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vendredi 25 mai 2012

Feria 2012



Feria de Pentecôte du mercredi 23 mai au lundi 28 mai 2012.


Les cartels de la Feria de Pentecôte 2012 :

Mercredi 23 mai

18 heures

Toros de Victorino Martin pour Diego Urdiales qui confirmera son alternative, Alberto Aguilar et Joselito Adame.

Jeudi 24 mai

18 heures :

Toros de Torrehandilla pour Paquirri, El Fandi et Juan Pablo Sanchez.

Vendredi 25 mai

11h30

Novillos de Virgen Maria pour Alvaro Sanlucar, Juan Leal et Cayetano Ortiz.

18 heures :

Toros de Garcigrande pour El Juli, Sébastien Castella et Saul Jimenez Fortes qui confirmera son alternative.

Samedi 26 mai

11h30

Toros de Niño de la Capea pour Juan Jose Padilla, Juan Bautista et El Cid.

18 heures :

Toros de Miura pour Javier Castaño, seul contre six.

Dimanche 27 mai

11 h 30

Toros de Zalduendo pour Javier Conde, David Mora et Thomas Dufau.

18 heures :

Toros de Fuente Ymbro pour Curro Diaz, Matias Tejela et Ivan Fandiño qui confirmera son alternative.

Lundi 28 mai

11 h 30

Toros de Los Espartales pour Pablo Hermoso de Mendoza, Andy Cartagena et Joao Moura fils.

18 heures :

Toros de Juan Pedro Domecq pour Enrique Ponce, Alejandro Talavante et Daniel Luque.

Tiny Guitar Girl Of The Day

samedi 19 mai 2012

Fonzie et Laetitia Casta Sous la Douche Avec un Canard (Sous le Regard Pastel de La Vierge Marie)

J’avais une certaine appréhension en arrivant à la SJM ce mercredi. Notre dernière répète avait été catastrophique sur de nombreux plans, le rendu sonore n’ayant pas été le moindre, et un rapide sondage m’avait appris que d’autres membres du groupe étaient dans le même état d’esprit. J’avais presque été soulagé lorsque la répète suivante avait été annulée, d’autant que dans l’intervalle Pierrot avait composé et que j’avais écrit deux textes, tandis que de son côté Poun était sur le point de lâcher plusieurs bombes textuelles, ce qui me donnait le sentiment qu’enfin nous avancions et que la malédiction pouvait être vaincue.

Solex, le tout nouvel opus des UFR me semblait prometteur, en tous cas les personnes (dont certaines jeunes !) à qui je l’avais fait écouter lui avaient réservé un excellent accueil. C’est donc dans un état d’esprit bipolaire que je me présentai, sous les joyeuses léchouilles pubiennes des canidés domestiques : impatient de travailler Solex, et inquiet quant au reste.

C’est ce dernier sentiment qui hélas s’amplifia lorsque nous nous retrouvâmes dans la salle de répète.
Parlons un peu technique : Pour produire du son, désormais tout le monde se branche sur l’ampli de scène. Il y a 6 entrées mais quatre seulement sont réellement efficaces, les autres sont des entrées ligne dont la sensibilité est inadaptée à nos appareils. Entre les amplis et les micros qui transitent sur cette table, ce sont 7 à 8 prises qu’il faut caser. On peut brancher deux prises par entrée, mais cela atténue le son de chaque instrument ou micro, et en plus quand on en modifie un, on modifie les deux ! Autant dire que c’est un peu la foire d’empoigne et que ça fonctionne sur le principe du « premier arrivé-premier servi ».

Si le chanteur n’y prend pas garde il se retrouve sur la dernière entrée, le potard à fond et un filet de son qui suinte péniblement de celle-ci, comme quand je prends une douche pendant qu’Odile fait couler son bain, vous voyez le topo : tout soudain, au sommet de la félicité, la chaude ondée tropicale qui massait énergiquement mon épiderme se transforme en ruisselets mollasses et tièdes le long de mon échine, alors que ma moitié hulule joyeusement la Traviata en s’amusant avec son canard au milieu de la mousse parfumée aux essences de Guerlain. L’eau chaude passe par la baignoire avant d’atteindre la douche.

