mardi 30 octobre 2007
Incroyable !
Stupéfiant : Alors que je classais des archives que m'avait données ma mère lors d'un tri préparatoire à son prochain déménagement, je suis tombé en arrêt sur ce Daguerréotype.
C'est un cliché très ancien tiré semble-t-il à partir d'une plaque de verre au collodion. Il est, après 90 ans d'une étonnante netteté.
Ma mère m'a expliqué que c'était une photo de mon grand père, Jules-Antoine Mazet, alors sergent major. Je ne connaissais pas du tout ce détail de son histoire.
J'ai toutefois été frappé par notre troublante ressemblance.
Mon aïeul faisait partie de la Musique-aux-Armées, chargée de remonter le moral des troupes durant les très durs assauts sur le chemin des dames en novembre 1917.
Ayant séjourné aux état unis, il avait rapporté des states la toute première guitare électrique d'une bourgade alors peu connue du Tenessee : Memphis. L'instrument fonctionnait avec une turbine à vapeur (dans le camion). l'alimentation et l'entretien de la turbine nécessitaient la présence de trois hommes. Les cordes étaient forgées spécialement pour supporter le courant triphasé de 350 volts. Les brûlures étaient fréquentes, c'est pourquoi on devait porter des gants spéciaux pour jouer.
Il semble que c'est Jules-antoine qui le premier a unifié la musique country blanche et le gospel matiné de dixieland qui allaient trente ans plus tard être immortalisée sous le vocable de Rock and roll.
On a une fausse interprétation de l'origine de cette appelation.
Rock and roll (balance et roule) était le nom que l'on donnait au véhicule qui transportait le générateur (qu'on voit à l'arrière plan). En effet pneumatiques, suspensions et états catastrophiques des routes rendaient très difficile les répétitions en conduisant.
C'est plus tard que les américains ont piqué le nom à des anciens militaires anglais qui avaient fait le boeuf dans une tranchée avec mon grand-père lors du dernier assaut allemand pendant le terrible noël 17. "balance et roule" est ainsi devenu RocknRoll en traversant l'atlantique.
On remarquera que le nom de la formation de mon grand père était déjà "les fossoyeurs" ce qui compte-tenu du contexte tempérait quelque peu l'enthousiasme des premiers poilus assistant aux représentations. c'est ainsi que très rapidement le groupe a préféré se faire appeler U.F.R. (Unité de Fanfare Rapide), plus neutre.
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Un Joli Jouet pour les Rockers en Herbe
Tu es un mini Rocker, tu connais nos chansons par coeur, et tu aurais voulu assister à l'un de nos concerts mais tes parents n'avaient pas les sous pour te payer le billet.
En plus ton papa aime Dalida, et ta maman Richard Anthony. Tu es bien mal parti dans la vie....
Ce n'est pas grave, console-toi avec ce découpage. C'est un des camions de la caravane du Undertakers Tour 2007. Assemble-le, décore-le à ton goût.
Une fois monté tu pourras y glisser dedans tous les accessoires du Rocker, ainsi que les figurines reprensentant les membres de ton groupe préféré.
Reste connecté petit Rocker, prochainement il y aura un nouveau gadget: Un jeu de fléchettes-chantal Goya.
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lundi 29 octobre 2007
Bô Com 1 Kmion
Lors de leur tournée aux states, une partie des Undertakers posent devant un camion Caterpilar décoré au logo du Groupe par un généreux mécène.
Pour la circonstance, le formidable engin a été customisé. Derière l'échelle métallique, à gauche, on aperçoit la grille de l'énorme ampli de scène de 30 kilowatts, alimenté par le double moteur Younger & Bresson de 1200 chevaux turbocompressés.
Malgré la distance et les casques qui cachent leur visage,on reconnait bien Jésou au premier plan, puis Pascou, Mitch, Pierrot et Phil. Les deux choristes répètent dans la cabine en haut.
c'est depuis la plateforme que les U.F.R. ont par la suite donné un concert improvisé aux centaines de mineurs du site.
A l'issue du concert, au cours d'une charmante cérémonie, on a offert à Mitch son poids en or ; conformément à la tradition c'est ainsi qu'on remercie les visiteurs de marque.
Mitch a promis de revenir...
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Le Plein s'il vous plait
Avec UNDERTAKER, faites le Plein de Brutal.
Etanchez votre soif de RocknRoll à la citerne UNDERTAKERS.
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jeudi 25 octobre 2007
Rap à Faux Mage
Je me réjouis quand je lis les commentaires de ce blog. Ça vit, ça bouge, les pseudos les plus insolites se connectent : ça me plaît. Je me souviens des premiers mois de cet espace, ou j’avais l’impression de crier dans un tunnel désert, mes paroles se répercutant en échos solitaires et se perdant dans la brume de l’indifférence. Continuez, prenez du plaisir, tissez des liens, polémiquez, argumentez, poussez des coups de gueule, médisez, insultez, séduisez : faut qu’ça bouge, faut qu’ça pète, RocknRoll quoi !
Ce mercredi j’ai juste eu le temps de boire mon café (sans sucre) avant de descendre dans l’antre des possibles musicaux, la désormais mythique salle Jim Morroson. Les musiciens étaient là aussi. J’aime ce moment qui précède la répétition. On s’affaire autour des appareils, on enclenche des interrupteurs, on tourne des boutons, un peu au hasard, on se fraye un chemin entre les praticables et les pieds de micro. Au passage on se prend les pieds dans les câbles, on arrache une prise, on marche sur une pédale, un verre dans une main, le livret dans l’autre, tout en essayant de se rouler une cigarette. Les instruments s’accordent, Phil roule quelques battements, je pose mes chansons sur le pupitre, je branche mon micro : Paris Bordeaux Le Mans, tout le monde est là ? Et ça commence.
D’entrée de jeu Pierrot nous a présenté la version 2.0 de la Bête de Scène. Une ligne plus dépouillée, plus claire sur les couplets, un refrain remanié, beaucoup plus percutant, avec des paroles accrocheuses, mais toujours ce gimmick à la guitare durant le refrain qui s’installe dans la tête et ne vous quitte plus. Les musiciens Pascou et Jésou participent au chant par une longue montée vocale dans le style années 60 au début du refrain. Ça n’est pas possible que ce titre-là n’accroche pas son public. A mon sens il y a tout pour que ça devienne un incontournable de notre répertoire.
Bon, en ce qui me concerne c’est beaucoup plus laborieux : un problème de calage de voix, trop grave et paradoxalement trop aigu, je ne sais pas comment aborder les couplet ; je commence sur un ton, je continue sur un autre: c’est ignoble. Mais j’ai confiance, après tout ne suis-je pas Mitch 75%, celui qui revendique l’approximation de la note ? Il faut que je me mette le texte en bouche également, car il a considérablement évolué. Le poème du Pounet, s’est allégé, comme un dessin de Hergé revendiquant la ligne claire, Pounet n’a gardé de son Ode à la Bête que l’essentiel, le cœur, afin que ces quelques mots dégagés de leur gangue claquent et percutent tel Mohamed Ali assénant un uppercut entre deux danses barbares et souples.
Mais la création n’exclut pas l’entretien des acquis. C’est avec un brin d’appréhension que j’ai abordé le marathon musical. Depuis un mois nous n’avions pas répété ensemble nos « vieux » morceaux. J’avais le sentiment que tous les automatismes durement acquis s’étaient envolés.
Bien sur ça n’a pas été notre meilleur niveau, mais au moins il n’y avait pas de faute majeure. Somme toute, le travail paye, « propre et carré ». Léger bémol toutefois concernant Jumpig jack, qui a pas mal souffert de son sommeil d’un mois.
Au passage notons le superbe solo brillant, totalement improvisé et pourtant irréprochable de Pierrot sur Caroline.
Inspiré !
Il nous l’a encore démontré en donnant une interprétation très personnelle de Village Global, sur un mode rap de banlieue à se tenir les côtes de rire.
Un artiste, presque un mage !
La bête de scène, c’est lui.
Ce mercredi j’ai juste eu le temps de boire mon café (sans sucre) avant de descendre dans l’antre des possibles musicaux, la désormais mythique salle Jim Morroson. Les musiciens étaient là aussi. J’aime ce moment qui précède la répétition. On s’affaire autour des appareils, on enclenche des interrupteurs, on tourne des boutons, un peu au hasard, on se fraye un chemin entre les praticables et les pieds de micro. Au passage on se prend les pieds dans les câbles, on arrache une prise, on marche sur une pédale, un verre dans une main, le livret dans l’autre, tout en essayant de se rouler une cigarette. Les instruments s’accordent, Phil roule quelques battements, je pose mes chansons sur le pupitre, je branche mon micro : Paris Bordeaux Le Mans, tout le monde est là ? Et ça commence.
D’entrée de jeu Pierrot nous a présenté la version 2.0 de la Bête de Scène. Une ligne plus dépouillée, plus claire sur les couplets, un refrain remanié, beaucoup plus percutant, avec des paroles accrocheuses, mais toujours ce gimmick à la guitare durant le refrain qui s’installe dans la tête et ne vous quitte plus. Les musiciens Pascou et Jésou participent au chant par une longue montée vocale dans le style années 60 au début du refrain. Ça n’est pas possible que ce titre-là n’accroche pas son public. A mon sens il y a tout pour que ça devienne un incontournable de notre répertoire.
