Je suis du pays de la brandade,
De la garigue et des coteaux
De la feria, de l’anciero
Et des ferrades
Je vis à Nîmes, une bourgade
A coté d’Arles et d’Avignon,
Tout Près du plateau de Garons
Et de Langlade
Toiles de Nîmes et Soleillade
Cavalières et Reines d’Arles,
Le gardian sur son cheval
De Camargue
Comme tous les aficionades,
Le soir on grimpe aux amphis
On observe en bas, de Paris
Les fiers alcades.
Après la dernière estocade,
Mayorals et Toreros,
Tout près d’un burladero,
Se donnent l’accolade
Le Tariquet à la rasade,
La gardiane après les tapas,
La paella, la sangria
Et l’anchoïade
La chaleur moite des orages,
Les clapas, les cigales,
La sieste sous la tonnelle
Avant l’abrivade
A la petite bourse on bade
On s’assoit, et on espinche
A l’Imperator, les notables
A la parade
Pour Pentecôte à la Tarde,
Les bodegas tendent leurs bras
Aux fanfares, aux penas,
Aux Sévillanes
Et après c’est la ballade
Victor Hugo, et Jean Jaurès,
Marathon des nuits d’ivresse
En enfilades
Au final, ultime bravade,
Jusqu’au petit matin de la nuit,
L’aube du soleil on poursuit
Via Bouillargues
mercredi 9 avril 2008
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1 commentaire:
'nous faut un fiffre et un tambourinaï.Très occ and rolle.
'P'tèt des relans de pinot charentais ?
Aspegic et vitamine C et ça devrait te passer.
P
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