Ras le bol, j'arrive pas à écrire joyeux. Ca m'énerve.
Ce sont les nouveaux cavaliers
Chevauchant depuis la nuit des temps
Leur défroque ils ont abandonnée
Pour se parer des plumes du paon
Mais nous autres simples fossoyeurs
Avons flairé leur odeur fétide
Par-delà des peuples la torpeur
Nous révélons leurs coups homicides
Charité : business
Médiatique : business
Religion : business
Politique : business
Jadis ils entraînaient un cortège
De maladies et de sortilèges
Sur leur passage se flétrissaient
La bonté l’amour et la beauté
Désormais ils se sont convertis
Aux principes du monde présent
Aidés par un nouveau clergé blanc
Adorant des idoles sans vie
Charité : business
Médiatique : business
Religion : business
Politique : business
Il est temps que notre épiphanie
Révèle enfin de leurs avanies
Les effets sournois et délétères
Leur acide humilie notre terre
Ils étaient quatre ils le sont toujours
Et dans l’allégresse générale
Une indifférence amorale
Pillent l’âme ainsi que des vautours.
Charité : business
Médiatique : business
Religion : business
Politique : business
mardi 4 décembre 2007
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4 commentaires:
quatre ?
qui c'est qu'est viré ?
Kéké !
Elle est bien cette chanson !
oui Kéké, j'aime beaucoup le commentaire de la Dame !
va jouer avec les gosses de ta rue je te prie. et reviens pour apporter une touche positive :-)
la vermine, c'est impossible à virer !
une touche positive ...
Mitch, c'est toi qui ose dire ça !
heureusement qu'il y a le prochain message !
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