Bon, en ce qui me concerne c’est beaucoup plus laborieux : un problème de calage de voix, trop grave et paradoxalement trop aigu, je ne sais pas comment aborder les couplet ; je commence sur un ton, je continue sur un autre: c’est ignoble. Mais j’ai confiance, après tout ne suis-je pas Mitch 75%, celui qui revendique l’approximation de la note ? Il faut que je me mette le texte en bouche également, car il a considérablement évolué. Le poème du Pounet, s’est allégé, comme un dessin de Hergé revendiquant la ligne claire, Pounet n’a gardé de son Ode à la Bête que l’essentiel, le cœur, afin que ces quelques mots dégagés de leur gangue claquent et percutent tel Mohamed Ali assénant un uppercut entre deux danses barbares et souples.
Mais la création n’exclut pas l’entretien des acquis. C’est avec un brin d’appréhension que j’ai abordé le marathon musical. Depuis un mois nous n’avions pas répété ensemble nos « vieux » morceaux. J’avais le sentiment que tous les automatismes durement acquis s’étaient envolés.
Bien sur ça n’a pas été notre meilleur niveau, mais au moins il n’y avait pas de faute majeure. Somme toute, le travail paye, « propre et carré ». Léger bémol toutefois concernant Jumpig jack, qui a pas mal souffert de son sommeil d’un mois.
Au passage notons le superbe solo brillant, totalement improvisé et pourtant irréprochable de Pierrot sur Caroline.
Inspiré !
Il nous l’a encore démontré en donnant une interprétation très personnelle de Village Global, sur un mode rap de banlieue à se tenir les côtes de rire.
Un artiste, presque un mage !
La bête de scène, c’est lui.
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compte-rendu
mercredi 24 octobre 2007
Le Village Global
Comme des aliénés des zombies dégénérés
Comme des chimpanzés dans une cage entassés
On saute et on s’agite dans la foule hystérique
Sous le regard cynique des VIP des Caciques.
Mondialisation voici ton idéal
Uniformisation standardisation
Mise en équation rationalisation
Bienvenue à toi dans le village global
Faire tourner la machine de la consommation
Condamnés à courir sans aucune raison
Vivent les bienfaits de la taylorisation
Car ceci est le nouveau cancer des nations
Mondialisation voici ton idéal
Un langage commun des transports en communs
Les repas en communs les rêves en communs
Bienvenue à toi dans le village global
Toile universelle tendue sur notre ciel
Obscurcit le réel ôte à la vie son sel
Télé-réalité messages calibrés
Pour abrutis parfaits aux désirs imposés
Mondialisation voici ton idéal
Les Amour formatées les loisirs encadrés
Les rails les rails les rails surtout ne pas quitter
Bienvenue à toi dans le village global
Cachés sous les bilans des sociétés-écran
Règnent les faisans qui protègent leurs enfants
Ils sélectionnent les gène, pour fabriquer sans haine
Les humains OGM, qui leur donneront leur peine
Mondialisation voici ton idéal,
Remplit ton caddie achète à tout prix
Soldes remises crédits impôts taxes RMI
Bienvenue à toi dans le village global
Post-industrielle que la société est belle
Tout une clientèle de beaux rejetons modèles
Gavés de gadgets aussitôt nés obsolètes
Éternels palimpsestes recyclés à perpète
Mondialisation tu n’es qu’une grosse bulle
Bulle de savon si mince et ridicule
Les rails les rails les rails seront notre idéal
Bienvenue à toi dans le village global
Comme des chimpanzés dans une cage entassés
On saute et on s’agite dans la foule hystérique
Sous le regard cynique des VIP des Caciques.
Mondialisation voici ton idéal
Uniformisation standardisation
Mise en équation rationalisation
Bienvenue à toi dans le village global
Faire tourner la machine de la consommation
Condamnés à courir sans aucune raison
Vivent les bienfaits de la taylorisation
Car ceci est le nouveau cancer des nations
Mondialisation voici ton idéal
Un langage commun des transports en communs
Les repas en communs les rêves en communs
Bienvenue à toi dans le village global
Toile universelle tendue sur notre ciel
Obscurcit le réel ôte à la vie son sel
Télé-réalité messages calibrés
Pour abrutis parfaits aux désirs imposés
Mondialisation voici ton idéal
Les Amour formatées les loisirs encadrés
Les rails les rails les rails surtout ne pas quitter
Bienvenue à toi dans le village global
Cachés sous les bilans des sociétés-écran
Règnent les faisans qui protègent leurs enfants
Ils sélectionnent les gène, pour fabriquer sans haine
Les humains OGM, qui leur donneront leur peine
Mondialisation voici ton idéal,
Remplit ton caddie achète à tout prix
Soldes remises crédits impôts taxes RMI
Bienvenue à toi dans le village global
Post-industrielle que la société est belle
Tout une clientèle de beaux rejetons modèles
Gavés de gadgets aussitôt nés obsolètes
Éternels palimpsestes recyclés à perpète
Mondialisation tu n’es qu’une grosse bulle
Bulle de savon si mince et ridicule
Les rails les rails les rails seront notre idéal
Bienvenue à toi dans le village global
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song
lundi 22 octobre 2007
Un Taxidermiste pour la Bête
Enfin j’ai renoué avec le monde des musiciens ! Cela faisait quasiment un mois que je n’avais pas chanté. C’est donc avec émotion que j’ai pénétré à nouveau dans la salle Jim Morrison. Le groupe n’était pas au complet puisqu’il manquait le choriste et le batteur, mais tout de même La session m’a permis de découvrir l’arrangement de Pierrot sur le texte « Bête de scène » de Pascou.
Je crois que ce morceau va faire un carton. Il est très RocknRoll, mélodique et dansant. Comme à chaque déchiffrage, la mise en place est laborieuse. Il faut caler les mots sur le tempo, et puis comme toujours les idées viennent à mesure que s’élabore l’œuvre. Approche expérimentale classique : réussite/échec. Mais c’est dans un cercle vertueux que s’inscrit cet opus Charras/Richebois, il ne peut que s’épanouir telle la floraison du Sativa dont il empruntera à coup sûr les propriétés stimulantes. Pour l’instant les riffs, ponts et solo ne sont pas mis en place, et nous comptons beaucoup sur le travail rythmique de Phil le Carré pour habiller sur mesure ce futur titre de notre album.
Également le duo vocal semble devoir s’imposer, l’opposition entre le registre d’Odile et le mien pouvant se révéler très intéressante. Pourtant il a vraiment fallu se battre pour que notre choriste veuille bien participer au chant. Une certaine pudeur, le sentiment que tout était déjà verrouillé attisaient sa réticence. Mais sa participation active au formatage du texte fut l’élément déclencheur, et ce fut de bon cœur et avec entrain qu’elle se rallia au groupe pour une première version, certes spartiate, mais très encourageante. Une captation numérique nous servira de canevas pour enrichir cette « Bête de scène » V1.0.
J’ai quant à moi soumis au musiciens présents ma vision de « Dead Line » ma bluette printanière. Semble-t-il c’est très inspiré d’un titre de Capdevielle (Quant t’es dans le désert depuis trop longtemps….). le refrain irait à peu près, mais les couplets sont trop linéaires. N’est pas compositeur qui veut. J’ai bien compris à l’impassibilité polie de mes coreligionnaires, que ma production ne suscitait pas le même enthousiasme que la Bête de Pascou empaillée par Pierrot. Mais il n’y a pas lieu de se formaliser, c’est ainsi. A partir de mes frêles indications mélodiques, Pierrot saura tirer la quintessence du texte en le mettant en lumière dans un feu d’artifice musical.
Ce dernier ne sera jamais trop explosif pour égayer un peu la sombre désolation de Deadline !
Je crois que ce morceau va faire un carton. Il est très RocknRoll, mélodique et dansant. Comme à chaque déchiffrage, la mise en place est laborieuse. Il faut caler les mots sur le tempo, et puis comme toujours les idées viennent à mesure que s’élabore l’œuvre. Approche expérimentale classique : réussite/échec. Mais c’est dans un cercle vertueux que s’inscrit cet opus Charras/Richebois, il ne peut que s’épanouir telle la floraison du Sativa dont il empruntera à coup sûr les propriétés stimulantes. Pour l’instant les riffs, ponts et solo ne sont pas mis en place, et nous comptons beaucoup sur le travail rythmique de Phil le Carré pour habiller sur mesure ce futur titre de notre album.
Également le duo vocal semble devoir s’imposer, l’opposition entre le registre d’Odile et le mien pouvant se révéler très intéressante. Pourtant il a vraiment fallu se battre pour que notre choriste veuille bien participer au chant. Une certaine pudeur, le sentiment que tout était déjà verrouillé attisaient sa réticence. Mais sa participation active au formatage du texte fut l’élément déclencheur, et ce fut de bon cœur et avec entrain qu’elle se rallia au groupe pour une première version, certes spartiate, mais très encourageante. Une captation numérique nous servira de canevas pour enrichir cette « Bête de scène » V1.0.
J’ai quant à moi soumis au musiciens présents ma vision de « Dead Line » ma bluette printanière. Semble-t-il c’est très inspiré d’un titre de Capdevielle (Quant t’es dans le désert depuis trop longtemps….). le refrain irait à peu près, mais les couplets sont trop linéaires. N’est pas compositeur qui veut. J’ai bien compris à l’impassibilité polie de mes coreligionnaires, que ma production ne suscitait pas le même enthousiasme que la Bête de Pascou empaillée par Pierrot. Mais il n’y a pas lieu de se formaliser, c’est ainsi. A partir de mes frêles indications mélodiques, Pierrot saura tirer la quintessence du texte en le mettant en lumière dans un feu d’artifice musical.
Ce dernier ne sera jamais trop explosif pour égayer un peu la sombre désolation de Deadline !
