Website Ribbon

jeudi 31 octobre 2013

La Playlist du Concert du Flaherty's le 22 Novembre

Comme toujours : On n'est pas prêts ! Tout est en chantier, on ne se rappelle plus certains morceaux travaillés pour la dernière fois il y a six mois. On ne sait même plus où sont les breaks, les ponts, les solos, les reprise, qui fait quoi, à quel moment.. Enfin, la routine. Et pourtant, comme le Titanic fonçant dans la nuit au milieu de l'Atlantique nord parmi les glaçons ivres dérivant, en toute inconscience on fonce tête baissée vers notre destin. Les Fossoyeurs creusent leur propre tombe, et ils en sont fiers ! En cette nuit d'Halloween, ça parait presque normal...


lundi 21 octobre 2013

Tout Sur Mary, Selon JP



Préambule, 
Pour une fois qu'un membre des UFR fait un effort pour publier un article dans ce blog, le webmaster ne boude pas son plaisir et publie la contribution in-extenso, même s'il ne partage pas totalement le résultat de la traduction du texte de cette chanson mythique...

Plus connue par la version de Ike et Tina Turner (1971), Proud Mary est en fait une chanson du groupe Creedence Clearwater Revival (1969). John Fogerty y parle d’une domestique qui, fatiguée de s’épuiser pour son homme, quitte son travail (Left a good job in the city) prend le bateau pour descendre le Mississipi. Cela ne se passe pas forcément très bien mais l’orgueilleuse Mary (Proud Mary) fait face et s’en sort grâce à la générosité des riverains.
Le refrain évoque la course du bateau à aubes sur la rivière (Big wheels keep on turning).
« Proud Mary » femme ou bateau ? L’ambiguité  est volontairement entretenue. La phrase « Pumped a lot of pain down in New Orleans. » est un jeu de mot : pain (la souffrance) se prononce comme pane (abréviation de propane).
Bonus : pourquoi « Creedence, Clearwater, revival » (foi, eau claire et renaissance).
« Creedence » est un jeu de mot évoquant un ami de John Fogerty : Credence Nuball.  » Clearwater » évoque l’engagement écolo du groupe mais est aussi une pub pour une bière. « Revival » milite pour un retour aux sources du Blues.
Traduction : www.coccinelle.net
Left a good job in the city
J’ai abandonné un bon boulot en ville
Working for the man ev’ry night and day
Je travaillais jour et nuit pour cet homme
Then I never lost a minute of sleep
Je passais alors mon temps à dormir
When worrying ’bout the way that things
En m’inquiétant de la façon dont les choses
Might have been.
Ont pu dégénérer.
Big wheels keep on turning.
Les grosses roues tournent,
Proud Mary keeps on burning.
Marie l’orgueilleuse brûle.
RollingElle roule
RollingElle roule
Rolling on the river.
Elle roule sur la rivière.
Cleaned a lot of plates in Memphis.
J’ai fait des milliers de vaisselles à Memphis
Pumped a lot of pain/pane down in New Orleans.
Et dépensé beaucoup souffrance/énergie à la Nouvelle-Orléans.
But I never saw the good side of the city
Mais je n’avais jamais remarqué l’avantage d’être en ville
’til I hitched a ride on a river boat queen.
Jusqu’au jour où j’ai fait du faire du stop en bateau.
Big wheels keep on turning.
Les grosses roues tournent,
Proud Mary keeps on burning.
Marie l’orgueilleuse brûle.
Rolling
Elle roule
Rolling
Elle roule
Rolling on the river.
Elle roule sur la rivière.
If you come down to the river
Si vous descendez le long de la rivière
Betcha gonna find the people who live
Je vous parie que vous trouverez des gens qui y vivent
You don’t have to worry though you have no money.
Et ne vous inquiétez pas si vous êtes sans le sou
People on the river are happy to give.
Les habitants de cette rivière sont généreux

dimanche 13 octobre 2013

Répète Au Studio Jaune : Press Book


















vendredi 11 octobre 2013

Un Concert au Flaherty's : Les Pickles





 












jeudi 10 octobre 2013

Sympathy Au Studio Jaune A Paloma





Pour approfondir votre culture musicale autour de ce titre, je vous suggère de faire un tour sur cette page Wikipedia :

mardi 8 octobre 2013

Pink Floyd

Pour mon récent anniversaire, mon épouse, Odile Aux Blanches Mains, ex choriste des UFR, m'a fait un cadeau original : deux places de concert "La Face Cachée de la Lune"  de Thierry Balasse, au théâtre de Nîmes.
Par coïncidence, Notre Leader, P. , ainsi que l'excellent batteur de jazz Jérôme I., l'homme à principe, assistaient à l'évènement à quelque sièges de nous. On se souvient que ce dernier avait été un de nos guests il y a un peu plus d'un an lors de répètes en vue d'un concert pour l'anniversaire d'un de nos amis Eric M. en l'absence de notre drummer officiel Phil le K. Hélas l'aventure n'avait pu se concrétiser faute d'un travail suffisant.
Le groupe de musiciens et d'acousticiens français a repris le Dark Side Of The Moon des Pink Floyd. Pour ce faire, ils ont retrouvé les instruments et les objets de l'époque.
C'est en écoutant et réécoutant le disque que Balasse et son équipe ont reconstitué les réglages du Moog sur lequel les Floyds avaient bidouillés des sons, qu'ils n'ont jamais pu retrouver par la suite.
De ce fait, les Floyds ont été incapables de reproduite les morceaux de Dark Side en concert avec les instruments originaux, ils ont toujours dû se contenter de jouer sur la bande son enregistrée en studio !
Expérience bluffante en tous cas, qui nous a transportée une quarantaine d'années en arrière et remémorée le choc qu'a été la découverte de cet album de légende,  à mi chemin entre le rock et la musique expérimentale mêlant lyrisme et poésie.