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mardi 28 juin 2011

Undertakers : C'est Imprimé Dans Le Crâne !

Secret de Concert : La Légendaire Souplesse du Chanteur

Cette agilité de chat, cette aisance naturelle que le Barde lui envie, et qui contribuent au premier chef au succès incomparable du groupe en concert, Mitch, le chanteur des UFR dont la discrète élégance le dispute à un mental d'acier, les doit à un squelette parfait, que nul sport n'a jamais abîmé et qu'un régime de compétiteur de haut niveau a maintenu dans un état de conservation qui force l'admiration à un âge aussi avancé. Malgré les manipulations complexes de micro, les mouvements incessants de l'ossature de la cage thoracique, et le rythme effréné imposé à des membres inférieurs taillés pour l'arpentage des scènes les plus vastes "Le Sage" poursuit depuis bientôt cinq ans ce marathon du rock au long d'une carrière incomparable.
D'ores et déjà le chanteur a fait don de son squelette au musée du rock à Memphis, lorsque dans de nombreuses années il sera temps pour lui de rejoindre ses idoles à Graceland in Heaven, le paradis des célébrités du Rock'n roll et que les plus grandes sommités de la communauté scientifique pourront enfin examiner son corps et répondre à cete question : Mitch était-il de nature Divine, ou Héroïque ? .
Ci-dessous, une vue scanner de cette charpente d'exception.

samedi 25 juin 2011

Un Nouveau Micro : Modèle Fukushima

Vous lisez la presse avec discernement et méfiance, votre sensibilité flirte avec les thèmes chers à la Joly Eva, et Monsieur Hulot ne vous laisse pas indifférent. Leurs thèses sur les danger du nucléaire allument dans votre tête des voyants rouge, et vous êtes un fan inconditionnel de EcoloSong le titre-phare des Undertakers dont notre Ultrabassiste à jeté les mots sur le papier avec la rage du désespoir face l'indifférence confortable avec laquelle nous sombrons chaque jour un peu plus dans le chaos écologique entraînant dans notre épave le futur sombre de nos progénitures prostrées.

Bref vous êtes un citoyen averti, responsable, amateur de la vraie musique : le Rock'N Roll, celle qui a accompagné toutes les étapes de notre vie, depuis notre plus tendre adolescence jusqu'à nos jours, et qui nous a inspirés, apaisés, nourris et divertis sans faillir, qui jamais n'a triché ni cédé au sirupeux chant des sirènes d'une industrie musicale moribonde dans sa forme actuelle.

Si de plus vous êtes chanteur, ce micro est pour vous. Outre ses capacités sonores hors du commun, il présente plusieurs avantages.
Muni d'un câble type téléphone, il permet de ne pas s'emmêler les pieds dedans et procure un large rayon d'action depuis la scène jusqu'au coeur du public.
Sa forme pommeau de douche et son caractère étanche jusqu'à mille mètres permettent le chant dans toutes conditions d'humidité, depuis la douche domestique jusqu'aux contreforts de la fosse des Mariannes.
Il est muni d'un dispositif  "choc à trois cent" approuvé par le Dr. House, utilisable en concert pour ranimer dans l'urgence pendant le pont musical une fan âgée hystérique dont le coeur défaillirait à la vue de notre Leader Maximo.
Il permet de tester l'innocuité radioactive de la salle de concert. On sait que le massif central ou la bretagne notamment sont des régions fortement émettrices de gaz radon qui s'accumule dans les caves et les espaces clos et affole au delà de toute mesure tous les seuils d'alerte. La fonction "compteur Geiger" de ce micro permet donc de jouer en toute sécurité, ou de négocier un contrat plus important au vu des dommages encourus.

Enfin, comme dirait Charlotte Lebon, la charmante miss-météo du Grand Journal de C+  de sa voix mutine aux accents caribous : Il peut servir de moyen de contraception ! Madame peut en effet avantageusement remplacer le pénis flacide de son cinqua habituel par cet ustensile hygiénique, muni de tous les réglages permettant de varier les distractions en écoutant son titre des Fossoyeurs préféré...

Un bien bel objet donc, que le chanteur des UFR, Mitch le Sage, projette de tester prochainement pour le concert du 13 juillet.

vendredi 24 juin 2011

Le Doigt, Le Doigt, Le Doigt !

mercredi 22 juin 2011

Three Little Mice

lundi 20 juin 2011

On N'Est Toujours Pas Prets... Mais Sur Un Malentendu...

