encore haut de gamme il y a quelques mois tombe dans l'obsolescence le temps d'épeler obsolescence. Pour rester dans le coup il faut parfois se résoudre à des sacrifices et se séparer des branches mourantes pour préparer la génération suivante. Il s'agit en la matière d'un produit intermédiaire, le modèle "206 plus". Plus vaste que le 107, et plus accessible, il peut accueillir un chanteur et ses choristes plus un guitariste dans des conditions de confort et d'acoustique très convenables. Les sessions de chant entre Nîmes et Avignon vont prendre une autre dimension grâce à l'autoradio Clarion avec commandes au volant et le régulateur de vitesse libérant le pieds qui peut désormais marquer le tempo. Par ailleurs le vaste coffre est plus à même de recevoir le volumineux matos du groupe.
Un départ sur les chapeaux de roue donc pour le chanteur emblématique des Fossoyeurs, qui pourra dans des conditions inégalées continuer son long travail vocal.

samedi 25 décembre 2010

Ils Sont Nés Les Divinenfants !

Casley and Ibra : Welcome in the world... Poun n'est pas encore grand père, mais il est déja grand oncle !

vendredi 24 décembre 2010

Mille et Trois Nuits


En regardant le total des messages, je m'étais promis de faire quelque chose pour le mille et unième.
Je m'étais dit que ça changerait un peu des multiples de cent habituels. C'était sans compter avec le coté envahissant des Ho Ho Ho qui ont accaparé mon attention et m'ont détourné de mon idée première.
Tant pis, à défaut je vais donc fêter le mille troisième message, tout en déplorant que le mille et unième soit consacré à une ordure déguisée en père noël alors que j'aurais préféré qu'il tomba (comme Alberto) sur le précédent, consacré à Lolo. Et je me faisais la réflexion tout à l'heure, en ce réveillon de Noël, que j'aurais aimé être Harry (Al Rachid) confortablement installé sur quelques moelleux sofas écoutant cette chère Razade égréner ses contes orientaux, ,bien plus intéresssants que leurs sirupeux homologues hivernaux, surtout racontés par Lolo...
Quoiqu'il en soit, que ce Noël vous soit mystérieux et sensuel comme un conte oriental.

jeudi 23 décembre 2010

Ho Ho Ho ! 7


Baoulinda notre batteur V1.0 et choriste honoraire des UFR devrait enfin acheter une vraie moto à sa femme. Une moto plus Rock'n Roll ! mais en attendant, il souhaite à tous des fêtes sur des chapeaux de roue.

Ho Ho Ho ! 6


Parce que c'est un acteur-né, qu'il a décidé de travailler une scène du Père Noël Est Une Ordure pour la jouer devant vous, Phil le Carré vous souhaite un repas de Noël festif et roboratif, préparé par Monsieur Preskovich : Il y aura des Klug roulés sous les aisselles !

Ho Ho Ho ! 5


Celle que nous considérons comme un présent vivant fait à notre groupe, Lololalolo, vous souhaite une soirée de Noël pleine de cadeaux et de surprises par milliers.

Ho Ho Ho ! 4


Notre Barde, immuablement immobile, Vous souhaite un réveillon de Noël en charmante compagnie.

Ho Ho Ho ! 3


L'UltraBassiste du XXIème siècle notre Pascou, taquin et joueur, grand amateur de coca dans sa boisson ambrée, vous souhaite un Noël pétillant de bonheur.

Ho Ho Ho ! 2


Notre Leader Maximo, et sa musculature d'athlète vous souhaitent de belles fêtes de Noël, pleines d'énergie et de vitalité.

mercredi 22 décembre 2010

Ho Ho Ho !


Rodolphe le mini-renne de gouttière et moi, on vous souhaite de très joyeuses fêtes de Noël !

4 XMas Here's Ze Nude Gift Guitar Girl Of Ze Day : Enjoy !

Carlita


Les UFR, par le biais de leur chanteur, étaient présents lors de la venue du couple présidentiel à l'occasion de l'inauguration du nouveau bâtiment de l'hôpital d'Avignon.
Qu'il fut émouvant de pouvoir côtoyer quelques instants Nico et Carla dans une quasi intimité complice.
Cela donna au chanteur des idées de chanson, qu'il se promit de soumettre illico au Leader afin qu'il les ajoute rapidement au répertoire du groupe.

