.... Mais au culte du Karaoke, Catherine Rollin fut incontestablement la Grande Prêtresse, ainsi que ses deux acolytes Philou et Valérie Pfeiffer.
Bien que cette dernière fut aussi au coté de Lolo, éphémère effeuilleuse, l'une des aquatiques Égéries de notre Baoulinda de Camplanier, nageur émérite en bassin de 15 mètres à fond glissant. On soulignara les talents de limier de notre expert comptable puisqu'il lui fallut moins de 45 minutes pour retrouver son autre chaussure.
Mention spéciale pour le pizzaiolo/grilladin de la soirée, notre Mezzasalmesque Eric dont on se souviendra du poulet à la plancha sauce basilic.
Il est vrai que la célèbre soupe de champagne de Sylvie nous avait agréablement mis en appétit.
Bon.. je crois que j'ai fait le tour..
samedi 31 juillet 2010
vendredi 30 juillet 2010
Les Guitares Improbables de P.
P. n’en finit pas de rechercher son style ; il est obsédé par la recherche « du » son qui parmi des milliers d’autres caractérisera à coup sur le Leader des UFR. Mais au delà de cette exploration acoustique, c’est aussi au niveau du look que s’étend sa quête esthétique. Ainsi au long de ces colonnes avez-vous pu entrapercevoir les plus improbables guitares qui furent l’objet de son attention.
Cette fois-ci, c’est son coté sportif qu’il veut mettre en avant, en exhibant cette guitare-surf.
« Et je prévois un jeu de scène en rapport » m’a-t-il confié exalté. « En fin de solo, a-t-il poursuivi, « je me déchausse, j’arrache mon pantalon et ma chemise pour exhiber un bermuda Hawaïen, et je monte sur ma guitare-planche En jouant avec un bottle neck enfilé autour de mon gros orteil tandis-que le Barde m’accompagnera au ukulélé, "et là je me laisserai glisser dans la foule sur laquelle j'avancerai au dessus de leur bras tendus comme le surfeur domine la vague qui déferle sur la plage tropicale.
Passons sur le délire mégalo.. au final, ce que je vois c'est que ce sera encore un enquestre qu’il va falloir se farcir lors des transports de matos pour nos concerts.
Moi je vous préviens : Je refuse de la charger dans ma 107.
Libellés :
guit'art,
photomontage,
Pierrot
jeudi 29 juillet 2010
mercredi 28 juillet 2010
Easy Rider
Le chanteur des UFR est un fan de ce film culte du tout début des années 70 (1969 pour être précis) de et avec Denis Hoper, avec également Peter Fonda et Jack Nicholson.
Avec cette bande-son mythique et le rageur Born To Be Wild de Steppenwolf qui comme On the Road Again de Canned Heat, ou Take The Wild Side Of The Road (Lou Reed) nous évoque immanquablement cette période bénie, cet âge d'or d'un certain way of life en marge des valeurs conservatrices, lesquelles répandent leurs relents fétides dans l'involution de notre propre société contemporaine et ses "valeurs" moralisatrices post pétainistes.
C'est pourquoi Le Sage s'apprête tel un Kerouac du XXIè siècle à prendre la route sur son CHAPPY. "Captain America" comme il aime à s'appeler, invite les tarlouzes nîmoises et leur trapadelles japonaises à gros cylindres, à le suivre jusqu'au bout de.... Mais ce n'est pas la peine, ces bourgeois nantis ne pourront jamais approcher l'esprit rimbaldien des seventies, qui anime l'oeuvre des Fossoyeurs.
Born to be Wiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiild !
mardi 27 juillet 2010
Le Récit de La Secte des Concombres, Par SD
Le rapport circonstancié de la soirée Unit, par notre Reportrice sur le terrain SD.
Concombre :
Mardi 27 juillet 2010 :
Je reviens dans ma petite boutique pour une semaine de labeur.
Pour me mettre du baume au cœur je me précipite sur mon PC. Je fonce sur le blog des Undertakers pour y trouver quelques commentaires croustillants ou des photos édifiantes. Ah, ben ça, pour être édifiantes elles sont édifiantes !!! Je crois bien que c'est le pompon !
Reprenons depuis le début.
Arrivée chez les Unit vers 20h30.
Jusque là tout va bien.
Le maître des lieux sert à ses convives (12 au total, Françoise étant restée chez elle pour cause de nausées) un rhum garni d'une salade de menthe. (Ndlr : communément appelé Morito)
Au bout de 3 verres tout le monde semble à l'aise, bien dans ses baskets. Les Vassas ont l'air heureux, le Baou et son épouse se chamaillent pour savoir qui prendra le volant au retour, JP le mari -de-la-femme-malade commence à exciter le chien qui très réceptif, ramène à toute vitesse son gros ballon, Catou s'inquiète de ses trous de mémoire, ne se rappelant pas qu'elle s'est baignée nue devant tout le monde, dans sa propre piscine, la semaine auparavant, quant à Poun , il est un peu à l'écart du groupe, essayant désespérément de lire un message sur son nouveau portable tout-neuf-de-l'après-midi. Il grommelle, il n'y arrive pas, d'abord parce qu'il ne voit plus clair. Hé oui !!! Son grand âge le trahit mais il refuse de porter des lunettes adaptées, prétextant qu'il lui suffit de déchausser celle qu'il porte d'habitude, pour y voir !!!! Mon œil !