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compte-rendu
samedi 20 octobre 2007
Pour Mémoire
voici le Disque D'or offert pour notre concert à Woodsport. Pour l'instant il n'y a que des zéros. Mais bientôt, ces zéros seront de l'autre coté de la virgule, et précédées d'un 1.
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affiche,
kéké,
photomontage
La Fan, la Supportrice (par le Kéké)
J'ai hésité un moment avant de publier cette photo. Kéké me l'a envoyée il y a quelques jours. Vous savez d'autre part combien mon activité professionnelle intense me laisse peu de temps pour maintenir et enrichir ce blog.
Mais en définitive j'ai conclu que je DEVAIS porter celle-ci à votre connaissance afin de rendre hommage à une Fan fidèle, dont les interventions remarquées contribuent à la vie de ce blog.
Le cliché, un instantané pris à la sauvette alors que le sujet sortait de la douche, incarne parfaitement notre double passion du Rock et du rugby.
J'espère en tous-cas, après la déculottée que les "petits" viennent de se prendre face aux Argentins, que ça contribuer à ramener au bercail certaine brebis égarée, qui a floodé sa détresse au long des derniers commentaires.
Poune, c'est pas grave.. dans 4 ans, chez les NewZèd, on va gagner !
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kéké,
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jeudi 18 octobre 2007
Nage dans le Bonheur ! (version Pascou)
hugo disait
Lorsque l'enfant parait, le cercle de famille
applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts les plus souillés peut être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
innocent et joyeux
hier ,mercredi 17 octobre , nous avons vécus un évènement , pour moi de même dimension exceptionnelle.Depuis hier ,j'ai l'impression d'avoir trois enfants :mes deux filles et "la bête de scène"
C'est difficile a expliquer ,et n'ayant pas le talent de mitch ,je ne m'en sens pas capable , mais je vous l'assure ,hier soir dans la salle jim morrisson nous avons assisté en direct a une vrai naissance,
Certes , cet enfant nous ne l'avons pas porté en nous durant des mois (encore que :cette musique,pour quelqu'un comme moi qui ne crois pas au divin, elle viens bien de quelque part! ou alors pierrot est un génie, mais bon ça me ferais quand même un peu chier de côtoyer un génie depuis tous ce temps et de ne pas m'en être rendu compte )
Mais les faits sont là : il s'est passé quelque chose de magique
Au départ , nous n'étions que trois , le suspense haletantant du match de foot France - bidule ayant scotché alain devant la télé des fabre
Je ne veux pas jouer les faux modeste, je reconnais que le texte de cette dernière oeuvre est "gentil" mais soyons lucide : rien de bien transcendant quand même, et finalement pierrot n'a rien fait d'autre que d'y ajouter quelques notes (après tout ,il n'y en a que sept)mais voila ! ces notes étaient les bonnes ! ! !
Vous auriez du nous voir ,jesous et moi , des la première écoute, nos yeux se sont mis a briller
<< Ouais c'est pas mal a dit christian , tu peux nous la refaire pour voir? >>
bien sur S'est écrie pierrot avec une pointe d'inquiétude dans la voie"il faut encore y travailler" Et il a repris son morceau ,et là j'ai observé jesou : il était comme moi : suspendu aux cordes de la guitare les larmes aux bords des yeux ( si si je vous l'assure)
On avait l'impression que quelque chose de vivant prenait forme sous nos yeux( ou plutôt nos oreilles)
Les habituelles et ridicules expression connues du genre : la musique vivait..... la musique s'envolait .... prenaient pour une fois un sens véritable.
je crois que l'un comme l'autre nous avons su cacher notre émotion , mais ,l'un comme l'autre savions ce que l'autre ressentait !
plus tard , suite a la magnifique victoire de la France contre les méchants, Alain nous a rejoins , devant suppléer a l'absence malencontreuse de mitch,il s'est d'abord écrié "j'y arriverais pas , c'est trop rapide ,et le texte est modifié c'est trop dur"
Mais sur lui comme sur nous l'effet a été presque immédiat , il s'est pris au jeu, l'a chanté deux fois puis trois fois, puis plus fort , avec un grand sourire ,comme un enfant qui découvre un jouet dont il ignorait lui même, que c'était son rêve ultime.
Je me suis bien amusé la dernière fois , a critiquer michel de son "absence médicale" :un petit fond de méchanceté gratuite ,ça fait toujours plaisir ,et puis je savais bien qu'il comprendrait que tout cela n'était dit que "pour rire".
mais aujourd'hui , je n'ai pas envie de me moquer de son absence et de celle d'odile :je suis triste pour eux ,comme je suis triste pour phil le carré ,qu'ils n'aient pas été avec nous en ce soir du 17 octobre , car j'en suis sur : autant que nous ,ils méritaient de vivre un tel moment , et malheureusement cet instant de pur bonheur leur a échappé a jamais
Lorsque l'enfant parait, le cercle de famille
applaudit à grands cris.
Son doux regard qui brille
fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts les plus souillés peut être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
innocent et joyeux
hier ,mercredi 17 octobre , nous avons vécus un évènement , pour moi de même dimension exceptionnelle.Depuis hier ,j'ai l'impression d'avoir trois enfants :mes deux filles et "la bête de scène"
C'est difficile a expliquer ,et n'ayant pas le talent de mitch ,je ne m'en sens pas capable , mais je vous l'assure ,hier soir dans la salle jim morrisson nous avons assisté en direct a une vrai naissance,
Certes , cet enfant nous ne l'avons pas porté en nous durant des mois (encore que :cette musique,pour quelqu'un comme moi qui ne crois pas au divin, elle viens bien de quelque part! ou alors pierrot est un génie, mais bon ça me ferais quand même un peu chier de côtoyer un génie depuis tous ce temps et de ne pas m'en être rendu compte )
Mais les faits sont là : il s'est passé quelque chose de magique
Au départ , nous n'étions que trois , le suspense haletantant du match de foot France - bidule ayant scotché alain devant la télé des fabre
Je ne veux pas jouer les faux modeste, je reconnais que le texte de cette dernière oeuvre est "gentil" mais soyons lucide : rien de bien transcendant quand même, et finalement pierrot n'a rien fait d'autre que d'y ajouter quelques notes (après tout ,il n'y en a que sept)mais voila ! ces notes étaient les bonnes ! ! !
Vous auriez du nous voir ,jesous et moi , des la première écoute, nos yeux se sont mis a briller
<< Ouais c'est pas mal a dit christian , tu peux nous la refaire pour voir? >>
bien sur S'est écrie pierrot avec une pointe d'inquiétude dans la voie"il faut encore y travailler" Et il a repris son morceau ,et là j'ai observé jesou : il était comme moi : suspendu aux cordes de la guitare les larmes aux bords des yeux ( si si je vous l'assure)
On avait l'impression que quelque chose de vivant prenait forme sous nos yeux( ou plutôt nos oreilles)
Les habituelles et ridicules expression connues du genre : la musique vivait..... la musique s'envolait .... prenaient pour une fois un sens véritable.
je crois que l'un comme l'autre nous avons su cacher notre émotion , mais ,l'un comme l'autre savions ce que l'autre ressentait !
plus tard , suite a la magnifique victoire de la France contre les méchants, Alain nous a rejoins , devant suppléer a l'absence malencontreuse de mitch,il s'est d'abord écrié "j'y arriverais pas , c'est trop rapide ,et le texte est modifié c'est trop dur"
Mais sur lui comme sur nous l'effet a été presque immédiat , il s'est pris au jeu, l'a chanté deux fois puis trois fois, puis plus fort , avec un grand sourire ,comme un enfant qui découvre un jouet dont il ignorait lui même, que c'était son rêve ultime.
Je me suis bien amusé la dernière fois , a critiquer michel de son "absence médicale" :un petit fond de méchanceté gratuite ,ça fait toujours plaisir ,et puis je savais bien qu'il comprendrait que tout cela n'était dit que "pour rire".
mais aujourd'hui , je n'ai pas envie de me moquer de son absence et de celle d'odile :je suis triste pour eux ,comme je suis triste pour phil le carré ,qu'ils n'aient pas été avec nous en ce soir du 17 octobre , car j'en suis sur : autant que nous ,ils méritaient de vivre un tel moment , et malheureusement cet instant de pur bonheur leur a échappé a jamais
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Machiavel et Thierry Henry
Suis-je victime d’une malédiction ? Le sort s’acharnerait-il contre moi depuis la soirée à Woodsport ? Tout porte à le croire puisque depuis cette fiesta d’anniversaire, je n’ai plus eu l’occasion de retrouver le groupe pour répéter. Depuis trois semaines c’est la diète stricte !
Les jours qui ont suivi Desport, nous avons fait relâche, ayant besoin de souffler un peu après un marathon de neuf mois conclu par deux concerts consécutifs. La semaine suivante j’étais cloué au lit par une mauvaise sinusite mal soignée m’éloignant encore de la salle Jim Morrison.
Ce mercredi je comptais donc bien mettre les bouchées doubles et reprendre enfin l’entraînement malgré un rhume virulent qui m’obstruait les voies respiratoires. Shooté à la cortisone, aux anti-histaminiques, au paracétamol, à la codéine, et au grog, j’étais résolu de combattre bec et ongles afin d’enfin libérer ma voix. Fut-ce au détriment de ma santé, ou avec une voix cassée, éraillée, brisée.