A noter, sur un pilier en arrière plan, un drap tricolore. Il dissimule une plaque commémorative. sans doute celle des trente ans de présence du chanteur dans cet établissement ?

mardi 21 décembre 2010

Concert au Fox Taverne : Le Récit

Il est onze heures ce mardi matin de fin décembre et je suis au milieu d’une foule dense de blouses et tuniques blanches. Comme les autres j’attends mon ministre de tutelle, l’onctueux Xav, ainsi que son patron Nico et la belle Carlita. Dans ce grand hall du centre hospitalier Henri Duffaut à Avignon, on se croirait dans une de ces ultramodernes gares tgv, vastes et propres, impersonnelles, bruyantes, effervescentes, témoins hightech de l’industrieux savoir faire français dont nous savons si bien présenter les rutilantes réalisations aux quatre coins du monde, avec une prédilection pour les plus démocratiques d’entre eux.

On se presse, on se rassemble, on ironise et on plaisante. Il y a là des directeurs, des chefs de bureau, des cadres, des médecins, et quelques agents triés sur le volet dont la fine fleur des partenaires sociaux. Je suis abordé par une dame toute pimpante qui officie dans les bureaux. C’est une de ces petites gens, dignes dans la modestie, comme les aime notre président. Humble et laborieuse, elle est une des indéfectibles mailles du tissu administratif français. Elle porte sur ses épaules des décennies de bureaucratie, elle en a fait sa culture, son mode de pensée. Inconditionnel soutien de la hiérarchie, elle est toujours prête à accorder sa confiance à ce petit homme si plein d’énergie, si méritant, qui se donne sans compter, luttant contre les éléments contraires pour maintenir contre vents et marées la frégate France sur le cap de la croissance. « Mon Dieu s’exclame-t-elle, je suis tout émue de le rencontrer, il fait tant de choses pour nous, les gens qui se lèvent tôt !». Dans un premier temps je souris, en connivence avec ce que je perçois comme un second degré à peine appuyé. Et puis je me rends compte que non, elle me parle sans ironie, avec conviction. Miséricordieux je n’en rajoute pas, je me fais évasif et veule, tout en m’éloignant imperceptiblement.

Mais là bas sur le parvis, au milieu des casquettes et des costumes sombres, des blouses empesées des mandarins madrés et flagorneurs, on s’agite : le cortège présidentiel s’approche, précédé des estafettes motorisée. Au milieu des ronds de jambes et des sourires obséquieux, Il arrive, tout sourire, suivi de sa charmante épouse. Après avoir salué les huiles il plonge dans la foule acquise et s’y baigne avec volupté, serrant les mains à la volée, distribuant paroles et encouragements tandis qu’à coté Carlita du haut de ses talons plats qui la maintiennent au gabarit de son homme perché sur ses talonnettes comme un berger des landes sur ses échasses, minaude en inclinant la tête et agite la main façon Miss France, toute gentillesse déployée ainsi qu’une goélette filant vent arrière sous les alizés.

Alors que je filme l’événement avec mon photophone, « pour la postérité » je me prends à rêver et m’abstrait quelques secondes de cette effervescence. Que ressent cet homme en cet instant ? Éprouve-t-il cette grisante sensation de la scène médiatique, a-t-il cette conscience aiguë d’être le point de convergence des regards, des attentions, des intérêts, des allégeances ? Ou bien n’est-ce pour lui qu’une re-présentation de plus, une obligation professionnelle qui ne lui procure plus aucun frisson de plaisir ? Peut on se lasser de ces manifestations de ferveur, perdre le contact avec la réalité, s’isoler dans un monde artificiel et reclus, se brûler aux feu du pouvoir, s’user à l’abrasion des honneurs ?

Ceci me ramène quelques jours en arrière. La soirée au Fox Taverne où nous avons donné notre concert. Comme c’était bon, puissant, entêtant, enivrant d’être sur une scène et de sentir à mesure l’émotion gagner l’assistance.
Le pari n’était pourtant pas gagné. Il s’agissait de proposer notre répertoire à une assistance jeune, venue là pour faire la fête, bien loin d’être acquise à notre cause. Le lieu, le Fox Taverne, est l’endroit branché du moment. Comme nous l’avouait un peu incrédule Jean Christophe l’un des associés, qui nous avait déjà accordé sa confiance du temps de l’Oxbridge : « on n’a rien compris ! C’est devenu Le lieu branché de Nîmes ! Les jeunes se retrouvent ici, on ne sait pas bien pourquoi, et ça fait neuf mois que ça dure… » « Rends-toi compte, me confia-t-il en riant, on est en train de dépasser les deux mille amis sur FaceBook ! ». « Ouahouh » commentai-je admiratif, moi qui ne comptabilise qu’une vingtaine de contacts au bout de deux ans d’activité intense.
Dans ce contexte je fus surpris quelques heures auparavant, attablé avec mes condisciples du mythique UFR, de ne pas éprouver tant de stress que ça. Une légère tension bien sur, mais rien d’exagéré. Rien en tous cas qui ne puisse être géré au moyen de quelque adjuvant alcoolisé.

