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dimanche 18 janvier 2009

La Vérité sur l'Incident Jako

Nous nous sommes retrouvés ce samedi après midi pour une pure séance de travail. Rendez-vous en avait été donné mercredi dernier après une soirée plutôt ludique et plaisante. En préambule toutefois, il me faut mentionner que le vendredi soir Jésou et moi avons rejoint Pascou et Pierrot au Haddock Café. Comme l’indiquait le flyer publié tantôt, la soirée du vendredi est consacrée aux amateurs. Nos amis étaient donc allés en repérage afin d’étudier la possibilité de s’y produire. Cependant la formule retenue par les organisateurs ne correspond pas vraiment à ce que nous recherchons. En effet il s’agit d’un groupe qui met à disposition ses compétences et sa sono pour accompagner des chanteurs qui peuvent interpréter des titres d’un cahier de chant qu’on fait circuler dans la salle. Une sorte de karaoké, finalement, sans l’écran de télé.

Lorsque nous sommes arrivés, Jésou et moi, nous sortions du match de foot. Nîmes recevait Sedan, et le crocodile n’a fait qu’une bouchée du sanglier des Ardennes. C’est donc éperdus d’allégresse face à cette nécessaire victoire des rouges sous peine de relégation annoncée, que nous avons quitté le stade et nos acolytes habituels. Durant le parcours mes pensées vagabondaient dans la forêt des évènements musicaux que nous avons partagés depuis deux ans (rappelons que notre première répète a eu lieu le 13 janvier 2007). Je me rappelai notamment le concert donné par les Blue Bit de Jako au Hadock Café quelques mois auparavant. J’avais cette image de Jako dans la tête, et il m’est arrivé une chose assez effrayante. A mon sens, et j’en ai discuté par la suite avec mes camarades, il s’agit d’un phénomène d’autohypnose. Mon cerveau s’est leurré lui-même. Après le rapide et approximatif résumé que vous avez pu en lire dans ces colonnes dans un commentaire de Jésou, je vais tenter de vous en narrer la chronologie.

A notre arrivée, sur la scène, les blue dream s’activaient mollement devant une assistance très clairsemée. Il était tard déjà et la majeure partie de la clientèle avait déserté le lieu. A droite de l’entrée nous aperçumes , attablés, Pascou, Pierrot, un type dont je sus par la suite qu’il se prénommait Rémy et… Jako. Me précipitant vers eux, je serrai distraitement les mains de mes amis et me jetai sur Jako comme un banc de sauterelles sur un champ de manioc. Je trouvais que c’était une incroyable coïncidence, ayant pensé à lui dans la voiture, de le rencontrer là. Il était un peu dans le fond, mal éclairé, mais je reconnaissais clairement sa silhouette malgré l’absence de mes lunettes, ce qui m’avait d’ailleurs un peu handicapé durant le match pour observer l’heure au gigantesque tableau d’affichage du stade.

J’allais vers lui, et tout en l’assurant de ma joie de le voir je lui souhaitai une bonne année, poursuivant, dans un flot volubile sur le souvenir qu’il nous avait laissé lors de son dernier concert, et sur le fait que nous serions bientôt prêts pour retourner en studio et enfin sortir ce CD dont nous parlons depuis un an, celui de nos compos persos. Il me regardait avec bienveillance, écoutant ma logorrhée. Je m’assis en face de lui tout en ôtant mon blouson et continuai à l’inonder d’infos diverses et variées sur les activités des UFR. Tout le monde me regardait, je sentais Jako préoccupé, et mes amis très silencieux. Une main se posa alors délicatement sur mon épaule, et le visage de Jésou se pencha vers moi. Il me murmura à l’oreille, comme un médecin compatissant qui aurait avec ménagement annoncé quelque pathologie terrible à son patient :
« Michel, c’est pas Jako !
« Hein ?
« C’est pas Jako michel. C’est Pedro !
Je regardai Jésou, je regardai Jako.
Et là tout soudain il y eut un basculement. Comme si j’émergeais de la gigantesque lessiveuse à tourbillon circulaire de la porte des étoiles après un voyage sous narco-cryogénie.
« Pedro ! Enchaînai-je, à peine perturbé par l’info, comment vas-tu ?
Pedro est un personnage assez flegmatique, il avait suivi mon délire avec une courtoise prudence, tandis que ses compagnons de tables moins charitables y allaient, chacun, de leur commentaire à peine amène.