Cependant lundi nous discutions, Odile et moi, de tout et de rien, dans une de ces conversations à bâtons rompus que nous affectionnons tout particulièrement. Ce dialogue primesautier égayait une fin de journée épuisante, comme chaque jour de semaine. Nous fumions de concert, et les volutes de fumée de nos deux cigarettes flirtaient sereinement, marivaudaient au dessus de nous, se mêlant, s’absorbant en une ondulation sensuelle qui semblait vibrer au rythme d’un titre de Marvin Gaye que nous écoutions distraitement.
J’en vins à aborder mon thème préféré : celui du groupe et de ses travaux. J’évoquais les succès passés, l’amitié indéfectible qui nous unissait tous, même le staff technique, et même le parasi… enfin je veux dire le photographe du groupe plus communément connu sous le charmant patronyme de « hyène ». On me rétorquera que « là où y a de la hyène, y a pas de plaisir » mais je m’inscrirai en faux contre cet adage. Chacun d’entre nous, en ce bas monde, au milieu duquel s’ouvre une vallée de larmes, a son utilité. Même le bousier, même le concombre de mer, et même la hyène.
Or donc, au décours de la conversation, je lançai, enthousiaste : heureusement, mercredi soir, nous avons répète !
« Répète ?? » me rétorqua Odile (et quand Odile rétorque, je vous prie de croire qu’il faut se protéger, rapport à son accorte poitrine qui s’implique très fortement dans cette opération).
« Mais il n’y a pas répète mercredi soir mon ninou »
« Comment ça ? Pas répète ? et on ne m’aurait rien dit ??!?!!!!? »
« C’est que tu n’as pas écouté, « ils » en ont parlé toute la soirée durant le match de rugby : Philippe part en Espagne, et Alain regarde le match de foot donc, et par conséquent, subséquemment de ce fait : voilà ! »
« Tu es sûre ? » répondis-je d’une voix chevrotante d’émotion contenue.
« Oui, oui, je t’assure, ma main (que j’ai très blanche) à couper, la purée de mes os, maudites soient les moustaches de mon arrière grand-mère et que je sois môôdite jusqu’à la septième génération si je mens ».
Fort de cette assurance, mais un peu préoccupé par la tournure eaudeboudinesque que prenait notre association, je me tins coi, allant, magnanime, jusqu’à ne rien dire de mes sentiments dans le présent blog afin de n’être pas taxé de mettre de l’huile sur le feu.
Las, mardi, à 21h10, coup de tonnerre dans un ciel serein : un appel de Jésou m’indiqua qu’une fois de plus le destin s’était acharné sur moi. En effet, même le Baou (notre jolie choriste), était présent chez les Fabre pour la traditionnelle répète du mercredi.
Double défection donc pour votre serviteur. La honte m’étreint (de nuit). Que dire de plus ?
Tancer vertement Odile, en pleur à l’annonce de sa bévue, n’aurait pas changé grand-chose, si ce n’est peut-être soulager un peu mon irritation.
Je me demande toutefois, s’il n’y avait pas un brin de machiavélisme dans la démarche de mes copains. En effet, on peut toujours imaginer un scénario, absurde j’en conviens, où l’on aurait affirmé tout et son contraire concernant cette répète, afin de brouiller les cartes et favoriser une douillette soirée devant la télé, à regarder un match de foot passionnant,tout en culpabilisant et continuant le travail de déstabilisation d’un chanteur désormais en proie au doute le plus pernicieux.
Va savoir…..
Les jours qui ont suivi Desport, nous avons fait relâche, ayant besoin de souffler un peu après un marathon de neuf mois conclu par deux concerts consécutifs. La semaine suivante j’étais cloué au lit par une mauvaise sinusite mal soignée m’éloignant encore de la salle Jim Morrison.
Ce mercredi je comptais donc bien mettre les bouchées doubles et reprendre enfin l’entraînement malgré un rhume virulent qui m’obstruait les voies respiratoires. Shooté à la cortisone, aux anti-histaminiques, au paracétamol, à la codéine, et au grog, j’étais résolu de combattre bec et ongles afin d’enfin libérer ma voix. Fut-ce au détriment de ma santé, ou avec une voix cassée, éraillée, brisée.
Cependant lundi nous discutions, Odile et moi, de tout et de rien, dans une de ces conversations à bâtons rompus que nous affectionnons tout particulièrement. Ce dialogue primesautier égayait une fin de journée épuisante, comme chaque jour de semaine. Nous fumions de concert, et les volutes de fumée de nos deux cigarettes flirtaient sereinement, marivaudaient au dessus de nous, se mêlant, s’absorbant en une ondulation sensuelle qui semblait vibrer au rythme d’un titre de Marvin Gaye que nous écoutions distraitement.
J’en vins à aborder mon thème préféré : celui du groupe et de ses travaux. J’évoquais les succès passés, l’amitié indéfectible qui nous unissait tous, même le staff technique, et même le parasi… enfin je veux dire le photographe du groupe plus communément connu sous le charmant patronyme de « hyène ». On me rétorquera que « là où y a de la hyène, y a pas de plaisir » mais je m’inscrirai en faux contre cet adage. Chacun d’entre nous, en ce bas monde, au milieu duquel s’ouvre une vallée de larmes, a son utilité. Même le bousier, même le concombre de mer, et même la hyène.
Or donc, au décours de la conversation, je lançai, enthousiaste : heureusement, mercredi soir, nous avons répète !
« Répète ?? » me rétorqua Odile (et quand Odile rétorque, je vous prie de croire qu’il faut se protéger, rapport à son accorte poitrine qui s’implique très fortement dans cette opération).
« Mais il n’y a pas répète mercredi soir mon ninou »
« Comment ça ? Pas répète ? et on ne m’aurait rien dit ??!?!!!!? »
« C’est que tu n’as pas écouté, « ils » en ont parlé toute la soirée durant le match de rugby : Philippe part en Espagne, et Alain regarde le match de foot donc, et par conséquent, subséquemment de ce fait : voilà ! »
« Tu es sûre ? » répondis-je d’une voix chevrotante d’émotion contenue.
« Oui, oui, je t’assure, ma main (que j’ai très blanche) à couper, la purée de mes os, maudites soient les moustaches de mon arrière grand-mère et que je sois môôdite jusqu’à la septième génération si je mens ».
Fort de cette assurance, mais un peu préoccupé par la tournure eaudeboudinesque que prenait notre association, je me tins coi, allant, magnanime, jusqu’à ne rien dire de mes sentiments dans le présent blog afin de n’être pas taxé de mettre de l’huile sur le feu.
Las, mardi, à 21h10, coup de tonnerre dans un ciel serein : un appel de Jésou m’indiqua qu’une fois de plus le destin s’était acharné sur moi. En effet, même le Baou (notre jolie choriste), était présent chez les Fabre pour la traditionnelle répète du mercredi.
Double défection donc pour votre serviteur. La honte m’étreint (de nuit). Que dire de plus ?
Tancer vertement Odile, en pleur à l’annonce de sa bévue, n’aurait pas changé grand-chose, si ce n’est peut-être soulager un peu mon irritation.
Je me demande toutefois, s’il n’y avait pas un brin de machiavélisme dans la démarche de mes copains. En effet, on peut toujours imaginer un scénario, absurde j’en conviens, où l’on aurait affirmé tout et son contraire concernant cette répète, afin de brouiller les cartes et favoriser une douillette soirée devant la télé, à regarder un match de foot passionnant,tout en culpabilisant et continuant le travail de déstabilisation d’un chanteur désormais en proie au doute le plus pernicieux.
Va savoir…..
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chronique
mardi 16 octobre 2007
Costume de Scène 4 : WonderPoune
La Poune : Son régime de cheval lui a fait du bien.
Le régime de La Poune : idéal pour affiner votre silhouette, raffermir votre corps.
mieux que Wonderbra : WonderPoune !
Recommandé par tous les vétérinaires équins.
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lundi 15 octobre 2007
Costume de Scène 3 (par Mitch)
Il y a quelques années déjà, souvenez vous : séquence émotions (fortes).
Pour les Undertakers Christian a accepté de remettre son costume de Jésoune, qui avait assis sa notoriété en son temps.
Car comme il le dit avec ses mots à lui: "Y a pas de raison qu'il y ait que ce PD d'Alain qui soit habillé comme une tarlouze sur scène, y en a que pour les chanteurs, les musicos aussi ont droit a un peu de gloire" :
C'est aussi ça le Rocknroll : Les paillettes, la folie, le délire dans des vêtements qui moulent et mettent en valeur nos corps.
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Costume de Scène 2
Pas tout à fait raccord au niveau du costume, mais l'important c'est que chacun exprime sa personnalité..
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dimanche 14 octobre 2007
vendredi 12 octobre 2007
Et partout dans la rue, J'veux qu'on parle de moi, Que les filles soient nues....
La réponse du berger à la bergère : le texte de Pounet.
ça va nous ragaillardir après la sombre peinture du texte précédent.
c'est drôle, autant je pense dans la vie courante respirer la joie de vivre (encore que, ces derniers temps....), autant dans mes textes de chansons,et ça du plus loin que je puisse remonter, j'ai du mal à écrire des trucs marrants.
j'aime bien le coté "on est tous foutus".
Mais je vais m'y mettre c'est promis.
Par ailleurs Poune nous sert là une vision en contrepoint d'un Balavoine ou d'un Aznavour, voire d'un Delpech, quand il dépeint ce qui peut se passer dans la tête d'un chanteur, fut-il de Série Z. Moi ca me plait beaucoup.