L’installation sur la minuscule scène de quatre mètres carrés s’était effectuée de manière plutôt fluide après que nous ayons pu nous garer juste devant le bar, franchissant les bites automatiques protégeant l’accès aux rues piétonnes avec l’assurance de pop stars confirmées. La noria des matériels divers avait été rapide et le patron avait prié des clients installés sur la scène transformée en alcôve cosy de bien vouloir céder la place. Une fois les meubles déménagés nous avions pu serrer nos instruments sur la légère surélévation de l’estrade lambrissée et faire nos réglages sous les efficaces indications de Jean Christophe.

Nous étions arrivés assez tard car peu d’entre nous avaient pris leur après midi, c’est pourquoi la fin des réglages, vers 20 heures, coïncida avec la collation servie par le Fox. Heureusement lors de notre rendez vous chez les Smith pour le chargement des camions, nous avions dégusté quelques larges crêpes qui nous calèrent efficacement l’estomac car le repas anglais ne fut pas aussi copieux que lors de nos derniers rendez vous.
Après avoir salué la mère d’un ami de mon fils Vincent, laquelle était venue tout exprès sous les conseils de son fils pour nous écouter, je rejoignis mes amis à notre table.
Outre une bière et des verres de vins, on nous apporta un grand plat de charcuteries et des parts de fromage de hollande. Certains d’entre nous n’y prirent pas garde, considérant que c’était sans doute l’entrée d’un festin à venir, cependant une fois le plat nettoyé il fallut nous rendre à l’évidence : il s’agissait là du plat de résistance. Et ce n’est pas le dessert chocolaté en forme de tarte parfumée à la fraise Tagada qui infléchit positivement cette première impression.

Comme à l’accoutumée, nos amis investirent les lieux à mesure que la soirée s’installait. Le Kéké, Les Richebois, les autres Richebois, les Labeaune père et fils, Notre Chroriste Honoraire, Membre Fondateur Le Baou de Camplaniais, le Dieu-KreaX et de Dieu KreaX : la femme, les Thevenon, les frères siamois de la propreté Hub et Eric, ainsi que des amis d’enfance musiciens du batteur, nos épouses et maris respectifs, nos mères et nos enfants. Parallèlement la salle se remplit d’inconnus de tous âges. Le niveau sonore s’accrut, le bruit des conversations recouvrant progressivement le programme musical ambiant. L’atmosphère chaleureuse d’un pub s’installait.
Jean Christophe m’avait abordé peu de temps auparavant, m’indiquant l’heure de début du concert, et définissant une, voire deux pauses afin de permettre aux clients de déguster les bières, whiskies et shooters proposés à la vente.

D’une manière quasi informelle, après un léger signe vers le bar, sans trac ni solennité, presque par hasard, comme de vieux soldats blasés partent à l’assaut de la citadelle sans se formaliser de la crucialité de l’instant, sur un dernier échange de regards entre les uns et les autres afin de s’assurer que chacun était prêt, le Carré envoya la sauce.
Et je compris rapidement que cette sauce-là allait prendre et que cette soirée laisserait loin derrière, nos meilleurs concerts. Car non seulement l’ambiance était au rendez-vous, mais aussi nous étions au sommet de notre forme. Le son notamment, de l’avis de tous, ne fut jamais aussi bon, piloté en temps réel il est vrai par le vigilant KreaX et l’épisodique Hub.

Rien d’original dans notre programmation musicale. Notre répertoire habituel, sans nouveauté aucune si ce n’est un habillage cosmétique différent de deux de nos titres : Oublie et Le Cochon dont le début est parlé.
J’avais fait part à l’un de nos amis de mes regrets quant à cette absence de renouvellement mais celui-ci avait dissipé mes craintes de manière assez simple : « Tu sais me dit il, en ce qui vous concerne vous avez l’impression de toujours chanter la même choses, mais pour nous qui assistons à vos concerts, au contraire nous sommes contents de réentendre des titres qui nous plaisent. Quand on va voir une vedette sur scène, c’est avant tout pour écouter des morceaux qu’on a dans la tête, et pas seulement pour découvrir des nouveautés.
C’est donc relativement rasséréné que j’entrepris mon boniment et Attaquai avec notre très rodé EcoloSong.