Un concert privé sera organisé à Ritchwood Hall le 13 juillet. Voici le programme musical proposé par notre Leader :

Voici deux possibilités de programme avec les songs choisies mercredi dernier:


MIXE :

-S.H.Chicago
-Proud M.
-Road J.
- Doc. B.
-Every B.
-Dutronc F. P.N.
-Chupa chups

_____P_A_U_S_E____

-Brown S.
-Juke Box
-S.H. Alabama
-Wath Ever
-Cochon
-God save
-Caroline
- B.D.Scene

ou SEGMENTE :

-B.D.S.
-Chupa Chups
-Doc B.
-Dutronc F.P.N.
-Juke Box
-Cochon
___P_A_U_S_E______

-Proud M.
-S.H.Chic
-Road J.
-Everyb.

__R_E_P_A_U_S_E__O_U__P_A_S___

-Brown S.
-S.H.Alaba
-Wath ever
-Gode save
-Caroline

Toute autre idée est évidemment bien venue

A +

dimanche 19 juin 2011

Un Dentiste Bien singulier..

Le secret de la colossale fortune de Poun ? Facile : déguisé en dentiste local, il écume les marchés de Calcutta pour arracher aux pauvres les dents qu’il réimplante aux riches nantis nîmois en faisant une hénôrme plus-value ! Pas étonnant qu’il puisse se produire sur scène avec les instruments aux marques les plus prestigieuses.


Son modus operandi , bien rodé, est toujours le même face à la misère et l’illétrisme des gens de peu : il attire le chaland dans ses rets en avançant un état buco-dentaire déplorable. Il arrache alors sans anesthésie les dents commandées quelques jours plus tôt par ses commanditaires du quartier de la Tour Magne, puis abandonne ses victimes édentées à leur triste sort. Les récalcitrants, les mécontents sont impitoyablement livrés à des forces de l’ordres sous-payées, donc aisément subornables au moyen d’un maigre bakchich.

Cette photo volée par un photographe de presse en immersion dans la population indienne nous est parvenue un peu par hasard alors que nous faisions des recherches dans google pour un article futur. Quelle ne fut notre surprise en découvrant sous les traits de cet intouchable au bonnet bleu, le faciès caractéristiques de notre "ami". Gageons que désormais, confronté à sa forfaiture, il brandira avec un peu moins de véhémence ses idées socialisantes sur les inégalités et l’injustice des hommes !

vendredi 17 juin 2011

Cauchemar de Batteur

Je regardais Phil Le Carré dernièrement. Il avait les traits tirés, et une lueur d'épouvante semblait hanter encore ses yeux rougis aux pupilles dilatées. "Lendemain de feria" m'objectera le nîmois de souche, opposant l'évidence aux conjectures les plus folles sur l'état d’esprit de notre moulineur de fagots. Mais ce n'était pas celà : Quelques jours auparavant j'avais pu constater qu'il avait traversé sans encombre la succession de bodegas dont nous avions honoré les comptoirs. Exercice dont d'autres, dont ma légendaire discrétion m'oblige à ne pas révéler l'identité, s'étaient nettement moins bien tirés.

"Phil, tu as mauvaise mine !", lançai-je pour rompre le mutisme qu'il opposait à ma sollicitude tandis-qu'il contemplait son limoncello d'un regard morne. C'est d'ailleurs ce détail qui m'alertait. Dieu sait qu'on ne connait à notre Carré aucun vice notable. D'un naturel sobre, il avait cessé de fumer depuis plus d'un an. Son poids ne trahissait aucune gloutonnerie et d'ailleurs sa pratique assidue d'un sport de combat -le golf- ne pouvait que le maintenir en forme. Cependant il ne refusait jamais un petit verre du limoncello de Sylvie, notre accueillante hôtesse, à la buvette de la SJM. C'était son péché mignon, sa petite fantaisie, bien innocente. Et là il semblait ignorer avec le plus grand mépris l'offrande acidulée des Fabre.

La belle voix grave de notre Carré, celle qui avait chaviré le cœur de lolo, dans sa bouleversante interprétation de Behind Blue Eyes dans la version Limp Bizkit, rompit comme à regret le silence, hésitante, puis se raffermissant à mesure qu'il prenait de l’assurance :

"En ce moment je ne sais pas pourquoi, moi qui dort comme un bébé habituellement, je fais chaque nuit systématiquement le même cauchemar ; ça me réveille en sursaut, et après j'ai toutes les peines du monde à me rendormir".

