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mercredi 28 juillet 2010

Easy Rider


Le chanteur des UFR est un fan de ce film culte du tout début des années 70 (1969 pour être précis) de et avec Denis Hoper, avec également Peter Fonda et Jack Nicholson.

Avec cette bande-son mythique et le rageur Born To Be Wild de Steppenwolf qui comme On the Road Again de Canned Heat, ou Take The Wild Side Of The Road (Lou Reed) nous évoque immanquablement cette période bénie, cet âge d'or d'un certain way of life en marge des valeurs conservatrices, lesquelles répandent leurs relents fétides dans l'involution de notre propre société contemporaine et ses "valeurs" moralisatrices post pétainistes.

C'est pourquoi Le Sage s'apprête tel un Kerouac du XXIè siècle à prendre la route sur son CHAPPY. "Captain America" comme il aime à s'appeler, invite les tarlouzes nîmoises et leur trapadelles japonaises à gros cylindres, à le suivre jusqu'au bout de.... Mais ce n'est pas la peine, ces bourgeois nantis ne pourront jamais approcher l'esprit rimbaldien des seventies, qui anime l'oeuvre des Fossoyeurs.

Born to be Wiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiild !

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pari tenu Mitch,
Les nimois sont à ta disposition pour tailler la route avec leurs grosssses motos japonaises.
Cependant si je peux te donner un conseil de vieux routard :penses à mettre de l'huile dans ton CHAPPY de merde et n'oublies pas dans la descente de Bouillargues de ne pas accélerer à fond.
Pour mémoire tu as cassé le moteur de ta SUZUKI 125 il y a quelques années et tu as également explosé ta motoneigeYAMAHA avec un moteur de VMAX pour les connaisseurs sur un lac gelé au CANADA.
Et j'allais oublier ton solex qui a pris feu dans les vignes du plateau de GARONS.
lebaoujoebardecamplanier