L’impossibilité de trouver un câble adapté pour ma pédale d’effets acheva de me mettre le bourdon. Je démontai le dispositif et branchai un micro en parallèle avec un instrument avec la certitude que ma voix serait pourrie. Mentalement je dictai à ma mémoire : « Agenda du chanteur, répète numéro 250, année 6, coordonnées espace/temps 6,55957. Note prioritaire à moi-même : la prochaine fois, penser à remettre en service la table de mixage de Poun pour les micros. Ca ne peut plus durer comme ça. Fin de message. Euh… ah oui et au fait, pendant que j’y pense, putaindemerdefaitchierpleinleculetoutçaetj’enbiiiipetoutescesprisescasseburnesetlesingénieurscoréensquiontconçucettebiiiiipeainsiqueleurdescendancejusqu’àladouzièmegénération. Fin, je dis bien fin de message, à vous les tripes, over ! »

Il faut aussi signaler que l’installation de tout le monde, et c’est normal, donne lieu a beaucoup de confusion, dans un espace somme toute réduit, surtout lorsqu’un musicien supplémentaire (invité permanent il est vrai) participe à la répète. Et encore nous n’avions pas fait le plein puisque Le Sax Symbol, Jean Paul qui était attendu tardivement pour des raisons professionnelles jeta finalement l’éponge.

Bref : l’ambiance genre hall de gare, mais sans les trains. On s’invective, on rit, on installe, on teste les instruments, on modifie les réglages, on sert des verres de cocas qui passent périlleusement de mains en mains, les bouteilles instables menacent de tomber, on fouille dans les sacs, on se prend les pieds dans les câbles, les manches de guitare fouettent l’espace à quelques millimètre de cranes dénudés, on accorde, la batterie roule, le piano fait ses gammes, on suçote les saxo, on souffle dans les harmonicas, on improvise quelques mesures de Led Zep, quelques secondes de Take Five, on se raconte les derniers potins en allumant des clopes et en renversant du coca sur les partoches, tandis qu’en même temps le Leader me demande de choisir le premier morceau, lequel est refusé par le Barde, le tout dans un ballet complexe d’éléphants dans une galerie d’art Ming. Les corps vont et viennent en se frôlant, en frôlant les praticables, en frôlant la catastrophe à chaque instant.

Il se trouve enfin qu’à la différence des autres instruments, la voix doit être chauffée avant d’atteindre sa pleine efficacité. En tout cas la mienne ! Je suis né en 57, les balbutiements du transistor, mais j’ai le sentiment que mon câblage interne se calque à peu près sur celui d’un ampli à lampes –rustique et fragile- : faut laisser chauffer ! Par conséquent pour éviter de me griller d’emblée les cordes vocales sur le premier morceau, je chante sans forcer, et dans le registre des graves (les graves de la gamme, pas ceux des terroirs bordelais). Dans cette configuration « en mode dégradé », comme on dit dans le milieu managérial, j’ai remarqué que souvent les guitares jouent dans la même plage de fréquence que moi, et il se passe alors un phénomène surprenant : les guitares me « mangent mon son » comme si leurs accords avaient l’effet d’un défoliant sur mon chant.

Le KreaX était présent sur Nîmes, car il avait rejoint les R. et Les F. avant le départ du lendemain pour un week-end prolongé à Séville, dans un hôtel du quartier de la Macarena, au nord-est de la ville. Il s’installa derrière le Bontempi de Lololalolo pour des accompagnements à quatre mains, puis squatta la guitare du Leader pour des impros sur nos morceaux. J’étais bougon. J’entamai mezzo voce Hit The Road, sur un rythme effréné du Barde. Je n’eu même pas le temps de déplorer de ne pas m’entendre que c’était déjà fini ! On embraya avec la même vélocité sur Docteur Bonheur, Bête de Scène, puis la Fille du Père-Noël. Il y eut une pause pour régler la balance et monter mon son et on poursuivit par Sweet Home Alabama. Un peu essoufflés peut-être, nous nous attardâmes sur ce dernier qui bénéficia de plus de retenu dans le tempo. On fut même un poil lent, comme le fit remarquer notre pianiste. Je n’ai pas pris de chrono, mais en effet on devait être un peu en dessous des 120 bpm (ce qui est ridiculement lent pour les UFR, qui tournent en général à 140-150).