« Mince ! » Compatis-je. « Et te souviens-tu de ton mauvais rêve après le réveil ?

"Oh oui, comment oublier ça ! En fait je suis en concert. Avant de monter sur scène P. le Leader me donne ses dernières instructions et conclut, répétant l'expression à plusieurs reprises : "propre et carré, Phil, souviens-toi : propre et carré".

« Le concert commence et j'ai cette phrase qui tourne en boucle entre mes deux hémisphères, comme un loop dans une mauvaise boîte à rythmes, "propre et carré, propre et carré, propre et carré" et petit à petit ça me paralyse, et je ne peux pas m'empêcher de ralentir, alors P. me regarde et je vois la fixité de son regard, et ses yeux ténébreux. Ca me glace le sang, Je me reprends, je retrouve le tempo, mais la guitare rythmique semble plus rapide : j'essaie de la rattraper, mais quand on est à peu près synchro, mes bras semblent animés d'une vie propre et ils commencent à battre, indépendamment de mon esprit, et on dirait à la fin le rythme effréné du poignet de ma mère qui me préparait mon lait de poule à grands coups de fourchette dans un bol de faïence quand j'étais gosse, avant de partir à l'école.

« et tout d'un coup mon esprit s'échappe de mon corps, je ne contrôle plus ce dernier, je flotte dans les cintres et je vois l'orchestre. Tous s’adressent des signes de tête, manifestant leur incompréhension, et la voix de Pierrot fait comme une mélopée, jointe à l'unisson puis en harmonie par celles des musiciens, chacun empruntant une ligne mélodique, comme la danse des dauphins qui slaloment dans l’océan marquant chacun son sillage dans l’immensité bleue agitée de légers clapotis. Alors que Mitch improvise des variations africaines "propre et carré, propre et carré, propre et carré". Je suis impuissant, le public scande maintenant dans une fiévreuse bacchanale ce quatrain infernal ; je ne parviens pas à rejoindre mon corps, je tente de brasser l'air ridiculement, comme un Yannick Agnel sous acide, pour rejoindre mon alter ego onirique, mais un souffle puissant , un mur liquide sirupeux, s'opposent à ma progression, tandis-que je vois mon double ricaner diaboliquement en dardant de ses yeux hallucinée des flammes infernales : « Propre et carré, Phil, on t'a dit propre et carré... tu sais pas lire une partition, tu sais pas suivre les instructions ?! Non !! Répond d’une même voix le public, extatique et rugissant, noyant telle une houle profonde les accents de l'orchestre sous ses vagues amples et sourdes.

« Avec horreur, depuis ma position élevée, je vois soudain que mon corps se transforme, les traits se durcissent, mes vêtements disparaissent, absorbés par ma chair qui se racornit puis se craquèle, laissant apparaitre un assemblage métallique qui imprime à ma silhouette déformée des mouvements saccadés, désordonnés au début, tandis qu’un gigantesque métronome prend place derrière la batterie. Une sculpturale playmate jaillit des coulisses et avec des mouvements lascifs, rejetant sa guitare dans le dos à la manière d’un guitariste folk échappé de l’ile de White saisit le balancier à deux mains et lui imprime un premier mouvement, pesant de tout son corps aux seins tendus. Le retour est lent tout d’abord, puis comme s’il venait à la vie le fléau qui prend les allures d’une faux démesurée acquiert une autonomie propre tac, tac… tac, tac…. La playmate s’écarte et saisit un jack au bout d’un long câble, se rapproche de mon double et le plante à l’emplacement où quelques instants auparavant se trouvait un sexe. L’assemblage humanoïde se cambre sous l’assaut des volts qui se déversent en crépitant. Et mon corps en constante transformation, mon alter ego métamorphique s’anime ; les mouvements de la machine et de cet être qui n’est plus moi mais une chose cybernétique animée par l’enfer, battent désormais en phase. Les musiciens ont disparus depuis longtemps, semblant se liquéfier puis imprégner de flaques sales les planches de la scène qui vibrent comme des cordes de basse, le public lui-même s’est fondu en une masse obscène qui produit un son similaire au ôm des bonzes de l’Himalaya. Ne subsiste que cette chose de métal, caricature humaine sans grâce, aux mouvements mécaniques, qui scande d’une voix d’airain pardessus le battement des caisses : « Propre et carré, propre et carré on t’a dit ! ». Et soudain, la force qui me retenait cède, et je suis attiré vers l’automate inexorablement, et je suis aspiré par la gueule ouverte de cette machine infernale dans un atroce grincement de métal. Je perds toute notion de temps et d’espace. Je ne ressens que le froid du métal qui me glace jusqu’au plus profond de mes os.