LA BÊTE DE SCÈNE
COUPLET
Yen a qui disent de moi que je chante faux
ceux la prétendent aussi que je'n suis pas beau
et même que pour chanter je suis un peu vieux
qu'ça doit être très facile d'en trouver un mieux
REFRAIN
Mais moi j'm'en fous, j'suis une bête de scène
ya vraiment qu'ça , vraiment qu'ça que j'aime
quand l'public est en transe et qu'il applaudit
c'est là que j'suis heureux ,oui c'est là qu'je jouis
COUFLAIN
Pour vous les jaloux ,qui ne pensez qu'a mal
il faut qu'vous le sachiez moi je me régale
c'est vraiment un plaisir,un public en délire
entendre ses clameurs pour moi c'est l'bonheur
REPLET
voila j'me lache,moi la bête de scène
ya vraiment qu'ça ,vraiment qu'ça que j'aime
on met a fond les watts,j'gueule dans mon micro
c'est comme ça qu'enfin, le monde est vraiment beau
COUPLAIN
Surment un jour il fau dra que je m'arrête
a mon âge il vaut mieux que je pense a ma r'traite
bouger partout mes genoux,et me rouler par terre
dans très bientôt je crois que ça n'va plus le faire
REPRET
Mais moi j'm'en fous ,j'suis une bête de scène
ya vraiment qu'ça , vraiment qu'ça que j'aime
pour mon dernier morceau, faudra que j'me déchaîne
si j'dois mourir demain,au moins qu'ce soit sur scène
ça va nous ragaillardir après la sombre peinture du texte précédent.
c'est drôle, autant je pense dans la vie courante respirer la joie de vivre (encore que, ces derniers temps....), autant dans mes textes de chansons,et ça du plus loin que je puisse remonter, j'ai du mal à écrire des trucs marrants.
j'aime bien le coté "on est tous foutus".
Mais je vais m'y mettre c'est promis.
Par ailleurs Poune nous sert là une vision en contrepoint d'un Balavoine ou d'un Aznavour, voire d'un Delpech, quand il dépeint ce qui peut se passer dans la tête d'un chanteur, fut-il de Série Z. Moi ca me plait beaucoup.
LA BÊTE DE SCÈNE
COUPLET
Yen a qui disent de moi que je chante faux
ceux la prétendent aussi que je'n suis pas beau
et même que pour chanter je suis un peu vieux
qu'ça doit être très facile d'en trouver un mieux
REFRAIN
Mais moi j'm'en fous, j'suis une bête de scène
ya vraiment qu'ça , vraiment qu'ça que j'aime
quand l'public est en transe et qu'il applaudit
c'est là que j'suis heureux ,oui c'est là qu'je jouis
COUFLAIN
Pour vous les jaloux ,qui ne pensez qu'a mal
il faut qu'vous le sachiez moi je me régale
c'est vraiment un plaisir,un public en délire
entendre ses clameurs pour moi c'est l'bonheur
REPLET
voila j'me lache,moi la bête de scène
ya vraiment qu'ça ,vraiment qu'ça que j'aime
on met a fond les watts,j'gueule dans mon micro
c'est comme ça qu'enfin, le monde est vraiment beau
COUPLAIN
Surment un jour il fau dra que je m'arrête
a mon âge il vaut mieux que je pense a ma r'traite
bouger partout mes genoux,et me rouler par terre
dans très bientôt je crois que ça n'va plus le faire
REPRET
Mais moi j'm'en fous ,j'suis une bête de scène
ya vraiment qu'ça , vraiment qu'ça que j'aime
pour mon dernier morceau, faudra que j'me déchaîne
si j'dois mourir demain,au moins qu'ce soit sur scène
Un Vibrant Message d'Espoir
Profitant de mes longues périodes d'inactivités au travail, entre deux RTT et un récupération d'arrêt-maladie, en plusieurs poses horaires soigneusement étalées dans mes journées de 7h, entre deux poses cigarettes, j'ai écrit ce texte d'espoir :
Deadline
J’ai regardé l’Homme dans le miroir sans tain
Il y avait des chaînes au fond de son destin
Il n’y avait pas de haine dans ses yeux incertains
Qui ne regardaient rien depuis tant de matins
Quand les Grands Argentiers de nos espérances
Dans leur livre de compte feront la balance
Il ne restera plus rien pour nous à la fin
Que la Deadline
La Deadline
Dans le miroir sans tain j’ai regardé le Fils
Ses yeux ne mentaient pas il avait le regard fixe
Comme s’il savait déjà que son sacrifice
Etait inscrit dans le cours de nos vies factices
Les gourous sont désabusés
Les idéaux s’exposent au musée
Les valeurs démonétisées
Et la candeur : relique du passé
J’ai cherché sans comprendre dans le miroir aux alouettes
Un sens à la danse de toutes ces silhouettes
Qui semblaient supporter le poids d’une dette
Celle d’une vie sans aveu ni quête.
Quand les Grands Argentiers de nos espérances
Dans leur livre de compte feront la balance
Il ne restera plus rien pour nous à la fin
Que la Deadline
La Deadline
Deadline
J’ai regardé l’Homme dans le miroir sans tain
Il y avait des chaînes au fond de son destin
Il n’y avait pas de haine dans ses yeux incertains
Qui ne regardaient rien depuis tant de matins
Quand les Grands Argentiers de nos espérances
Dans leur livre de compte feront la balance
Il ne restera plus rien pour nous à la fin
Que la Deadline
La Deadline
Dans le miroir sans tain j’ai regardé le Fils
Ses yeux ne mentaient pas il avait le regard fixe
Comme s’il savait déjà que son sacrifice
Etait inscrit dans le cours de nos vies factices
Les gourous sont désabusés
Les idéaux s’exposent au musée
Les valeurs démonétisées
Et la candeur : relique du passé
J’ai cherché sans comprendre dans le miroir aux alouettes
Un sens à la danse de toutes ces silhouettes
Qui semblaient supporter le poids d’une dette
Celle d’une vie sans aveu ni quête.
Quand les Grands Argentiers de nos espérances
Dans leur livre de compte feront la balance
Il ne restera plus rien pour nous à la fin
Que la Deadline
La Deadline
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song
jeudi 11 octobre 2007
Un Navrant Compte-Rendu
Bonjour à tous, je vous prie de trouver, ci-dessous, le compte-rendu de la répète de mercredi.
Je le publie in extenso, nonobstant son caractère diffamatoire.
C'est ici un espace de liberté, l'opinion de chacun est recevable, fut-elle l'expression d'un esprit malsain et polémiste, mêlant habilement vérités et calomnies en un brouet particulièrement insipide.
je trace un trait ci-dessous afin de bien délimiter mon intervention et la sienne.
_________________________________________________________
salut a tous (enfin presque a tous)
désole je sais bien que c'est pas là qu'on doit faire les résumes des soirées de répétitions , mais comme certain n'ont pas jugé nécessaire de m'indiquer comment rédiger directement sur NOTRE BLOG! je vais là ou je peux !
bien donc ce soir a 20 h 30 nous avions répétition chez jesou (je rappelle l'adresse des fois que quelqu'un l'ai oublié : chemin des anémones , impasse des clématites 30000 NIMES )
comme toujours un accueil très chaleureux de notre charmante hôtesse et de ces adorables bambins avec un choix très varie de boissons en tous genre : café 43 variétés, limoncello a profusion , mais aussi punch (excellent le punch) vodka ,juste un fond, tequilla ,get 27 ,et même tisane pour les amateurs.
la soirée s'annonçait donc sous les meilleurs hospices(a mon avis y en a un qui devrait réserver sa place : dans un hospice ,vu son état )
nous avons d'abord débattu de l'organisation de notre future enregistrement chez l'ami jacquot ,après quelques coup de fils judicieux les dates sont maintenant fixés : l'échéance approche et par la même occasion la tension monte, car ce jour là gueuler n'importe quoi dans un micro ne suffira pas : il faudra être CARRE ! mais j'ai confiance dans mes amis (les vrais) les musiciens. ils prennent leur travail a coeur (eux!)
Puis nous avons entrepris de décharger le matos entreposé dans la voiture, c'est un boulot extrêmement physique qui peut être disons le, épuisant : sortir les instrument de la voiture, traverser l'immense parc des fabre, gravir une terrible volée d'escalier particulièrement rude , franchir le salon , parfaitement bien rangé par la maîtresse de céans mais tout de mémé légèrement encombré d'innombrables meubles et de bibelots précieux (le pauvre pierrot en repartant ce soir a malencontreusement cassé un vase (période ming ,je crois,)il en était désole ,mais c'est pas grave, comme l'a dit si gentiment christian : ça pourrait arriver a n'importe qui ! et je rajouterai :"y a que ceux qui foutent rien (suivez mon regard )qui ne font pas de bourdes !
donc traversée du salon descente par ce" colis maçon" d'escalier, jusqu'a la salle JIM MORRISON et finalement branchement de tous ces fils dans tou tes ces prises .
enfin ,tout c'est bien passé : il faut dire que quand chacun y met du sien ,ça facilite le travail et tous les PRÉSENTS ont participé: évidement ceux qui n'étaient pas là n'ont rien pu faire ,les pôvres.
et la répète a démarrée un excellent proud marie suivit d'un superbe ecolo song poursuivit par un magistral spam des familles..... et c'est là que soudain avec un sens de l'observation qui lhonnore( mais ne parlons pas trop d'honneur ce soir : ça me semble un mot assez malvenu )que phil le carré s'est exclamé mais bon sang ! les choristes ne sont pas là (alain s'etait fait excuser lui !) et mitch non plus !