Comme à chaque fois, je constatai l’effet apaisant de la musique sur mon état d’esprit qui tel ces petits sujets de plâtre coloré à l’effigie de la vierge Marie qui virent du bleu au rose en fonction du temps, se teinta de couleurs plus pastel. Les morceaux n’étaient pas parfaits, mais le son me parut meilleurs que les fois précédentes, tandis qu’un dernier réglage donnait plus de présence et de chaleur à ma voix.

On poursuivit par Whatever You Want, Chuppa Chups, Le Cochon, Jumping Jack Flash et enfin I Feel Good. Cette deuxième partie fut plutôt gratifiante. Je pus descendre dans les aigus, avec précautions toutefois pour préserver un rien de justesse. P. nous fit quelques beaux solos de sax. Je me sentais mieux, lâchant ma voix enfin, et surtout prenant du plaisir notamment sur le James Brown dont l’interprétation confirma notre maîtrise de ce morceau malgré le fait que nous l’ayons laissé en plan pendant plusieurs semaines. En guise de clin d’œil, nous reprîmes le célébrissime Tip Top La Moumou que nous avait offert le KreaX il y a quelques mois, la complexité du texte ne rebutant aucun des musiciens, Le Barde venant même pousser la voix devant mon micro. Nous retrouvions nos sensations, le plaisir de jouer ensemble, c’était bon : fin de la période Down Down : prêts pour Get Up !

C’est un quart d’heure avant la fin que le Carré s’enquit du dernier opus du Leader : Solex. C’est un morceau ludique, acidulé comme un bonbon des années soixante, un parfum d’Hollywood chewing-gum aux fruits, flirtant avec le rock’n roll des origines, coté Fonzie les Jours Heureux, mais en solex style front populaire, avec sur le porte bagage la Laetitia Casta de la Bicyclette Bleue, et quelques touches de piano (sans bretelles). Comme souvent les premières fois, la chance sourit aux audacieux et l’interprétation fut intéressante, en tous cas j’eu plaisir à me mettre en bouche le refrain : « Solex Drugs And Rock’N Roll dans mon équipée sauvage j’ai l’temps de voir le paysage », et cette phrase « j’aime pas les filles en pleurs j’préfère les filles en jean » qui deviendront j’en suis certain des répliques cultes de nos concerts..

Comme beaucoup d’entre nous faisaient le pont de l’ascension, nous fûmes un peu plus coulant avec l’horaire, le temps de savourer encore Solex, mais nous rendîmes la salle vers 23h15 après avoir souhaité bon séjour sévillan à notre section rythmique, charge pour elle de faire le plein d’ambiances et de nous les restituer à son retour.

vendredi 18 mai 2012

El Garagé 2012 : Fiesta Major




Coucou les amis

( Sé como touillour yé soui en rétar pour lés inbitationés )

Bendredi prosimo, cé séra la fiesta al GARAGE dé ché nou é nou bou inbitona a bénir a tomar el
Aperitibo y las tapas apré la corrida, cé a dire ber 21 horas


Nou séspéron qué bou biendré todos pour partager ce moment d amitie

Nou séspéron aussi qué la peña biendra nou faire bailar dan la rou como l année pasada


muchos besos a todas ………é a todos aussi



PS : nou sabon ate dé bou boir

Eric A.

Les UFR Sont à Seville pour l'Ascension

La section rythmique des Fossoyeurs est en week-end à Seville pour quelques jours de repos bien mérités..
Installés dans le quartier de la Macaréna, les premiers pas de Phil le Carré notre batteur, de Poun L'Ultrabassiste, et de l'Invité Permanent -le KreaX- les ont conduits vers la Maestranza, afin de prendre connaissance des cartels.
(par notre journaliste sur place Mitch le Sage)

mardi 15 mai 2012

Allez, Roule Ma Poule !

l'aller-retour fonctionne bien entre le chanteur et le Leader : ci-dessous, le texte modifié, amandé, et enrichi d'un refrain percutant par P. à partir de la base de solex écrite par Mitch...