Bon, bien sûr on connaît leur potentiel imaginatif débordant : il soupçonnèrent d’emblée l’ébriété post-troisième mi-temps. Il ne fallait pas en attendre beaucoup plus, et je ne relevai même pas. De mon coté j’étais surtout intrigué par ma méprise. Qui n’était pas la première. J’ai déjà une paire de fois été dans ce genre de situation où la réalité bascule, où je me sens un court instant à la dérive. Ainsi une fois au Canada, j’avais erré durant plusieurs heures dans un complexe commercial, ne reconnaissant plus les allées ni les magasins, avant de comprendre que j’avais été piégé : il existait en fait DEUX complexes quasiment identiques, séparés par une passerelle que je me souvenais plus avoir empruntée. Et plusieurs fois j’ai pris une personne pour une autre, ou bien discuté longuement et péniblement avec des personnes qui semblaient bien me connaître mais dont je n’avais pas la plus petite idée sur leur identité. Je n’ai pas la mémoire des visages, et dans certaines situations au contexte flou ou inhabituel j’ai du mal à discriminer.

Voilà, je crois que j’ai mis le doigt dessus : tout ça c’est une histoire de contexte mental, et d’une réalité que le cerveau veut faire rentrer dedans, même si pour ça comme le sujet de test peine à faire rentrer la pièce carrée dans un trou rond, le dit cerveau force un peu aux encoignures à coup de marteau pour que ça rentre. Je « voulais » que ce soit Jako, la machine inconsciente a fait le reste. Et j’ai eu Jako. Bon, un jako un peu mal fichu, pas tout à fait standard, avec pas exactement la même tête ni les mêmes proportions ; mais si on analyse bien, de toutes les personnes attablées, c’était celui dont l’aspect général était le MOINS ELOIGNE de Jako.

C’est ce que j’ai tenté d’expliquer samedi à mes copains qui ne se privèrent pas de me demander des nouvelles de Jako. Pour éclaircir les raisons de ma méprise j’utilisai une analogie :
Ainsi, invité par des amis à l’apéritif, tu demandes un jus d’ananas. Tu discutes de choses et d’autres en pensant à ton jus d’ananas. Tu le visualises. Tu en as le goût dans la bouche. On te tend un verre. Tu bois : hummmm, c’est bon l’ananas ! Mais soudain quelque chose t’alerte : ce n’est pas l’ananas de d’habitude, celui dont tu te souviens de la saveur. Au début tu ne faisais pas très attention, ça avait vraiment le goût d’ananas, mais en goûtant à nouveau, tu t’aperçois que c’est du pamplemousse, et pas de l’ananas. Ca n’a rien à voir avec l’ananas, même. Et tu te dis : comment j’ai pu me tromper, lors de la première gorgée ? : Autosuggestion !

Mais laissons cela. Les oubliettes de l’histoire feront leur œuvre, et dans quelques jours plus personne ne s’en souviendra.
Cette conversation se poursuivait dans la SJM, alors que de discrets plumets de vapeur s’exhalaient de nos bouches tandis que nous parlions. A l’extérieur, à travers les fenêtres recouvertes de givre sur leur surface interne, je pouvais distinguer le jardin ensoleillé. Heureusement, je portais mes mitaines. Le contact du métal froid du micro est très pénible. Ca perturbe mon chant, qui perd de sa clarté cristalline et m’entraîne inconsciemment à chanter dans un autre ton.

C’est d’ailleurs sur ce sujet que porta l’entame de la répète. Pierrot me fit travailler la mélodie de « cent balles » également connue sous le titre "Juke Box". J’étais un peu perdu, entre les consignes données le mercredi par Lolo, et les conseils du jour de Pierrot, en matière d’harmonie. J’avais l’impression qu’on me disait tout et son contraire. Encore sous le coup de l’incident Jako, je me pliai toutefois à ce qu’on m’indiqua. Après tout, quand on prend Pedro pour Jako, on peut confondre un Sol et un La. Je leur laissai donc le bénéfice du doute. Profil bas, on ne fait pas le mariole ! cependant cela me perturba quelque peu, m'amenant à réfléchir sur chaque note alors que je chantai, me demandant cosntamment si je n'étais pas en train de passer à la tierce sans m'en apercevoir. Je dis "à la tierce" comme je dirais "en configuration course" : je ne sais pas bien ce que ça signifie concrètement, sinon que quand on chante ainsi en duo, ça fait joli. Evidemment, chanter tout en lisant le texte pour être sûr, et contrôler scupuleusement chaque vibration de sa gorge, ça ne facilite pas le transit sonore, et tempère singulièrement la spontanéité.
Pascou fut de son coté conseillé sur un tempo approximatif pour lequel il avait été contrôlé positif, et Jésou bénéficia d’une approche pédagogique personnalisée afin de travailler un enchaînement différent. C’est en ce sens que je parlais en introduction, de séance de travail. On n’était pas là pour rigoler mais pour progresser.