La première partie fila comme dans un brouillard. La longue déferlante qui nous porta tout au long des huit premiers titres nous drossa jusqu’à l’entracte, nous abandonnant dans un état d’exaltation, comme si nos corps étaient surchargés d’endorphine au terme d’un sprint olympique. J’eus le sentiment, aux regards de l’assistance, aux commentaires et encouragements de tous, que nous avions su captiver notre auditoire au-delà de toutes nos espérances. Les conversations à l’entracte firent écho à ces impression, ces sensations brutes, leur donnèrent forme, et nous confortèrent dans notre plaisir et notre certitude d’avoir fourni ce qu’il fallait.

D’habitude, après le succès de la première partie, notre frêle esquif se fracasse sur les récifs de la seconde, désorienté qu’il est le plus souvent par une perte de repères due à une consommation mal maîtrisée de stimulants. Mais cette fois-ci nous avions appris la leçon, et chacun sut mettre de la modération dans l’étanchement de sa soif. La reprise fut donc du même niveau de qualité que la première ce qui contribua à consolider l’emprise que nous avions sur le public. Nous l’avions conquis, nous sûmes le garder et lui donner encore du plaisir.

Même les problèmes techniques dus à des coupures d’électricité n’eurent pas de prise sur notre prestation. Nous avions décidé de faire une deuxième pause, et comme par magie les plombs sautèrent opportunément pile poil au bon moment. Pendant qu’au bar on s’afférait pour trouver l’origine de la panne, Nous terminâmes le morceau en duo batterie-voix, en acoustique sous les ovations des clients. Cela permit une deuxième vague de consommation très profitable au Fox. Une fois le courant rétabli nous conclûmes notre tour de chant par des reprises bien rythmées, dont les Clash et leur God Save The Queen sous l’hystérie de certains participants.

Il y eut un rappel, auquel nous répondîmes hélas par deux titres déjà interprété faute de munitions.
Cette pénurie relative devrait être résolue pour les prochains concerts, reprises et compos se bousculant désormais et n’attendant que notre assiduité pour s’installer dans notre répertoire.

C’est vers une heure du matin qu’on se sépara : Le concert abordé avec un peu de réticence aussi bien par le groupe que certains de ses fans se révèle le cru le plus exceptionnel de toute son histoire à tous points de vue, l’aspect lucratif n’étant pas le moindre puisque nous avons touché le meilleur cachet de toute l’histoire du groupe !

Mais surtout nous avons prouvé, nous NOUS sommes prouvés, que nous étions capables de jouer devant un public inconnu, sans honte, et avec succès. Ce qu’il fallait démontrer.

lundi 20 décembre 2010

La Playmate de Noël du Jour

Les Dessous d'Une Supercherie


Tout le monde pense qu'à l'issu de notre concert au Fox Taverne, nous avons été grassement rémunéré.
Il me faut ici dénoncer une grossière bien qu'innocente supercherie dont je suis certain qu'aucune des personnes nous connaissant un tant soit peu n'aura été dupe.
Bien évidemment, que nous n'avons reçu aucune rétribution pour notre prestation.
Encore heureux qu'un propriétaire compatissant ait bien voulu accueillir nos vagissements dans son établissement. Nourris, abreuvés, Il n'allait pas EN PLUS nous payer pour ça ! Soyons sérieux ! Qui pourrait croire pareille fable ?
Surtout si on a pris le temps de nous écouter deux minutes d'une oreille distraite.
Le "cachet" n'était en fait qu'un jeu à gratter promotionnel qu'on distribuait aux consommateurs les plus méritants au cours de la soirée.
L'un de ces coupons, abandonné intact par un convive éméché fut récupéré par notre Leader.
Surprise : après grattage c'était un ticket gagnant !
Le tour était joué, ni vu ni connu j't'embrouille : La légende urbaine du groupe de rock amateur qui se fait rétribuer à la fin de son concert venait de naître.