Solex



J'suis pas un de ces rockers
Perfecto qui moule
Qui balancent et qui roulent
Et qui roulent ma poule
Qui s'éclatent en foule
Et qui hurlent en chœur
Avec leurs Harley
De Kéké-money de malheur


Je suis un rocker à cœur
Un rocker de plain-chant
Un daddy décadent
Qui se fout des carcans
D’la couleur de l'argent
Moi j'ai pas d'valeurs
J’veux pas de Harley
De Kéké-money de malheur


J’suis pas un de ces rockers
Sur leur moto qui roulent
Allez roule ma poule
Autour des nids d'poule
J'ai pas la fureur
Je suis pas james dean
J’aime les filles en pleur
Pas les filles en jean


D’accord mon vieux solex
Est un peu bricolé
À la colle patex
Et tout calaminé
Mais Il se la pète pas
Se la joue en douceur
C’est pas une Harley
De Kéké-money de malheur


REFRAIN


Solex drugs and rock’n roll
Dans mon équipée sauvage
Solex drugs and rock’n roll
J’ai l’temps d’voir le paysage

dimanche 13 mai 2012

Le Vide Grenier, Par Notre Journaliste Sur Place

Sous l'égide du Lionne's Club présidé par notre Françoise, Philou l'actuel président de la Compagnie du Cercle (qui a 10 ans cette année) avait loué un emplacement au vide-grenier installé ce dimanche boulevard Jean Jaures, en face de la brasserie éponyme. Les participants (dont je n'étais pas hélas, cloué que j'étais par une sévère attaque de flemme sur mon lit de douleur) avaient tôt le matin amené un bric à brac hétéroclite arraché des garages, la mort dans l'âme (on s'attache à ses rabaladis).

Des paires de ski ayant appartenu aux soeurs Goatchel, des chapeaux du siècle dernier, des ramequins en grès jamais utilisés, des vélos d'appartement conçus pour la route, des jouets arrachés à des enfants en pleurs, dont un superbe bateau en légo, des billes d'agathe vendues 10 centimes d'euro pièce, une boite pour transporter les chats mais pouvant servir à ranger des pinces à linge, une superbe assiette ancienne avec son certificat d'authenticité (mais je la reconnais : c'est l'assiette rare que ma mère nous a offerte et qui lui a coûté un bras !), un chauffage d'appoint, des cadres qui auraient fait rougir de honte notre encadreuse, des rollers taille 37 et les casques assortis, un briquet de table interdit à la vente, des bijoux fantaisie publicitaires,  deux bustes en platre de Shubert et Mozart (10€ les 2, allez, allez tout doit disparaître !), des lampes de chevets avec leur abat-jour d'origine (cadeaux de mariage)  et même quatre cartouches d'imprimantes epson dans leur emballage fraîcheur encore scellé, tels étaient entre autres merveilles les articles proposés à la vente sur cet éventaire à la Prevert dominical.
 
 
Le président et son épouse, qui avaient opportunément programmé une participation à un baptême en même temps que cette manifestation ne restèrent pas longtemps ; Mathieu, l'artiste de rue fit l'article devant des chalands hilares, Jésou eu froid et s'acheta un blouson d'aviateur (ça m'a couté 10€, je le garde la matinée, et je le remets en vente 20€ avant de partir !), Alain râla comme un pou car il avait une pelouse à tondre, Catherine R. avait tondu son Kéké la veille, Sylvie F. tenta de racheter tout le stock de ses copines de stand afin de compléter ses collections d'objets introuvables, Catherine A. ne lacha rien et vendit à des prix astronomiques tout un tas de trucs et de machins, Pascou tenta  d'appater le client en faisant des lots (tu m'achètes les skis je t'offre en prime le chauffage d'appoint), Catherine R vendit plutôt bien (notamment à Sylvie : finalement on aurait dû faire le vide-grenier chez elle, ç'aurait été plus simple plaisanta l'une de ses copines), Philou supplia qu'on lui achète une bricole et essaya même de soudoyer des passants en leur exhibant un billet de 100€, Eric A. vint faire un tour au saut du lit vers 11 heures avant d'aller aux Halles, Odile fit 14€ de vente en se marrant du début à la fin, gratta l'amitié à Valérie pour qu'elle lui achète un pain au chocolat et fit du charme au Baou pour un thé. On déplora, malgré une surveillance assidue des articles, le vol des deux casques de rollers...

