Quand le Undertakers est au complet
On fait le bœuf jusqu’à point d’heure
Et quant on est tous contents
Quand les doigts sont fatigués
Quand mon gosier de fumeur
Me signale qu’il est grand temps
De faire la pause
On se pose
On sort la boisson ambrée
J’aime sa belle teinte blonde
On boit la boisson ambrée
Et puis on refait le monde
Parfois quand un morceau est laborieux
Quand les drums peinent à trouver le tempo
Quand les guitares sont en dedans
Quand la basse se fait des nœuds
Quand les chanteurs prêchent le faux
Je fais signe qu’il est grand temps
De faire la pause
On se pose
On sort la boisson ambrée
J’aime son odeur de tourbe
On boit la boisson ambrée
Et puis on refait le monde
J’aime quand une compo sonne bien
Quand le batteur envoie toute la sauce
Quand la guitare déménage
La basse scande les notes
Les choeurs déchirent le refrain
Quand tout le monde a la rage
Alors C’est la pause
On se pose
On sort la boisson ambrée
On la passe à la ronde
On boit la boisson ambrée
Et puis on refait le monde

lundi 10 décembre 2007
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10 commentaires:
c'est pas bon :
la basse ne se fait jamais de noeuds !
c'est ce qu'on appelle une licence poétique Pounet..
bien sûr qu'on est en pleine musique fiction. Ca me faisait mal rien que de l'écrire.
c'était pas Pounet, c'était le kéké
il s'apppeèllle Pascal lui aussi
et je remarque que tu lui réponds avec gentillesse, lui !
no comment !
moi je m'y perds.. kéké, pounet, pascou, rascal, pascal, la hyène. comment veux tu que je ne me fasse pas de nœuds ? vous n'avez qu'à avoir des signatures spécifiques.
mais ,bon sang de bois, j'ai une signature specifik mitch : c'est anne onime ,et je conclus pounet le quelque chose
quand a toi quéqué je t'interdit de dire que je suis gentil !
pounet le mechant
au fait : repete ce soir a 9 heures
pounet l'horloge parlante
N'oubliez pas la bouteille !
oui Pascale. sans la bouteille on est mort ! (christian, si tu m'écoutes : tout est ok de ce coté ?)
Tu doutes de Christian ?
pas le moins du monde !
(quoique parfois, il a de ces absences qui m'inquiètent).
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