Le problème, chez Alain, c’est l’accoustique. J’en discutais encore avec l’ultrabassiste du XXIème Siècle, il y a beaucoup trop de réverbération.
Je renvois donc la famille Jean vers ce lien afin que rapidement nous puissions travailler de manière professionnelle.
Il ne faut pas se cacher la réalité : il y aura des frais. Mais tout ça peut se chiffrer, on peut en discuter. Et je suis sûr que nous trouverons un bon artisan, et un plan de financement adapté. Ce dernier permettra à Alain d’étaler dans le temps les dépenses nécessaires.
On joue trop fort dans ce grand salon, il y a des echos partout, qui se réverbèrent et se croisent,ce qui produit une sorte de mélasse sonore, un sable mouvant musical dans laquelle chacun s’englue et se perd.
A certains moments les décibels sont tels que je dois me faire violence pour ne pas appeler les flics afin qu’ils constatent et verbalisent !
En attendant que tout soit en place pour travailler dans des conditions correctes, et sur la suggestiondu groupe : tout le monde garde ses boites à œufs, on va retapisser les murs !
L’autre gros soucis c’est que nous n’avons pas de bon système d’enregistrement. La prise de son avec un appareil photo, c’est vraiment pas la panacée. Et en corrolaire, il nous manque aussi un bon machino, un gar débrouillard et inventif qui s’occupe de toute la logistique. La prise de son, mais aussi la balance des instruments, et dans la perspective de notre concert, l’éclairage. Nous devons aussi réfléchir aux tenues de scène. Le principe du Tshirt noir avec le logo du groupe semble être retenu.
Trève de plaisanterie (comme disait un lapin dans un carré de luzerne). Le point important c’est que Pierrot a travaillé comme un fou pour nous composer de nouveaux « lyrics ». Le premier pour l’ECOLOSONG de Pascou, le second, un blues, pour mon SPAM.
dimanche 4 mars 2007
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