Seul bémol : Pierrot notre Leader Maximo fut absent de la vente. C'est dommage, il aurait pu nous débarrasser des 8 guitares, des tambourins, kazoo, cornes de brume, batterie, triangle, saxo, harmonica, cor de chasse, violon, divers claviers ,accordéons et autres ustensiles électroniques qui encombrent notre salle de répète depuis cinq ans.

Une bien belle matinée donc.. Merci encore au Président pour cette idée originale et sa remarquable organisation.

vendredi 11 mai 2012

"Padam" Le Slow en Chantier de Pierrot : Un Texte Possible - Je Vole !

Je Vole

Après le temps des doutes
D'errance et de dérive
Enfermé dans dans ma prison
A en perdre la raison
Comme un Lion dans un zoo
A travers les carreaux
A chercher le phare
Dans ma nuit de réclusion
Je m'suis constuit un bastion
Pour enfermer les cauchemars

Et je vole
Je plane au dessus des remparts
Et je vole
Je les brise de part en part

Parfois sur la route
De toutes mes esquives
Parfois il me prend le doute
De ne pas trouver la rive
A travers les cartes du tarot
Que je tire le soir
Je ne vois que le manteau
Du fantôme de mes cauchemars

Et je vole
Je plane au dessus des remparts
Et je vole
Je les brise de part en part


Je contemple la route
La rivière et ses rives
Enfermé dans ma prison
A travers les barreaux
La vie me submerge tel un flot
J'ai retrouvé l'espoir
J'ai abattu les bastions
J'ai vaincu les cauchemars

Et je vole
Je plane au dessus des remparts
Et je vole
Je les brise de part en part

La Concurence Est Rude !

Ce petit échange de SMS entre P. et Mitch, autour d'une chanson, afin que vous puissiez découvrir les coulisses de la création musicale.. C'est pas les fleurettes et les sentiments éthérés : non, la bataille est rude, les artistes valeureux, pour construire le slow de l'été 2012 ! A l'ère de l'instantanéité et de l'information tous azimuts, tous les e-moyens sont bons pour promouvoir son produit musical !


Le 9 mai (vers 19h)
Mitch le Sage
Je t’ai envoyé en mail un texte reeeeeeemarquable qui s’intitule "solex" bien sûr tu peux l’adapter etc...
 
Le Leader Maximo
Ok very nayce
 
 Mitch le Sage
Tu verras c’est bien écrit spirituel drôle pertinent court : facile quoi
 
Le Leader Maximo
De mon côté j’ai commis une ébauche de musiquette.
C'est pas encore tip-top mais ça peut s'arranger..
Je te l'envoie.
 
Mitch le Sage  
Ahhhhhhh les affaires reprennent !
 
9 mai vers 20h45 :
Le Leader Maximo
J’aime bien ton solex
 
Mitch le Sage
Attends je vais le regarder, je l’ai pas lu encore…

9 mai vers 22h45 :





Mitch le Sage
J’ai écouté ton morceau. J’aime ! Mais c’est un slow !  Notre premier slow !


10 mai 8h22 :
Mitch le Sage
Salut pierrot tu as déjà fait  un texte pour ton padam ?
 
Le Leader Maximo
Pas vraiment
 
 Mitch le Sage
Je peux essayer d’y mettre qq chose dessus ?
 