dimanche 19 décembre 2010

Pour Préparer Noël, Envisage le Point de Croix (Ou Remets-Toi Au Yoga)

mardi 14 décembre 2010

Les Amis du Carré


Kéké a sobrement intitulé ce cliché pris lors du concert au Fox Taverne: Les amis d'enfance du Carré.
On aurait aimé en savoir un peu plus sur les deux mystérieux amis de gauche, "se tenant à sa gauche" devrais-je écrire, car ainsi formulée la phrase prête à confusion et pourrait amener le lecteur à penser que notre Carré a des amis de gauche au même titre qu'on a des amis noirs ou homosexuels, de même qu'on a un voisin de pallier juif ou croate, alors que BIEN SUR le Carré a des amis de toutes confessions ou origines ethniques et conditions sociales, et pourquoi pas de gauche tant qu'on y est..
Bref :
Qui sont ces deux communistes, d'où viennent-ils, que font-ils, comment ont-ils connus Phil, que font leurs parents ?
Autant de questions qui ouvrent des portes sur les zones d'ombres de notre sympathique batteur.

dimanche 12 décembre 2010

Le concert au Fox Taverne : Heureusement, Le Kéké Etait Là !




Remercions l'ami indéfectible des UFR, le célèbre photographe people Kéké, qui une fois de plus colle à l'évènement en nous offrant ces deux photos du groupe lors de cette dantesque soirée du concert au Fox Taverne. Il n'y en a pas des centaines : Il y en a deux ! j'ai même lancé un appel désespéré aux amis du Fox Taverne afin de récupérer d'éventuels clichés qui auraient été pris lors de cette soirée...

jeudi 9 décembre 2010

Veillée d'Arme

Comme à l’accoutumée, le prochain concert va clore un cycle. L’année écoulée à ce titre fut singulière puisqu’elle me donne l’impression de ne constituer qu’un cycle à elle seule ! En effet peu de place a été laissée à la création de compos ou au travail sur des reprises tant nos répètes hebdomadaires ne furent consacrées qu’aux préparations des venues en studio pour le CD ou en répétitions préparatoires de concerts ou d’animations d’anniversaires. C’est pour cette raison sans doute qu’elle me parait moins lumineuse que certaines autres, plus laborieuse, ennuyeuse et frustrante parfois.

C’est pourquoi je suis très heureux que ce concert, idéalement placé en fin d’années, soit le portail ouvrant sur une nouvelle période dont j’espère qu’elle verra la naissance de nombreuses créations musicales ou d’achèvements de travaux laissés en jachère par la force des choses et le poids envahissant de cette autre vie qu’on appelle « quotidienne » qui s’étend au-delà de celle du groupe et qui la phagocyte bien trop à mon goût !
Au hasard je pense à ce fameux CD qui présentera l’état de l’art des UFR en 2009 ! Les titres qui seront gravés sur la galette pour une partie notable ne sont plus chantés de la même manière, et d’ailleurs certaines compos que nous interprétons depuis un an n’y figureront même pas ! Une chose est certaine, et j’en ai discouru déjà dans ces colonnes, même si l’objet n’est toujours pas entre nos mains, du moins sa difficile conception nous a-t-elle obligés à travailler sur nos pratiques et conduits à de notables améliorations.

Ces dernières répètes n’ont contribué qu’à stabiliser les acquis, à entretenir la technique. Il nous a fallu ramer après plusieurs semaines de séparations jusqu’aux rivages de l’automne pour retrouver un niveau correct. Les empêchements des uns et des autres ces dernières semaines n’ont pas permis d’espérer mieux. Ce sera donc un concert sans surprise que nous livrerons vendredi 10 décembre au Fox Taverne. Les titres seront rodés, éprouvés sur de nombreuses scènes déjà ; seul le lieu de la représentation ainsi que sa fréquentation, assez jeune semble-t-il constitueront des inconnues. Saurons-nous capter l’attention d’un public dns lequel nos amis seront en minorité ? Cela sera l’enjeu majeur de cette rencontre. A l’aune du succès ou de l’échec, selon que le verre sera à moitié plein ou vide, nous saurons où nous situer sur la fragile échelle de notre séduction musicale.

Finalement le facteur de stress premier de cette prestation tient surtout dans la lourdeur des manutentions de matos : démonter, transporter, remonter, régler puis démonter et porter à nouveau sont autant d’opérations pénibles et fastidieuses qui pèsent sur nos décisions de jouer à tel ou tel endroit et en tempèrent le plaisir.

Au maigre chapitre des évènements marquants de ces semaines écoulée, lors des deux dernières répètes, nous avons pu découvrir et admirer la nouvelle guitare de notre Leader : une Fender Stratocaster. Au-delà de l’aspect légendaire de l’instrument, qui rejoint au patrimoine du groupe la Fender Bass Précision de l’Ultrabassiste, il faut bien reconnaître que sa sonorité est incomparable. Elle illumine les titres de tonalités chaudes et amples, plus précises et limpides, se découpant mieux dans l’espace sonore, dont j’espère qu’elles donneront à notre guitare solo l’envie de se transcender pour donner du plaisir au public de même qu’elle a nous a séduits en répète.

