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lundi 1 août 2011

When Chris meets Lolo

Si Lololalolo et Jésou étaient des noirs de Harlem, ils seraient habillés façon street-rap et ne se rencontreraient pas aux Halles, mais dans le métro. ils parleraient français avec un fort accent américain et se diraient des banalités parce que leur vocabulaire serait trop limité et que le scénariste n'aurait pas eu le temps de paufiner... Mais surtout parce que pour animer leur dialogue, il faudrait écrire de manière bizarre pour leurrer la machine qui traduirait en phonèmes américains les paroles écrites.
par exemple voici ce qu'il faudrait écrire pour qu'ils prononcent à peu près correctement :

- hello (jusqui'ici tout va bien !) jayzoo, caugh vaugh ?
- Hoohey lowlow an plain form
- jeugh meugh deezay : tuu vaugh ah lah raypate ceugh soar ?
- hey lass non, jeugh peugh pah : jay peeseen.
- say bahlow : sseelvee ah fay deu leemoncello
- alors jeugh veeaindray say promee
- com saugh on poorah joohey "love in vain" (là c'est facile aussi !)

... Et accessoirement, ça prendrait une petite heure !

Finalement, ce serait plus simple de leur faire jouer cette scène "en vrai". A part que ça coûterai cher en accessoires, ne serait-ce que parce que le Barde exigerait du vrai limoncello et pas une bouteille factice.

4 commentaires:

poun a dit…

Des vacances........
Il te faut des vacances, mitch....et vite!

Anonyme a dit…

grande nouvelle et équipement important
Moi, jésou, contrairement à d'autres, et plus particulièrement à UN AUTRE, (qui a des sous comme un chien des puces, et à qui il ne suffirait que d'une ou deux couronnes et quelques détartrages pour équiper le groupe d'une sono digne de ce nom), moi dis-je ai pris mon courage à deux mains (et par la même occasion les seins de ma femme aussi)pour équiper la somme "Jim Morisson" d'une CLIM
Cordialement à tous

Anonyme a dit…

jésou
Vous avez vous même relevé l'erreur

Il s'agit de :
pour équiper la salle "Jim Morison" d'une CLIM

The Undertakers 5 a dit…

Jésou : Tu es GRAND !
Et j'espère qu'un CERTAIN aura HONTE qu'un représentant de la plèbe, un forçat de l'acte notarié ait été obligé de retrousser ses manches, travailler durant de longs mois à faires des heures supplémentaires, priver ses gosses de McDo, sa femme de sorties pour rassembler à force de privations quelques MAIGRES économies pour apporter au groupe un peu de confort.