Le Leader Maximo
Ben oui.
C’était le but initial.
Il y a Pascou qui est aussi sur le coup
 
 Mitch le Sage
Oh putain va y avoir compète ! Pendant ce temps emporte ta guitare en tournée et COMPOSE !
 
Le Leader Maximo
Sur la moto c’est  pas très secure ..
 
Mitch le Sage
T’es pas un aventurier toi ! Comment veux-tu qu’on avance ! Moi j’emporte mon stylo partout
 
10 mai 11h11 :

 Mitch le Sage
Je viens de t envoyer en mail Le TEXTE du slow. J’y ai mis mes tripes. J’espère qu’il te plaira.


10 mai 14h20 :

Le Leader Maximo


Quelle rapidité !!??
Tu les avais en stock ou c'est du neuf ?

Mitch le Sage
C’est du neuf : il y a deux jours et ce matin

Le Leader Maximo
C’est super.
Le problème c’est que
Pascou vient de m’envoyer deux "balades bordelaises ".
Le choix va être terrible.

Mitch le Sage
Ah merde.... Eh ben tu n’as que l’embarras du choix pour une fois

Mitch le Sage
Tu peux pas m’envoyer ses textes bordéli... Bordelais ? Et pourquoi bordeaux au fait ?

Le Leader Maximo
Parcequ 'il rentre d’une  retraite spirituelle en pays bordelais.
 
Mitch le Sage
Ah ok... Envois moi les textes.. Moi je rentrais d’une retraite spirituelle à Fresne.

Le Leader Maximo
Je ne les ai pas encore .Il m'a juste envoyé un texto de son cabinet m'annonçant la chose ..

Mitch le Sage
Ouais mais bon... Des annonces des annonces... En ces temps de crise ce qui compte c’est le concret ! La solution rapide de maintenant et pas les promesses de quasi gascon d’après demain. Enfin moi j'dis ça.... J'dis rien... Mais si j’avais à choisir.. Malgré le talent de Pascou... Ma décision serait déjà prise

Le Leader Maximo
On devrait peut -être créer une commission, , un référendum ou une sorte de padam-académie  pour le choix final?

Mitch le Sage
Oh putain on est mort ! Le projet est enterré mort-né et puis nikoss
Aliagass est pas libre

Le Leader Maximo
Lol

Mitch le Sage
[ta chanson] Je me la repasse en boucle depuis midi : ça va faire un carton (une fois qu’on aura réglé des problèmes de voix mineurs)

Mitch le Sage
et ne crois surtout pas que je tente un coup de lobbying


10 mai 20h45 :
Le Leader Maximo
Tu n’aurais pas d’autres couplets en stock ?
ça fait un peu court, il me semble.
 
Mitch le Sage
Ben j’en ai pas fait plus je me suis conformé à ton morceau... Tu sais il fait déjà 2,30... Putain pour une fois que tu m engueule pas parce que c’est trop long !
 
Le Leader Maximo
Désolé
 
Mitch le Sage
Lol
 
Mitch le Sage
Concrètement : le 2ème couplet il fait 8 ou 10 vers ? 8 c’était délibéré ? Si oui on pourrait suivre la progression et en faire  un dernier de 6 ? On laisse comme ça : 2 couplets, ou on en fait trois ?
 
Le Leader Maximo
Pas con
 
Mitch le Sage
Je te laisse réfléchir, et tu me dis ?

11 mai 12h25 :
Mitch le Sage
Ca en est où la chanson ? Tu as reçu les textes de Pascou ?

11 mai 18h36 :

Mitch le Sage
Salut p. Je viens de t'envoyer en mail "je vole" version longue. Un couplet de 10 et deux couplet de 8. Avec au 5eme vers une phrase plus longue pour la petite variation vocale... Si tu pouvais faire un essai... Chanté par toi et me l'envoyer... Merci bonne soirée bises à toute la famille.

11 mai 20h32 :

Le Leader Maximo
Désolé de ne pas t'avoir répondu plus vite mais je suis un peu surbooké. Des que j'ai un moment je m'occupe de tout ça. Arrivée derchi.

Mitch le Sage
Pfffff.. Les artisses... A+

Les Affaires Reprennent !