« L’instant d’après je suis devenu ce robot effrayant, je vois par ses yeux, en images saturées et plates, striées de parasites vidéos et de lignes de trames. Mes membres artificiels se meuvent contre ma volonté, je suis emprisonné dans cette boite, incapable d’agir. Je sens mon esprit qui sombre inexorablement dans la folie, incapable d’autre chose que de psalmodier sur des rythmes binaires : propre et carré, propre et carré..

« C’est à ce moment, où le désespoir m’étreint et que l’hystérie me gagne, que je me réveille, en sueur, haletant assis dans les draps défaits, examinant mes mains, incrédule puis enfin rasséréné, pantelant, épuisé.


« Et ben putain ! Fis-je, reprenant soudain mes esprits puis refermant d’un coup sec ma mâchoire pendante. Je défis le bouchon de la bouteille posée sur la table dont la fraîcheur givrée acheva de me ramener à la réalité : Tiens, reprend du limoncello…

jeudi 16 juin 2011

Un Nouveau Micro

Alors, tous les membres du groupe s'achètent des trucs et des machins plus merveilleux les uns que les autres pour produire du son, griffés par les marques les plus prestigieuses. Guitares, saxos, claviers, amplis viennent s'entasser dans une SJM dont la surface utile rétrécit comme une peau de chagrin et laisse de moins en moins de place à l'humain, phagocyté à mesure par un appareillage carnassier. Seul je m'accroche à mon vieux M56 Béta filaire, dont la conception remonte au milieu des années soixante.

Mais moi aussi je peux faire des frais somptuaires pour développer mon chant. Ainsi ce nouveau micro Shure expérimental. Sa conception révolutionnaire permet d'emprisonner les fréquences "dans le masque" comme disent les professionnels du chant, et ainsi de capter les bonnes vibrations,  toute la quintessence de ma tessiture si particulière afin de mieux les restituer aux auditeurs sans que la plus infime d'entre elles ne manque à l'appel.

De plus cet accessoire présenterait l'avantage de préserver mon anonymat en concert, bien que je n'en aie pas réellement besoin : en une vingtaine de représentations, le public a soigneusement veillé à ne jamais m'aborder, si ce n'est une fois un type corpulent à l'haleine chargée pour commander une bière, m'assimilant tout naturellement à un des employés du bar du fait de mon charisme anémique,  tandis que tous se pressaient avec ce mélange de respect et d'amour qui sied aux fans vers les autres membres du groupe, même le batteur*.

On dira ce qu'on voudra sur mon ego démesuré, mais au moins de ce point de vue je ne risque pas de faire de l'ombre au reste du groupe : je suis transparent, j'ai développé une capacité innée à susciter le désintérêt, voire l'indifférence et personne ne cherche à en savoir plus sur moi que le strict nécessaire : c'est bien simple, si je ne me présentais pas moi-même à la fin du concert, personne ne saurait qui je suis ! Ma timidité naturelle en milieu à forte densité de population et ma crainte maladive des foules sont ainsi préservées, et je remercie Dieu pour ce Don incomparable qu'il m'a fait.

* ici , les guillemets d'usage : c'est un joke, juste histoire de finir la phrase. j'ai beaucoup d'admiration pour le batteur, de même d'ailleurs qu'envers chacun des membres du groupe dont je respecte et salue le talent, le travail, le sens artistique.

dimanche 12 juin 2011

Baby GuitarMate Of The Day

samedi 11 juin 2011

Le KreaX Nous Fait Des Infidélités !

Exclusif : cette photo volée sur un réseau social nous prouve que le KreaX qui nous affirmait être un inconditionnel des UFR et nous réservait exclusivement ses participations, butine à droite et à gauche. Le KreaX est un pistachier ! De plus quel manque de goût : observez la guitare du vieillard fuschia qui se prend pour Jimmy Hendrix.

jeudi 9 juin 2011

Le Départ Au Laos

Alain D. Nantana, Emma et Marc leurs jeunes enfants nous quittent définitivement pour le Laos. A cette occasion, ils ont reçu la quasi totalité de la Compagnie du Cercle pour un pot de l'amitié autour de quelques grillades chez Le Président et sa charmante épouse Lololalolo.









lundi 6 juin 2011

Cochon : Final Cut

dimanche 5 juin 2011

Rions Un Peu...