Cependant il n’est pas facile de se remettre en question. On se dit : bon, s’il trouve que « ça c’est à reprendre » peut-être au final que « tout » est à reprendre.
Et de là à se dire : « intrinsèquement je n’ai aucune valeur, je ne suis là que par un concours de circonstance » - ce qui au fond est la pure réalité- il n’y a qu’un pas, qui n’est pas difficile à franchir. Je suis conscient que ces temps pédagogiques sont nécessaires, mais ils sont très perturbants, car je me prends à tout mettre en doute. Mais jouer « propre et carré » est à ce prix. C’est Pascou d’ailleurs qui m’en fit la remarque, au cours d’un petit dialogue que nous eûmes, il conclut, sur le ton de l’évidence : « Michel, Je fais ce qu’on me dit de faire ». Il avait raison. Jouer ensemble est suffisamment difficile à notre niveau sans qu’on ajoute encore à la complexité en se permettant des variations non prévues.

Nous avons repris tous les titres du répertoire perso, nous attachant à la plus grande rigueur. Ce fut payant.
Expérience bénéfique, nécessaire, qui permit de se recentrer sur l’essentiel.

48 commentaires:

Anonyme a dit…

I have a dream.

Je suis au bord de la plage.Je sirote un Malibu orange en contemplant mes superbes sandales assorties à mon breuvage,vautré sur un transat à l’ombre d’un palmier , bananier ou un truc dans le genre.
Au sud, une maison bleu est adossée à la colline.
Au nord , il y avait des coraux.
Soudain j’entends un « tout le monde est là ou quoi? » familier qui semble provenir de derrière la dune d’à coté.
Je m’approche.
Pascou est occupé à sortir les tripes d’un phoque fraîchement pêché .Phil le K affûte des baguettes.
Jésou m’interpelle: » ha ,te voilà toi. On a failli attendre ! Met tes sandales dans le jus d’phoque et on pourra commencer. »
Je m’exécute.
Mitch , en topless , juché sur un comptoir ,déclame avec une voix de castra : «  ça part de là ! « 
Odile , en lapin, distribue des arbalètes à six coups .
Tout le monde est maintenant armé et attend….quoi, je ne sais pas.
Brusquement Lolo sort d’une caisse en bois de rose munie d’un clavier azerty. Elle tape dessus frénétiquement en criant « Poule » en sol .
Une catapulte balance alors des grosses balles dans les airs tandis que nous tirons dessus en faisant des « sploing » dièse et des « sproinc » bémol .
Dans la tribune , les beach boys , les Beatles ,les queens ,les status quo et autres blaireaux regardent la partie d’un air amusé.
Après avoir claquer à peu près cent balles,un coup de sifflet en contre-ut retentit ,signifiant l‘arrêt de jeu.
Il provient d’une baignoire à porteurs.
En sort une sirène brune vêtue de la tenue règlementaire d’arbitre de « balle-sproing »
Elle distribue cartons jaunes et rouges sans se départir de son sourire angevin.
Ce sont des flys nous invitant à participer à des cours de chant.
Le réveil sonne.

Après avoir bu ma cafetière-et-demi quotidienne , je me suis dit en moi-même et réciproquement:
« Mais bon sang , mais c’esr bien sur!
C’est tout ça qu’est-ce-qui-nous-faut « 

Je vous la fait courte:
La partie vocale nous concerne tous car chacun de nous est potentionnellement choriste ou chanteur.
Après renseignement, Coralie ( raah lovely) est maquée avec le mauvais guitareux de l'autre soir mais ce n'est pas le sujet qui nous préoccupe.
Par contre je me disais que nous pourrions prendre tous ensemble qq cours collectifs.Le collectif étant constitué uniquement des membres du groupe.
Je pense que ça nous enrichirait beaucoup de savoir placer notre voix et de nous faire coacher pour les choeurs de nos morceaux, etc..