VOILA UN PETIT DÉTAIL NOUS MANQUAIT ..... MITCH n'était pas là, alors l'inquiétude nous a pris : il faudrait pas qu'il ai eu un accident (tout le monde connaît ses qualités de pilote )ou alors il a oublié : ce qui m'étonnerait , même le kéké savait que nous avions répétition ce soir.
A moins qu'il soit malade ! bien sur la maladie expliquait tout , sauf que ...... d'une part avec l'éducation qu'il a reçu (mes hommages a madame sa mère) il aurait sûrement pris le temps de nous avertir(la moindre des choses me direz vous ? je suis d'accord !
d'autres part quand on est capable d'écrire des messages plus ou moins sensés(en fait plutôt moins ) dans une même journée a
2h 30
10h 02
16h42
18h 25
18h 56
19h 26
21h (nous on travaillait a cette heure là)
et a 21h 11
c'est qu'on est quand même pas a l'article de la mort ! ! ! !
Qu'en conclure ? JE SAIS PAS a moins qu'ayant passé la soirée d'anniversaire il a jugé que le plus important était fait ,et qu'il en avait un peu marre de toutes ces répètes avec ces "mauvais musicos"
ou plus simplement un rien de
MÉPRIS
pour le travail des autres
Bonne nuit a tous (enfin presque)
pascou
==========================================================
voici donc la réponse publiée en commentaires :
bonjour à tous, en attendant les ambulanciers du samu qui doivent arriver d'une seconde à l'autre afin de m'amener chez notre excellent médecin le docteur Pavlov, subissant depuis trois jours les afffffffres d'une maladie particulièrement épuisante puisque se manifestant avec délectation et paroxistiquement la nuit j'ai voulu voir si quelque message d'affection ou de soutien m'aiderait à passer le cap de cette journée. En effet cloué à la maison, j'attends avec impatience de pouvoir enfin acheter les médicaments qui me permettront de me soulager.
Las, j'ai du boire la ciguë jusqu'à la lie en lisant le fielleux récit de la soirée de répétition d'hier soir. J'ai décidé de considérer que ce récit était anonyme, voire apocryphe, et n'ai pas tenu compte de la signature de ce texte aux relents délatoires, et pour ne pas dire vychistes.
Ça me rappelle la plume nauséabonde du rédacteur de la chronique du jour de "je suis partout" l'immonde torchon qui a souillé l'honneur de la France en ces heures sombres où Le Général, seul, tenait à bout de bras le destin d'un peuple en déshérence.
Il aurait été plus utile je crois, pour l'information de tous, de développer le sujet à peine effleuré concernant les conditions de notre enregistrement.
Je n'ai nulle intention de paul et mickey. Juste une ou deux infos pour clore un débat stérile dans l'oeuf :
ce blog me tient particulièrement à coeur puisqu'il est l'organe par lequel nous communiquons entre deux répétitions. Il est le poumons de notre Groupe, et je m'attache à le faire vivre. C'est pourquoi je prends la peine d'y écrire souvent, de répondre à chacun, d'animer ce lieu d'échange. Il se trouve que contrairement à certains, et à l'instar de Jésou, j'ai ce DON, de taper très vite. de plus les idées me viennent rapidement et ma formation de manager me permet de les ordonner en un temps record au travers d'un esprit synthétique et structuré. d'où l'impression pour d'autres, plus lents, que j'y consacre beaucoup de temps.
d'autre part, j'ai prévenu Jésou que je ne viendrais pas
J'ai appelé Pascou,et lui ai laissé un message sur son répondeur. je croyais avoir en lui un ami qui saurait me réconforter, j'avais élevé en fait une vipère qui m'a poignardé dans le dos.
je suis attristé.
En 10 mois de collaboration c'est ma première défection, pour cause de maladie. j'attendais plus de commisération et d'indulgence.
Mais c'est dans les instants les plus douloureux qu'on compte ses amis.
Ils sont peu visiblement à avoir pensé à me joindre afin de s'enquérir de ma santé, de demander si mon épouse ou mes enfants pouvaient avoir besoin d'aide.
cela va laisser une cicatrice profonde dans mon coeur blessé. Je ne sais pas si elle va se refermer.
Ma sensibilité d'homme et d'artiste a été ébranlée...
Je le publie in extenso, nonobstant son caractère diffamatoire.
C'est ici un espace de liberté, l'opinion de chacun est recevable, fut-elle l'expression d'un esprit malsain et polémiste, mêlant habilement vérités et calomnies en un brouet particulièrement insipide.
je trace un trait ci-dessous afin de bien délimiter mon intervention et la sienne.
_________________________________________________________
salut a tous (enfin presque a tous)
désole je sais bien que c'est pas là qu'on doit faire les résumes des soirées de répétitions , mais comme certain n'ont pas jugé nécessaire de m'indiquer comment rédiger directement sur NOTRE BLOG! je vais là ou je peux !
bien donc ce soir a 20 h 30 nous avions répétition chez jesou (je rappelle l'adresse des fois que quelqu'un l'ai oublié : chemin des anémones , impasse des clématites 30000 NIMES )
comme toujours un accueil très chaleureux de notre charmante hôtesse et de ces adorables bambins avec un choix très varie de boissons en tous genre : café 43 variétés, limoncello a profusion , mais aussi punch (excellent le punch) vodka ,juste un fond, tequilla ,get 27 ,et même tisane pour les amateurs.
la soirée s'annonçait donc sous les meilleurs hospices(a mon avis y en a un qui devrait réserver sa place : dans un hospice ,vu son état )
nous avons d'abord débattu de l'organisation de notre future enregistrement chez l'ami jacquot ,après quelques coup de fils judicieux les dates sont maintenant fixés : l'échéance approche et par la même occasion la tension monte, car ce jour là gueuler n'importe quoi dans un micro ne suffira pas : il faudra être CARRE ! mais j'ai confiance dans mes amis (les vrais) les musiciens. ils prennent leur travail a coeur (eux!)
Puis nous avons entrepris de décharger le matos entreposé dans la voiture, c'est un boulot extrêmement physique qui peut être disons le, épuisant : sortir les instrument de la voiture, traverser l'immense parc des fabre, gravir une terrible volée d'escalier particulièrement rude , franchir le salon , parfaitement bien rangé par la maîtresse de céans mais tout de mémé légèrement encombré d'innombrables meubles et de bibelots précieux (le pauvre pierrot en repartant ce soir a malencontreusement cassé un vase (période ming ,je crois,)il en était désole ,mais c'est pas grave, comme l'a dit si gentiment christian : ça pourrait arriver a n'importe qui ! et je rajouterai :"y a que ceux qui foutent rien (suivez mon regard )qui ne font pas de bourdes !
donc traversée du salon descente par ce" colis maçon" d'escalier, jusqu'a la salle JIM MORRISON et finalement branchement de tous ces fils dans tou tes ces prises .
enfin ,tout c'est bien passé : il faut dire que quand chacun y met du sien ,ça facilite le travail et tous les PRÉSENTS ont participé: évidement ceux qui n'étaient pas là n'ont rien pu faire ,les pôvres.
et la répète a démarrée un excellent proud marie suivit d'un superbe ecolo song poursuivit par un magistral spam des familles..... et c'est là que soudain avec un sens de l'observation qui lhonnore( mais ne parlons pas trop d'honneur ce soir : ça me semble un mot assez malvenu )que phil le carré s'est exclamé mais bon sang ! les choristes ne sont pas là (alain s'etait fait excuser lui !) et mitch non plus !
VOILA UN PETIT DÉTAIL NOUS MANQUAIT ..... MITCH n'était pas là, alors l'inquiétude nous a pris : il faudrait pas qu'il ai eu un accident (tout le monde connaît ses qualités de pilote )ou alors il a oublié : ce qui m'étonnerait , même le kéké savait que nous avions répétition ce soir.
A moins qu'il soit malade ! bien sur la maladie expliquait tout , sauf que ...... d'une part avec l'éducation qu'il a reçu (mes hommages a madame sa mère) il aurait sûrement pris le temps de nous avertir(la moindre des choses me direz vous ? je suis d'accord !
d'autres part quand on est capable d'écrire des messages plus ou moins sensés(en fait plutôt moins ) dans une même journée a
2h 30
10h 02
16h42
18h 25
18h 56
19h 26
21h (nous on travaillait a cette heure là)
et a 21h 11
c'est qu'on est quand même pas a l'article de la mort ! ! ! !
Qu'en conclure ? JE SAIS PAS a moins qu'ayant passé la soirée d'anniversaire il a jugé que le plus important était fait ,et qu'il en avait un peu marre de toutes ces répètes avec ces "mauvais musicos"
ou plus simplement un rien de
MÉPRIS
pour le travail des autres
Bonne nuit a tous (enfin presque)
pascou
==========================================================
voici donc la réponse publiée en commentaires :
bonjour à tous, en attendant les ambulanciers du samu qui doivent arriver d'une seconde à l'autre afin de m'amener chez notre excellent médecin le docteur Pavlov, subissant depuis trois jours les afffffffres d'une maladie particulièrement épuisante puisque se manifestant avec délectation et paroxistiquement la nuit j'ai voulu voir si quelque message d'affection ou de soutien m'aiderait à passer le cap de cette journée. En effet cloué à la maison, j'attends avec impatience de pouvoir enfin acheter les médicaments qui me permettront de me soulager.
Las, j'ai du boire la ciguë jusqu'à la lie en lisant le fielleux récit de la soirée de répétition d'hier soir. J'ai décidé de considérer que ce récit était anonyme, voire apocryphe, et n'ai pas tenu compte de la signature de ce texte aux relents délatoires, et pour ne pas dire vychistes.
