
On connait le Barde de Stratford upon Avon, ce bon vieux William. Mais je préfère le Barde de l’Impasse des Clématites. Il a quand même plus de gueule en costume, et sa classieuse immobilité semble dissimuler des profondeurs insoupçonnées dont aurait pu s’inspirer Shakespeare dans une de ses tragédies. Et puis y a pas tableau, même avec des fanfreluches, notre Jésou ne peut être confondu avec une tarlouze. Il y a du Depardieu dans cette virile posture.

3 commentaires:
C'est quand même bien les congés, je suis en ce moment assis à la terrase du Napo, il fait beau, je regarde passer les gens. C'est agréable
Tu devrais essayer de t'asseoir dans un pré et regarder passer les trains .Ma copine Margueritte m'en a dit beaucoup de bien.
P.
Pas besoin, je monte dans le "Train de la Vie" plusieurs fois par jour, et je regarde défiler les bovins..
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