En cette veillée d’arme je suis serein. J’ai le désir qu’on nous apprécie, et l’envie d’être le Maitre de Cérémonie d’une soirée. J’ai envie que ces petits merdeux se disent « les vieux, ils assurent ptdr ;-p ! » Mais on sait que tout cela est affaire très subjective, dont les paramètres ne sont jamais totalement maîtrisés. J’espère donc à tout le moins que les UFR retireront du plaisir à l’exercice, et la satisfaction d’avoir fait ce qu’il fallait. Mais qu’aussi ils sauront promouvoir leur style et leur univers musical tout en justifiant leur stratosphérique cachet.

mercredi 8 décembre 2010

Le Pur Son du Pur Sang





Fox Taverne : Le Flyer du Concert


Envoi De Poun par SMS : L'affiche de notre concert.
"Elle est placardée dans toute la ville" Précise-t-il.
"Quand la sagesse est Pure rock indique le texte", j'espère que cette promesse ne rebutera pas la juvénile fréquentation du lieu.

mardi 7 décembre 2010

>>>>>Bartoldi Revival

lundi 6 décembre 2010

La Live Guitar Girl Of The Day

dimanche 5 décembre 2010

Pourquoi Le Barde ?


on appelle Jésou "Le Barde" en référence à son rôle titre dans le poème symphonique éponyme de Sibelius "Le Barde" (1913) tiré de l'épopée finlandaise du Kalevela. Jean Sibelius relevait d'une opération du larynx à la suite d'un cancer. Interdiction formelle lui avait été faite de boire une seule goutte d'alcool. "Le Barde", composé dans cette période de tempérance se révéla d'une sombre mélancolie,en rupture notable avec les ambiances des créations précédentes.

Vous aurez reconnu, dans les bras de notre Barde, un luth. A cette époque notre musicien des UFR ne possédait pas encore de guitare.
Sa pratique du luth fut le résultat d'une méprise : passionné de catch et autres formes de combats à mains nues, Jésou avait manifesté son désir de pratiquer la lutte gréco-romaine. Le Noël suivant sa mère lui offrait un luth, argumentant qu'elle n'en avait pas trouvé de gréco-romain, et que d'ailleurs on ne disait pas UNE luth, mais UN luth ; mais celui-ci venait d'Italie, donc des descendants des romains, ce qui n'était déjà pas si mal.

Ne voulant pas vexer sa maman, et bien que sans don particulier pour la musique, il se mit à pratiquer l'instrument... C'est à cause de ça qu'on l'entend toujours aujourd'hui, au sein des UFR.

samedi 4 décembre 2010

Super Jalousie

vendredi 3 décembre 2010

Rencontre Nocturne

UFR : The Seventies Spirit

jeudi 2 décembre 2010

Chanson Automatique et Rimes Aléatoires

J’suis un renard en cavale
J’ai des pensées bestiales
Et je n’suis pas chaud
Pour offrir ma peau
Aux corbeaux cannibales

REFRAIN :
J’ai tourné ma Paraboles
Vers des paroles
Qui s’envolent
Pour kiffer l'rock'n'roll
J’n’ai pas besoin d’une Les Paul

J'ai la couenne bien épaisse
Insensible aux caresses
Et je n’suis pas chaud
Pour risquer ma peau
J’suis allergique au stress

REFRAIN

J'ai l'futur dans le black
Telle une machine sans feed back
Et je n’suis pas chaud
Pour brûler ma peau
Au projo d’un cul de sac

REFRAIN

Je suis un vieux tamanoir
Confit dans l’alcool de poire
Et je n’suis pas chaud
Pour m’esquinter la peau
Aux brûleurs d’espoir

mercredi 1 décembre 2010

Sportif de L"Année : J'ai Fait Mon Devoir... Et Vous ?

Vous aussi sur midilibre.com, cochez la case Yannick AGNEL !

... Mais quand il aura gagné, ça serait bien que CETTE FOIS il parle des UFR et de leur incroyable talent quand on l'interviewera.

Dernière minute : Le sondage est clos... Mauvaise nouvelle, Yannick n'a pas démérité, mais ceux qui ne manquent pas d'air, les coureurs et les joueurs de baballe on brouillé les cartes. C'est pas encore qu'on parlera des UFR !