Ça me rappelle la plume nauséabonde du rédacteur de la chronique du jour de "je suis partout" l'immonde torchon qui a souillé l'honneur de la France en ces heures sombres où Le Général, seul, tenait à bout de bras le destin d'un peuple en déshérence.
Il aurait été plus utile je crois, pour l'information de tous, de développer le sujet à peine effleuré concernant les conditions de notre enregistrement.
Je n'ai nulle intention de paul et mickey. Juste une ou deux infos pour clore un débat stérile dans l'oeuf :
ce blog me tient particulièrement à coeur puisqu'il est l'organe par lequel nous communiquons entre deux répétitions. Il est le poumons de notre Groupe, et je m'attache à le faire vivre. C'est pourquoi je prends la peine d'y écrire souvent, de répondre à chacun, d'animer ce lieu d'échange. Il se trouve que contrairement à certains, et à l'instar de Jésou, j'ai ce DON, de taper très vite. de plus les idées me viennent rapidement et ma formation de manager me permet de les ordonner en un temps record au travers d'un esprit synthétique et structuré. d'où l'impression pour d'autres, plus lents, que j'y consacre beaucoup de temps.
d'autre part, j'ai prévenu Jésou que je ne viendrais pas
J'ai appelé Pascou,et lui ai laissé un message sur son répondeur. je croyais avoir en lui un ami qui saurait me réconforter, j'avais élevé en fait une vipère qui m'a poignardé dans le dos.
je suis attristé.
En 10 mois de collaboration c'est ma première défection, pour cause de maladie. j'attendais plus de commisération et d'indulgence.
Mais c'est dans les instants les plus douloureux qu'on compte ses amis.
Ils sont peu visiblement à avoir pensé à me joindre afin de s'enquérir de ma santé, de demander si mon épouse ou mes enfants pouvaient avoir besoin d'aide.
cela va laisser une cicatrice profonde dans mon coeur blessé. Je ne sais pas si elle va se refermer.
Ma sensibilité d'homme et d'artiste a été ébranlée...
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pascou
mardi 9 octobre 2007
dimanche 7 octobre 2007
vendredi 5 octobre 2007
Fin de la Saison 1
Réunion exceptionnelle de débriefing ce mercredi soir après le concert du week end dernier. Les musiciens et chanteurs du groupe, leurs épouses ainsi que notre photographe de scène et Catherine étaient présents. Sur la table de la terrasse s’étalaient les bouteilles rescapées de la soirée, que nous avons partagées en partie, tandis que le punch de Pascou nous aidait à supporter le « blues du lendemain ». Nous avons pu regarder trois des vidéos prises lors du concert. Notre prestation fut, au vu de la captation, sans commune mesure avec celle du Delirium. Et de loin ! A part une ou deux fois en répète, nous n’avons sans doute jamais joué aussi bien.
Pourtant le spectacle m’a laissé une impression contrastée. Certes nous avons été bon, nous avons joué « propre et carré » mais je ne sais pourquoi, contre l’avis flatteur de plusieurs personnes, et à rebours des commentaires très élogieux des musicos présents, le public m’a paru plus « linéaire », réservé, que celui d’Avignon. Peut-être était il plus attentif à notre travail, plus concentré, moins spontané et l’espace restreint l’a sans doute empêché de manifester et s’exprimer aussi joyeusement que nous l’aurions souhaité… C’était pour nous l’évènement phare de notre aventure, notre But, et quelque part l’épitomé de notre parcours tout entier. Peut-être avais-je trop fantasmé à son sujet, l’avais-je trop sublimé, trop souvent vécu dans mes nuits agitées. Sa confrontation avec la réalité était trop inégale. Sans doute y avait-il aussi chez certains un coté expectatif dans le style « on va voir ce qu’ils ont dans le ventre », depuis le temps qu’ils nous bassinent avec leur Groupe ! Ou bien l’accoutumance nous oblige-t-elle déjà à augmenter à chaque fois notre « dose » ? Si c’est ça, je n’ai pas fini d’avoir des déconvenues !
L’accueil a été plus que chaleureux, sans conteste, mais il n’y a pas eu ce délire de la dernière fois. Il faut aussi remarquer que nous étions tout-contre le public, à sa hauteur, les spectateurs se tenaient devant nous, à moins d’un mètre, ce qui avait un coté oppressant : je suis mal à l’aise dans les rassemblements compacts. Des personnes qui m’avaient vu lors du précédent concert m’ont fait remarquer que je semblais plus tendu, et peut être cela a-t-il altéré ma perception. (Un ami chanteur lyrique, commentant ma prestation, a souligné que j’étais trop tendu au niveau de mes sterno-cléido-mastoïdiens !) Pourtant comme à Avignon le plaisir de chanter dans le groupe, d’être en phase avec les autres, de les écouter, de vibrer à leur jeu d’être à l’unisson, était immense.
Il est vrai que jouer avec mes amis, devant mes amis a occasionné plus de stress que devant des inconnus. Aussi voulais-je être en parfaite possession de mes moyens afin de ne pas décevoir, et pour cela j’ai très peu bu (lol). La conséquence a été une meilleure maîtrise vocale ( ! ), une lucidité parfaite, mais moins de spontanéité dans la gestuelle et l’interprétation. En revanche cette tempérance a profité à Pierrot qui a été impérial. Je ne parle pas du batteur, de Jésou et de l’ultrabassiste qui suscitent mon admiration et des chœurs qui ont vraiment « assuré » dans leur délire chorégraphique et leurs accessoires ludiques. Alain m’a avoué avec pudeur que s’il n’avait pas bu un « petit verre » il ne serait pas monté sur scène. Et pourtant quelle complicité dans le délire quand nous mimions le chat et le rat de Téléphone ! Je n’aurais pas voulu rater ça pour tous les yukas du monde des incas( private joke for my friends Kéké et Pascale).
Mais comment ne pas mentionner Odile, quittant le chœur, s’avançant vers le public, l’estomac encore noué par le trac, sous les vivats de la foule excitée, entonnant bravement puis avec aisance « New York » après qu’on lui ait arraché son tshirt, exhibant fièrement sa… détermination à la face de l’auditoire ? j’étais fier de ma femme, mesurant son chemin parcouru, l’audace dont elle avait du faire preuve pour oser chanter devant eux.
Les vidéos qui, elles, ont le mérite d’exister, à la différence de l’enregistrement que j’aurais du faire si je n’avais omis d’appuyer sur le bouton « record » de mon superbe appareil digital, sont de qualité inégales tant sur le plan sonore que visuel, si on fait abstraction de la technique de prise de vue, mais il faut dire que les conditions de tournage n’étaient pas aisées. En effet nous avons sous estimés l’influence de l’auditoire sur la propagation des sons, dont les aigus s’estompent très rapidement, et nous n’avions pas pris en compte la faible hauteur de l’estrade qui rendait le spectacle difficile à suivre pour les gens du fond et donc à filmer, pour deux des caméras. N’a également pas été bien mesuré, l’impact du bar sur le degré d’attention de certains qui ont profité de cet intermède musical pour s’abreuver copieusement.
A ce propos saluons la performance des deux barmen de la soirée : Laura et Vincent. Ce dernier a tenu bon jusqu’au bout de la nuit, accumulant ainsi de précieuse connaissances sur les choix de chacun en matière de boissons. Il se propose d’ailleurs de livrer dans ces colonnes et à la gazette locale sa vision de la soirée au travers des consommation servies, dont il a soigneusement noté la nature, les quantités et les bénéficiaires, dans un petit carnet que je tiens à la disposition de tous moyennant une modeste participation aux divers frais occasionnés par la manifestation. Me contacter pour toute transaction.
Tenter de vous raconter la soirée tient de la gageure, tant les évènements se sont télescopés, précipités, enchaînés. Tout cela s’est passé dans une sorte de brouillard dense d’émotions puissantes qui m’ont fait privilégier dans mon souvenir les sensations plutôt que les évènements. Ainsi me reste-t-il très peu d’images du buffet, dont j’ai à peine picoré quelques nems, des gens avec qui j’ai discuté, de celles avec qui j’ai dansé. Tout au plus des clichés fugaces, des impressions. Il est vrai aussi que la sono nous a pas mal occupés, et que choisir un titre parmi dix mille avec un espoir de succès rappelle un peu le grattage d’un tiquet de millionnaire. Félicitations Philou pour avoir tenu la sono avec pugnacité depuis toutes ces années ! En revanche ça nous a permis d’exhumer des titres originaux, des nouveautés, des choses plus personnelles, et nous y avons pris beaucoup de plaisir.
Je me rappelle toutefois le disque d’or qui nous a été offert, résultat de la collaboration étroite du Kéké et de Lolo, et bien sur l’original cadeau en forme de rébus : Un enregistrement en studio pour 10 titres, chez « Jacquot ». Pour le reste, tout est dans l’album photo publié précédemment en plusieurs parties. Quelques images sont toujours plus explicites qu’un long texte, vous y avez revus les « temps forts » de la soirée, et partagé ou retrouvé l’ambiance de ces heures festives.
Sachez toutefois que je fis partie du « dernier carré » avec Pascou et le Kéké. Et que c’est vers 6h que je rendis enfin les armes en compagnie de mon fils aîné, retrouvé in extremis après quelques mois de silence. Ce fut aussi ça le miracle de mes cinquante ans.