J'aimerais savoir si ça vous tente et auquel cas, connaitre vos disponibilités un soir dans la semaine pour lancer le marché à Coralie (re-raah lovely)

P.

The Undertakers 5 a dit…

Je pencherais assez pour le mercredi soir.

Anonyme a dit…

lol
P.

The Undertakers 5 a dit…

très beau rêve par ailleurs, très onirique

Anonyme a dit…

j'ai trés beaucoup besoin de cours...
kéké

Anonyme a dit…

keke,j'ai des photos de coralie....... tu vas etre malade de jalousie!
poun

Anonyme a dit…

sans ça pour les cours de chants ,je suis OK mais pas le mercredi: le mercredi c'est repete!

poun

Anonyme a dit…

en plus que j'ai plein de retard sur vous, alors peut-être...
des cours particuliers...
kéké

The Undertakers 5 a dit…

ben justement, mercredi : on joindra l'utile à l'agréable ou fera d'une pierre deux coups, elle nous coachera en temps réel durant la répète, La Coralie. Non, décidément, le mercredi ça me parait parfait. en plus ça soulagera Sylvie, elle pourra regarder Dr. House tranquillement.

Anonyme a dit…

petit aparté a usage unique pour le kéké
fais moi plaisir,quand tu vas au tabac,le matin chez olivier,arrete toi cinq minutes a la nouvelle boulangerie qui vient d'ouvrir juste à coté,et prends moi (discretement,je te fais confiance)en photo la boulangère:superbe rousse flanboyante au sourire devastateur!
D'avance merci

poun

Anonyme a dit…

j'l'avais même pas vue, je deviens vieux !
demain :
croissant le matin
fougasse à midi
gateau des rois à 2 heures

kéké

Anonyme a dit…

fais mefi,quand meme,y a des jours ou elle travaille pas ,et c'est un laideron grassouillet qui la remplace,tres gentille dailleurs,mais de celle là je veux pas de photos

poun l'esthete de la baguette

The Undertakers 5 a dit…

Moi, telle que vous me la décrivez, cette accorte boulangère, je partirais bien avec elle à Venise.

Mitch. l'esthète de gondole.

Anonyme a dit…

et moi je lui ferais bien visiter avignon

poun l'esthete de pont

Anonyme a dit…

Moi, ça serait plutôt Istanbul.
Pierre,l'esthete Ottoman.

Anonyme a dit…

eh bien moi ,je l'emmenerai volontier dans mon nid !

poun l'esthete de linotte

The Undertakers 5 a dit…

Et pour ne pas rater notre prochain rendez vous, à mon mouchoir je n'aurai pas besoin de faire un noeud.

mitch l'esthète de...

The Undertakers 5 a dit…

d'autre part, j'ai développé une addiction à l'eau. je suis quasiment potomane. j'espère qu'elle acceptera cette petite excentricité. Elle et moi vivrons dans une humidité délicieuse.

Mitch l'esthète aqueux.

Anonyme a dit…

Je lui prêterais mon joli chapeau.
Pierre , l'esthete à claques.

Anonyme a dit…

Forcément, je lui ferais des trucs d'infirmier..
L'esthete pansant (e)

Anonyme a dit…

Je la pressent Yang
P. l'esthete yin

Anonyme a dit…

Non,non, faut pas croire.Je suis hyper booqué.
P.l'esthete dans le c.

Anonyme a dit…

C'est juste que j'ai perdu le rif du morceau sur lequel je bossais .
P. l'esthete en l'air

Anonyme a dit…

Alors en attendant que l'inspiration revienne...
L'esthete à l'ouest

Anonyme a dit…

Bon je vous laisse , c'est un peu tard
L'esthete de lard

The Undertakers 5 a dit…

Je pense à notre batteur. Il ne dit rien, mais je sais qu'il en pince pour elle. il a flashé dessus. c'est son genre,c'est son style, c'est son kif. il est comme ça, il est carré. quand il aime, il aime.

Phil, l'esthète au carré.

Anonyme a dit…

faut que j'm'y remette , un point c'est tout
L'esthete de chou

Anonyme a dit…

T'as raison, même qui lui raconterais bien des histoires, phil, l'esthete comme un conteur.

