Texte de Pierrot et Poun, après un repas particulièrement roboratif
dans un bouchon lyonnais...
Quand arrivent les vacances je ne prends jamais l’avion
Pour m’faire péter la panse, avec délectation
Vous ne me verrez pas aux States, pas plus que chez les grecs
Je n’ai qu’une destination pour me taper du graillon
Refrain :
Quand je suis affamé y a pas trois solutions
Je ne peux pas me contrôler, y a as d’explication
Quand je veux me régaler, que je veux des sensations
Je vais chez le charcutier… tout est bon dans le cochon !
Y a rien de plus tentant qu’un boudin de paysan
Il n’y a rien de plus beau qu’un bon saucisson chaud
Le tablier de sapeur me remplit de bonheur
Une belle andouillette met mes papilles en fête
Les harengs marinés me donnent la nausée
Je ne suis pas très à l’aise avec le poulet basquaise
J’aime pas les tournedos, pas plus que le gigot
Le poulet marengo les escalopes de veau
Des pieds de porc vinaigrette j’en remplis mon assiette
Et pour finir le repas, moi je n’hésite pas
Je prends dans une main un gros morceau de pain
Et je tartine la bête d’une belle couche de rillettes !
lundi 14 septembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
On dirait du Beaudelaire, non ?
P.
c'est pas plutot du rimbaud ?
poun
A vos boîtes! il y a du vieux nouveau.
P.
Enregistrer un commentaire