Le mois de mai est un activateur de synapses... la montée de sève sans doute.
Lors de notre dernière répète, et les errances durant les trois séances précédentes de Down Down -que décidément nous n'arrivons pas à nous approprier- j'étais un peu abattu. Comme d'ailleurs la plupart d'entre nous. Le sentiment de faire du sur-place, si ce n'est de régresser, à cause d'un titre maudit à nos oreilles, nos doigts et nos cordes vocales, qui a réussi l'exploit rare de même pourrir le son global de notre orchestre. Je ne reconnais plus notre son : celui des guitares est sale, le piano semble désaccordé, je n'entends que cacophonie dans ma tête et ma voix est à l'unisson de ce désastre musical. Au final Down Down porte bien son nom, les UFR n'ont jamais autant tutoyé le néant artistique. La confiance acquise lors de notre travail sur James Brown s'est évaporée. Sous le coup d'un état mélancolique post répète, près des voitures, au moment de la cigarette du départ, je me suis pris à penser tout haut "qu'avant c'était mieux" et que ça faisait longtemps que nous n'avions rien composé. Poun et Pierrot étaient à coté, on convint que ça pourrait nous changer les idées : Le Leader parla de se remettre à la compo, à la condition que Poun et moi nous penchions à nouveau sur l'écriture.

Lors de l'anniversaire de Marine, notre filleule, auquel Poun et moi étions conviés, nous parlâmes du Groupe, de nos difficultés actuelles, du fait que ça faisait des mois que nous n'avions rien créé de neuf. Nous tantâmes de nous rappeler quel était le dernier titre des UFR : Il fallut remonter à  Chuppa Chups, créé fin 2010.  Mais Pascou m'apprit que Pierrot avait repris la compo quelques jour auparavant, et qu'il avait déja une esquisse à proposer. Je fis la remarque qu'il fallait alors que nous écrivions une bricole pour profiter de cet élan artistique de notre Leader, et battre le fer pendant qu'il était chaud-bouillant. Pascou m'avoua avoir déjà commis quelque texte, dont il n'étais pas encore satisfait. Je le fécilitai pour cette initiative, et tantai de réfléchir à un thème. Un thème qui ne tourne pas autour de l'écologie, ou de nos mal-êtres existentiels, la peur de vieillir, les problèmes de couples, enfin des trucs de vieux, quoi ! Pour plaisanter je poursuivis : Tiens, vu que je n'ai pas d'idée je vais faire un truc sur..... le solex !


Et c'est ce que j'ai fait deux jours après !

Solex

J'suis pas de ces rockers
Perfecto qui moule
Qui balancent et qui roulent
Et qui roulent ma poule
Qui s'éclatent en foule
Et qui hurlent en chœur
Avec leurs Harley
De Kéké-money

Je suis un rocker à cœur
Un rocker de plain-chant
Un daddy décadent
Qui se fout des carcans
D’la couleur de l'argent
Moi j'ai pas d'valeurs
J’veux pas de Harley
Le solex ça le fait

J’suis pas de ces rockers
Sur leur moto qui roulent
Allez roule ma poule
Autour des nids d'poule
J'ai pas la fureur
Je suis pas james dean
J’aime les filles en pleur
Pas les filles en jean
J’hypnotise les foules
Au son de mon solex (bis)

Parce que mon solex
Un peu bricolé
À la colle patex
Tout calaminé
Les pneus dégonflés
Guidon déjanté
Le frein desserré
Il se la pète pas
Ne fait pas le fier à bras
La joue en douceur
Le solex du rocker

 REFRAIN

J’veux pas de Harley
Mon Solex il me plait
J’veux pas de money
Je veux juste chanter
Au guidon d’un solex
Au guidon d’un solex




mardi 1 mai 2012

Pour Le VRAI Travail...

Un Brin de Muguet Pour Ma MoMan...

Pour tous les membres des UFR qui n'ont pas pu porter physiquement le traditionnel brin de muguet à leur maman, voici une post à lui montrer tandis  qu'on lui téléphone...

C'est le 1er Mai !