The Undertakers 5 a dit…

Moi je n'y peux rien, mais je suis comme ça. Y a des filles que je ne peux pas encadrer, y en a d'autre je les ai dans la peau. Je ne sais pas pourquoi, ça ne s'explique pas. Un geste, un regard, une attitude, des seins, un cul...C'est ainsi. J'ai mes têtes.

Mitch, l'esthète à têtes.

Anonyme a dit…

P'tèt que je lui présenterais mon pote ministre
P.L'esthete de Fillon

The Undertakers 5 a dit…

Et puis des fois, Phil, dont on connait la modération, la pondération, Le contrôle parfait sur sa libido, Phil dévisse, dérape, pour un trait de dentelle qui dépasse d'un décolleté. Il se tansforme en loup, le loup exorbité et langue pendante surgi d'un Tex Avery.

Phil, l'esthète aux Stérones.

Anonyme a dit…

J'ai un peu peur qu'elle soit insensible à mon charme si particulier.
P. , l'esthete à avoir pris un bus en pleine poire

Anonyme a dit…

Je me demande comment je vais bien pouvoir la serrer dans mes bras.
P. l'esthète raplégique

Anonyme a dit…

Je lui annoncerais que mon coeur ne bat que pour elle .
P. , l'esthète au scoop

Anonyme a dit…

Ensemble, on machera du chewing-gum, on boira du coca, on sauvera le monde et on foutra la zone en irak .
P. , l'esthète united

Anonyme a dit…

Bon allez, je vais me tartiner de moutarde et je vais me coucher.
P., l'esthète bien cuit

Anonyme a dit…

Je lui jouerai bien une sonate en si mineur.
P.l'esthete de Liszt

Anonyme a dit…

Nous cultiverons notre jardin secret.
P.l'esthete de pioche

Anonyme a dit…

Tiens, j'ai une idée !
P., l'esthete d'ampoule.

Anonyme a dit…

Bon , y'en a marre ! Je m'arrête là.
P.
(l'esthete d'anchois)

Anonyme a dit…

bande de degenéré ,j'avais pourtant bien precisé :petit apparté a l'usage UNIQUE du kéké
Quand je vois le resultat je me dis que la confidentialité est un mot qui ne doit pas rentrer dans votre vocabulaire
avec toutes vos betises vous m'avez mis la tete a l'envers

poun l'esthete-bêche

Anonyme a dit…

At.. At..At..Atchoum!
P.l'esthete au poivre

Anonyme a dit…

help!
johsn..on lesnnon..on, l'esthete it be.

Anonyme a dit…

T'es gentil, j'ai fait le pavé !
P. l'esthete à tanne dans l'entrée

Anonyme a dit…

Y'a ta mèche qui te cache les yeux !
P. l'esthete ifs attachés

The Undertakers 5 a dit…

Vous en avez fait l'expérience, les femmes sont parfois un peu casse-c...

Mais à tout prendre il vaut mieux ça qu'esthète chinois.

Moi j'vous l'dis !

The Undertakers 5 a dit…

En ces temps troublés, où l'écologie économique dispute à la gestion climatique le titre de pire fléau du siècle, je crois qu'il est temps de se tourner à nouveau vers le spirituel.
Avec dévotion.
De fait je me sens de plus en plus dévot. Peut être est-ce un peu stupide, et qualifierez vous mes propos de sottises, mais pour ma part je trouve ça très ravigottant. Voilà. C'est mon avis.

Mitch, Esthète dévot, sot, se ravigotte, à sa façon.

Anonyme a dit…

Je viens de lire tous vos commentaires...Vous êtes très forts!!!!Ah! non, ça je dis bravo! Votre esprit incisif me ravit, me fait vraiment beaucoup rire. Il y a bien des années que je ne me pique plus de fous-rires et là je me surprends à rigoler, seule dans mon arrière boutique, laissant parfois les clientes errer dans le magasin sans que je ne les ai entendues entrer....Ah que j'aimerais avoir votre vivacité, vos talents d'écrivain mais voilà c'est pas gagné!!!Je ne vois qu'une chose à faire....Plonger dans l'alcool pour oublier ma sordide condition, boire, boire du pastis évidemment!!!(c'est pour la suite) jusqu'à tomber RAIDE

(Allez, j'essaie :)
SD l'esthète anisée