On connait la rigueur rythmique de notre Carré, qui fait l'admiration des savants atomistes et suscite le respect des chefs de gare. Parfois je me prends à m'interroger : tant de contrôle de soi pour maintenir le tempo dans notre formation fantasque : mais comment fait-il ? quel est son secret ? Cette photo, prise tantôt lors d'une manifestation folklorique nous donne un élément de réponse. "Dans le civil" hors le cadre contraint des UFR, pour enfin évacuer une énergie trop longtemps contenue, notre batteur n'est plus Phil le Carré, mais TambouriPhil, qui anime joyeusement la fanfare de fifres et tambourins de Rodilhan dont il est un actif contributeur. Il adore évoluer dans les rues, vêtu d'un costume traditionnel qu'il affectionne (surtout la jolie cravate que lui noue amoureusement Marie-Françoise éperdue d'amour avant chaque déplacement dans les villages alentour). Mais il préfèrerait que cela reste discret. Il est honorablement connu sur la place de Nîmes. battre la mesure sur des rythmes provençaux et taquiner le flûtiau, c'est pas très rock n'roll, "mais tellement jouissif" selon ses propres termes !
2 commentaires:
il est fort ce Mitch,il est arrivé apres quand meme 5 ans d'enquete a me demasquer!
Maintenant que j'ai ete decouvert, je peux vous proposer l'hymne guardian ou Coupo Santo comme prochaine reprise
ça va dechirer grave!!!
Phil le k
Merci Phil.. c'est sans doute mon boulot de manager au contact de la nature humaine qui me donne ce feeling particulier.
Comme reprise je pensais plus à une oeuvre du répertoire classique : l'Arlésienne.
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