Je le sais, comme d’habitude je ne parle que de moi, mais comment avoir l’outrecuidance d’espérer parler au nom des autres ? Ceux que j’aimais étaient autour, ou dormaient déjà, ou rentrés sur Nîmes dans la nuit, bravant pour cela l’épisode cévennol traditionnel de ce début d’octobre. la nuit s’achevait, sereine, apaisée, lavée par l’orage, comme une promesse d’un recommencement, une nouvelle vie, neuve.
Peut être après tout, que cette douce et dolente mélancolie qui a enveloppé le souvenir de ma soirée n’était elle que l’expression d’une angoisse plus profonde : celle générée par la fuite d’une décennie écoulée, pleinement heureuse amicale et joyeuse, parmi les membres de la Compagnie du Cercle qui s’est constituée au fil des ans et qui accompagne et rythme nos semaines. Cette famille reconstituée s’est affirmée comme un besoin, un addiction, une compulsion.
Mais Philou dirait que nous savons rebondir ; notre expérience « Undertakers » en est la preuve concrète, et à travers elle nous avons trouvé de nouvelles citadelles à conquérir, avant que d’être totalement blasés par tant de soirées, évitant la lassitude de la répétition, devenant par la même occasion les acteurs musicaux des soirées des autres !
Nous ne participerons plus uniquement : Nous Fabriquerons la fête !
Après cette conclusion de la fabuleuse Saga de la Saison 1, restez connectés : La saison 2 s’annonce passionnante…
Pourtant le spectacle m’a laissé une impression contrastée. Certes nous avons été bon, nous avons joué « propre et carré » mais je ne sais pourquoi, contre l’avis flatteur de plusieurs personnes, et à rebours des commentaires très élogieux des musicos présents, le public m’a paru plus « linéaire », réservé, que celui d’Avignon. Peut-être était il plus attentif à notre travail, plus concentré, moins spontané et l’espace restreint l’a sans doute empêché de manifester et s’exprimer aussi joyeusement que nous l’aurions souhaité… C’était pour nous l’évènement phare de notre aventure, notre But, et quelque part l’épitomé de notre parcours tout entier. Peut-être avais-je trop fantasmé à son sujet, l’avais-je trop sublimé, trop souvent vécu dans mes nuits agitées. Sa confrontation avec la réalité était trop inégale. Sans doute y avait-il aussi chez certains un coté expectatif dans le style « on va voir ce qu’ils ont dans le ventre », depuis le temps qu’ils nous bassinent avec leur Groupe ! Ou bien l’accoutumance nous oblige-t-elle déjà à augmenter à chaque fois notre « dose » ? Si c’est ça, je n’ai pas fini d’avoir des déconvenues !
L’accueil a été plus que chaleureux, sans conteste, mais il n’y a pas eu ce délire de la dernière fois. Il faut aussi remarquer que nous étions tout-contre le public, à sa hauteur, les spectateurs se tenaient devant nous, à moins d’un mètre, ce qui avait un coté oppressant : je suis mal à l’aise dans les rassemblements compacts. Des personnes qui m’avaient vu lors du précédent concert m’ont fait remarquer que je semblais plus tendu, et peut être cela a-t-il altéré ma perception. (Un ami chanteur lyrique, commentant ma prestation, a souligné que j’étais trop tendu au niveau de mes sterno-cléido-mastoïdiens !) Pourtant comme à Avignon le plaisir de chanter dans le groupe, d’être en phase avec les autres, de les écouter, de vibrer à leur jeu d’être à l’unisson, était immense.
Il est vrai que jouer avec mes amis, devant mes amis a occasionné plus de stress que devant des inconnus. Aussi voulais-je être en parfaite possession de mes moyens afin de ne pas décevoir, et pour cela j’ai très peu bu (lol). La conséquence a été une meilleure maîtrise vocale ( ! ), une lucidité parfaite, mais moins de spontanéité dans la gestuelle et l’interprétation. En revanche cette tempérance a profité à Pierrot qui a été impérial. Je ne parle pas du batteur, de Jésou et de l’ultrabassiste qui suscitent mon admiration et des chœurs qui ont vraiment « assuré » dans leur délire chorégraphique et leurs accessoires ludiques. Alain m’a avoué avec pudeur que s’il n’avait pas bu un « petit verre » il ne serait pas monté sur scène. Et pourtant quelle complicité dans le délire quand nous mimions le chat et le rat de Téléphone ! Je n’aurais pas voulu rater ça pour tous les yukas du monde des incas( private joke for my friends Kéké et Pascale).
Mais comment ne pas mentionner Odile, quittant le chœur, s’avançant vers le public, l’estomac encore noué par le trac, sous les vivats de la foule excitée, entonnant bravement puis avec aisance « New York » après qu’on lui ait arraché son tshirt, exhibant fièrement sa… détermination à la face de l’auditoire ? j’étais fier de ma femme, mesurant son chemin parcouru, l’audace dont elle avait du faire preuve pour oser chanter devant eux.
Les vidéos qui, elles, ont le mérite d’exister, à la différence de l’enregistrement que j’aurais du faire si je n’avais omis d’appuyer sur le bouton « record » de mon superbe appareil digital, sont de qualité inégales tant sur le plan sonore que visuel, si on fait abstraction de la technique de prise de vue, mais il faut dire que les conditions de tournage n’étaient pas aisées. En effet nous avons sous estimés l’influence de l’auditoire sur la propagation des sons, dont les aigus s’estompent très rapidement, et nous n’avions pas pris en compte la faible hauteur de l’estrade qui rendait le spectacle difficile à suivre pour les gens du fond et donc à filmer, pour deux des caméras. N’a également pas été bien mesuré, l’impact du bar sur le degré d’attention de certains qui ont profité de cet intermède musical pour s’abreuver copieusement.
A ce propos saluons la performance des deux barmen de la soirée : Laura et Vincent. Ce dernier a tenu bon jusqu’au bout de la nuit, accumulant ainsi de précieuse connaissances sur les choix de chacun en matière de boissons. Il se propose d’ailleurs de livrer dans ces colonnes et à la gazette locale sa vision de la soirée au travers des consommation servies, dont il a soigneusement noté la nature, les quantités et les bénéficiaires, dans un petit carnet que je tiens à la disposition de tous moyennant une modeste participation aux divers frais occasionnés par la manifestation. Me contacter pour toute transaction.
Tenter de vous raconter la soirée tient de la gageure, tant les évènements se sont télescopés, précipités, enchaînés. Tout cela s’est passé dans une sorte de brouillard dense d’émotions puissantes qui m’ont fait privilégier dans mon souvenir les sensations plutôt que les évènements. Ainsi me reste-t-il très peu d’images du buffet, dont j’ai à peine picoré quelques nems, des gens avec qui j’ai discuté, de celles avec qui j’ai dansé. Tout au plus des clichés fugaces, des impressions. Il est vrai aussi que la sono nous a pas mal occupés, et que choisir un titre parmi dix mille avec un espoir de succès rappelle un peu le grattage d’un tiquet de millionnaire. Félicitations Philou pour avoir tenu la sono avec pugnacité depuis toutes ces années ! En revanche ça nous a permis d’exhumer des titres originaux, des nouveautés, des choses plus personnelles, et nous y avons pris beaucoup de plaisir.
Je me rappelle toutefois le disque d’or qui nous a été offert, résultat de la collaboration étroite du Kéké et de Lolo, et bien sur l’original cadeau en forme de rébus : Un enregistrement en studio pour 10 titres, chez « Jacquot ». Pour le reste, tout est dans l’album photo publié précédemment en plusieurs parties. Quelques images sont toujours plus explicites qu’un long texte, vous y avez revus les « temps forts » de la soirée, et partagé ou retrouvé l’ambiance de ces heures festives.
Sachez toutefois que je fis partie du « dernier carré » avec Pascou et le Kéké. Et que c’est vers 6h que je rendis enfin les armes en compagnie de mon fils aîné, retrouvé in extremis après quelques mois de silence. Ce fut aussi ça le miracle de mes cinquante ans.
Je le sais, comme d’habitude je ne parle que de moi, mais comment avoir l’outrecuidance d’espérer parler au nom des autres ? Ceux que j’aimais étaient autour, ou dormaient déjà, ou rentrés sur Nîmes dans la nuit, bravant pour cela l’épisode cévennol traditionnel de ce début d’octobre. la nuit s’achevait, sereine, apaisée, lavée par l’orage, comme une promesse d’un recommencement, une nouvelle vie, neuve.
Peut être après tout, que cette douce et dolente mélancolie qui a enveloppé le souvenir de ma soirée n’était elle que l’expression d’une angoisse plus profonde : celle générée par la fuite d’une décennie écoulée, pleinement heureuse amicale et joyeuse, parmi les membres de la Compagnie du Cercle qui s’est constituée au fil des ans et qui accompagne et rythme nos semaines. Cette famille reconstituée s’est affirmée comme un besoin, un addiction, une compulsion.
Mais Philou dirait que nous savons rebondir ; notre expérience « Undertakers » en est la preuve concrète, et à travers elle nous avons trouvé de nouvelles citadelles à conquérir, avant que d’être totalement blasés par tant de soirées, évitant la lassitude de la répétition, devenant par la même occasion les acteurs musicaux des soirées des autres !
Nous ne participerons plus uniquement : Nous Fabriquerons la fête !
Après cette conclusion de la fabuleuse Saga de la Saison 1, restez connectés : La saison 2 s’annonce passionnante…
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compte-rendu
mardi 2 octobre 2007
Soirée Woodstock : Le PSUGLI* du Paparazzi
PSUGLI : nom masculin. acronyme de "Petit Supplément Gratuit Luxueusement Illustré".
crédit photos : la hyène
crédit photos : la hyène
lundi 1 octobre 2007
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