Répète à la SJM, exceptionnellement ce samedi. Nous accueillons Le KreaX qui essaye pour l'occasion son nouveau piano, fraîchement acheté quelques heures plus tôt chez Milonga après d'âpres négociations menée par l'impitoyable Poun, qui a fait pleurer sa mère à une vendeuse effondrée, en larmes à la fin de la discussion. En matière de marchandage, Poun n'a pas d'égal sur la place, il sait faire rendre gorge au plus roublard des marchands de tapis. Des sanglots dans la voix, le patron de Milonga en personne après une joute verbale de plus de trois heures quarante s'est vu obligé d'offrir, la mort dans l'âme, UN CÂBLE DOUBLE JACK.. en tout cas son équivalent sous forme de bon d'achat à valoir sur sa prochaine acquisition hors action promotionnelle et dans les points de ventes partenaires de l'opération, dans les six mois, si la valeur atteint 1000€. Respect.

A noter, au delà des qualités artistiques incontestables de cette séquence, surtout dans sa dimension burlesque, la technique pianistique très particulière du KreaX : Il joue l'oreille collée sur les touches, sans doute pour mieux ressentir à travers sa chaîne ossiculaire, les vibrations des deux puissantes baffles de notre ampli de scène.

Egalement on remarquera, et on aura raison que ce n'est ni très bien chanté, ni très bien filmé. J'en conviens. Cependant j'inviterai les critiques à s'adonner au même exercice que moi : Chanter ET filmer en même temps. Je pense qu'ils seront plus indulgents, après.
Par ailleurs, Le Barde comme à son habitude s'est révélé impérial.

Le KreaX Ajoute Un Korg A Son Parc

Nous nous donnons rendez-vous chez Milonga ce samedi matin afin de permettre au KreaX, venu exprès de Narbonne, d'essayer le piano Korg, marque mythique, dont il souhaite faire l'acquisition.
Une panne de courant due aux orages nous oblige à patienter dans un café, après avoir été refoulés par l'aimable équipe de Milonga. Pascou, affûté comme une lame de Damas, en profite pour donner des conseils à Michel pour marchander l'objet. On connait les talents de négociateur de Poun, dont un des titres de gloires a été de conclure l'achat d'une voiture AU DESSUS du prix malgré la défense farouche du vendeur.
Fort de ces conseils, nous revenons galvanisés vers le magasin de musique afin de concrétiser l'acquisition.
le Barde et l'Ultrabassiste  s'extasient devant une vitrine de pédales d'effets. Ils imagine déjà les bruits bizarres qu'ils pourraient engendrer avec ces dispositifs, et les acouphènes  provoqués de manière irréversible chez leurs auditeurs. Celà les met en joie !
Pierrot teste la bête sous le regard impatient du KreaX : Une vendeuse est attendue afin de faire la démonstration de l'appareil. Bien que peu familier avec la disposition des réglages, il ne faut que quelques secondes à notre Leader Maximo pour se lancer néanmoins dans un boogie d'Arthur Smith d'excellente facture. La marque des Grands !
Ca y est ! la belle démonstratrice est là ; complètement subjuguée par le charme de l'odontologue de Narbonne, elle perd une partie de ses moyens et peine à retrouver les célèbres réglages Fender qui font l'attrait de cette machine qu'on pourrait imaginer designée par Pininfarina.
Pendant ce temps nous musardons dans les rayons. Pierrot déniche ce superbe grille-pain rétro tout en chromes et boutons, interfaçable sur la ligne de retour des amplis.
Enfin ! sous le regard bienveillant de Jack, Le KreaX peut donner libre cours à sa verve musicale en accompagnant de superbe façon une reprise d'un everybody needs somebody de légende. dommage, nous n'avons pas eu la présence d'esprit de l'enregistrer.
Au final, et malgré ce qu'il est convenu d'appeler "un temps de merde" nous avons passé un samedi musical en compagnie de notre ami d'outre-Gard qui restera gravé dans nos mémoire au fer rouge de notre émotion.

vendredi 3 juin 2011

Cochon For Ever


Une nouvelle mouture du clip porcin.

Encore Un Tour de Cochon

mercredi 1 juin 2011

El Garage Come Back Again Por La Feria


Un Vieux Cochon Recadré et Remasterisé

Pou Pou Pi Dou !

Elle a eu 85 ans aujourd'hui. Inoubliable dans son interprétation de Diamonds are the girl's best friends