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dimanche 6 juillet 2008

L'Aventure Charentaise : Jour 1

Nous sommes en ce moment sur l'autoroute, à la hauteur de Lézignant Corbière. Nous sommes partis, tôt ce matin, aux alentours de 13h. Une petite halte sur une aire champêtre nous a permis de nous restaurer et de nous dégourdir les jambes. Afin de garder constamment le contact avec le groupe, je me suis muni d'une clé 3G, qui me permet d'écrire ce billet de habitacle même de la voiture. Comme on peut désormais suivre les haletantes pérégrinations des navigateurs solitaires tout autour du globe, de la même manière, lecteurs fidèles, vous ne manquerez rien de nos aventures charentaises. Un violent souffle dans le nez de notre petite 107 qui vaillamment taille sa route sur l'asphalte humide d'une légère pluie. De lourds nuages traversent le ciel, qui jouent à cache-cache avec les rayons malicieux du soleil. Arrivée prévue par le petit tom : 18h43.

7 commentaires:

Pascale a dit…

Le sourire béat de l'homme insouciant partant en vacances.... Emouvant.

The Undertakers 5 a dit…

Oui... enfin seuls, on a réussi à caser le mioche !

Ca n'a pas été facile, il a fallu se perdre au fin fond de la cambrousse, à 20 kms du premier cybercafé, dans un hameau où la moyenne d'âge frole (par le haut) les 75 ans pour arriver à le décoller.

Il a été nécessaire aussi trouver des gogos.. euh une famille d'accueil qui veuille bien l'héberger durant une semaine. (merci Alain et Valérie)

Qui n'aurait pas un sourire béat dans ces conditions ?

A part ça trajet sans histoire, à part que je m'endormais un peu au volant. Arrivée vers les 20h sans encombres.

Anonyme a dit…

Un grand merci de la part des vieux gogos qui habitent dans la cambrousse nimoise....
Merci pour le mioche d'1 metre 90
qui bouffe comme un ogre et saute sur tout ce qui bouge .......
Par contre on avait prevu de garder
vincent jusqu'a mercredi car nous partons en stage valerie et moi a porqueroles ..
Bonnes vacances camarades grace aux H.S de nicolas

Anonyme a dit…

c'est la cata !
je m'etais dit,chouette le mitch part une semaine en villegiature on va pouvoir se lacher sur le blog en son absence,
assener enfin toutes ces verités qu'on n'ose pas ecrire quand on sait qu'il est là,aux aguets,pret a censurer toutes nos petites remarques gentillettes,
et bien non! ce chien galleux emporte avec lui son ordinateur et tout un tas de gadgets sophistiqués lui permettant d'intervenir a distance !
il me reste un seul espoir,ayant moi meme vecu quelques jours dans cette charmante region l'année derniere, je crois savoir que les connections telephoniques,et a forciori ordinatoresques(ou internetiques,j'ignore le terme juste)sont tres peu fiables dans la zone "foucherie"
pour peu qu'il y ait quelques orages ,et là bas c'est du genre tout les jours,on a quand meme une petite chance d'etre peinard

poun

Anonyme a dit…

En ce qui concerne le climat charentais, rien n'a changé depuis l'année dernière.D'un naturel optimiste, je n'ai emporté que 2 paires de chaussettes et je m'en mords déjà les doigts.Depuis ce matin, force 7 Beaufort(18 mois d'affinage),nous avons essuyé 5 ondées brèves mais ....brèves. Poune je n'ai pas retrouvé la boulangerie près de Taillebourg qui vendait un succulent pain sous flamme, pourrais_tu m'aider dans ma quète, il en va de la qualité de mon petit déjeuner. A part ça, dans la journée j'ai lu le bouquin de la bibliothèque après avoir traversé, en fin de matinée la maaaaaagnifique foire de Saintes. Pour nous remettre, déjeuner dans un petit resto sympa;
Bises charentaises.
Odile

Anonyme a dit…

effectivement ,odile tu dois prendre la direction taillebourg,mais juste avant d'entrer dans le village ;au premier croisement tu tournes a gauche,tu franchis la riviere ,direction:saint-james
a l'entrée du village tu as une espece de patte d'oie ,tu prends la branche de gauche ,et au niveau du croisement avec la route principale la boulangerie s'offrira a ta vue juste en face

bisous poun

le bonjour a cousin yves

The Undertakers 5 a dit…

petite précision concernant le précédent billet d'Odile .

Quand faisant allusion à ses chaussettes et à leur nombre insuffisant elle dit qu'elle s'en mordait les doigts, il s'agissait bien sûr des doigts de pieds.

Et à 50 ans passés, moi je dis : chapeau ! Tout le monde n'est pas aussi souple à cet âge là.