Au sortir de la machine à laver Kéké nous exhibe, tel un trophée, le vêtement mythique avec fierté. "Je suis triste" nous a-t-il confié, "elle a perdu un peu de son aura, de sa patine, mais c'était nécessaire : la dernière de mes modèles se parfumait au patchouli, et vraiment, c'était intenable". "Profitez de la voir ainsi", a-t-il poursuivi, "c'est la dernière fois que les trois boutons du haut sont fermés et qu'aucune poitrine n'en habille la forme !"

2 commentaires:
Kéké,lance un coucours de chemise comme la Marlonmannia
On verra les courageuses
Monsieur BIP
Chiche!
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