Quant à Mitch, il caresse avec douceur l'épaule de son épouse, quand quelqu'un lance : " Ah, quand il caresse sa femme de cette façon, c'est qu'il a soif!!!"
Aussitôt dit, aussitôt fait, l'Hôte des lieux lui ressert un petit verre.
Jusque là, rien à dire.
La maîtresse de maison nous invite à prendre place à table.
Elle monte à l'étage et redescend avec un grand panier grillagé empli de crudités, œufs et pommes de terre, puis de gros bols d'anchoïade et de vinaigrette, une tentante mayonnaise et un saladier de crevettes...roses
Nous nous plaçons au gré du vent.
Je me retrouve entre deux beaux gaillards : Poun et Jean-Paul.
Poun grommelle toujours, quant à Jean-paul, il est pris d'éternuements intempestifs : il m'explique qu'il attrape froid quand il est sur les toits en plein soleil (?), d'où son surnom pour le reste de la soirée : JP « la chatte sur un toit brûlant »....
Nous commençons par essayer d'allumer des bougies flottantes non pas installées dans des photophores mais dans de grands verres... Pas facile !!! C'est à celui qui y arrivera en premier. En plus, il ne suffit pas d'allumer sa bougie, mais encore faut-il l'introduire dans le verre rempli d'eau ; Après, il faut bien évidemment qu'elle reste allumée le plus longtemps possible... Je me fais aider par Poun qui n'est pas plus doué dans l'allumage des bougies que dans la lecture des messages de son superbe téléphone.
Cette expérience, parfois dangereuse, nous prendra bien un quart d'heure.
L'alcool commence à faire son effet...
On se précipite sur les victuailles.
De mauvais coucheurs râlent car il faut soi-même écaler ses œufs, éplucher ses pommes de terre...mais quand arrive le moment de trancher le concombre, alors c'est le Baou (très en forme) qui prend les rênes : Et que je te tranche, et que je te tranche…
Puis vient le moment où notre secte commémore sa naissance : tout le monde pose la fameuse tranche sur son front. Nous nous apercevons que la fraicheur du concombre tient longtemps. Parfois quelques tranches ne restent pas bien en place ; elles glissent vers nos yeux écarquillés et là quelqu'un lance : "ceux qui ont des lunettes, qu'ils mettent leur tranche derrière leurs verres (de lunettes).
L'on s'exécute : l'horreur.... OUI, c'est digne d'un film d'horreur !
Malgré l'opacité de la crudité on arrive à voir nos iris ! Poun dit alors " Je comprends mieux que cela n'aie pas dû être facile tous les jours pour Gilbert Montagné !!!! " Là, c'en est trop; je pique un fou-rire et je suis obligée de m'absenter quelques secondes pour reprendre ma respiration.
On décide de faire des grillades : Le Baou saute sur une crevette et dans un élan Bocusien, empale la pauvre bête et la pose sur la bougie censée éloigner les moustiques. Une crevette sauce citronnelle !!! Du jamais vu !
Le vent souffle de plus en plus. Les gens du Sud, c'est bien connu, sont frileux. Aussi, la maîtresse de maison va-t-elle chercher quelques châles pour ses invités. Pendant ce temps, nous nous introduisons dans le garage pour y trouver quelques frusques.
Le Baou ressort avec un soutien-gorge, le Fred aussi mais il a rajouté un élégant slip sur sa tête.
Pour le coup, il ressemble à un aviateur des premières heures, d'où son surnom pour le reste de la soirée : Lindbergh !
Les châles s'enfilent ; (ndlr : contrepèterie possible ?) deux chapeaux aussi (ndlr : je suis contre la zoophilie chapelière). Un blanc sur la tête à Mitch qui selon la force du vent le fait ressembler à un pizzaïolo, ou à un corsaire, ou à Eddie Barclay lors des ses soirées blanches, ou, mais là ce fut très fugace, à Grace Kelly dans ses premiers rôles. Quant au Baou, lui, il enfile un superbe chapeau noir provenant d'une fameuse petite boutique nîmoise, mais fâcheusement, il fait penser à un vieil homosexuel sur le retour, ce qui paraît du goût de l'hôte des lieux qui lui fait part de ses intentions : " Fais gaffe, tu m'excites avec la tenue de ma femme!!!!!"
Et là, on entend une petite voix toute penaude qui dit: "préviens-moi, avant, parce que, moi, je porte son slip...à ta femme!" l’index pointé vers le sommet de son crâne.
C'est notre pilote qui n'en mène pas large.
Poun endosse un châle blanc rayé de rouge. Il a déjà mis son chapeau de scène et là....l'apparition d'un vieux juif me saute au visage, d'autant plus qu'il est toujours en train d'essayer de faire fonctionner son terrible engin (ndlr : l’iphone), ses lunettes sur le bout du nez, râlant comme un perdu : on dirait Kopek (ndlr : Popeck) !
Tout d'un coup, l'ambiance s'étant érotisée, Le Baou et la maîtresse de maison déguisée en Chaperon Rouge, se mettent en tête de téléphoner à un de nos amis proches, résidant pour les vacances sur une île, et de lui chanter une petite fredaine qu’ils viennent d'inventer en son honneur. La répétition est laborieuse. Mais au bout de quelques minutes, tout est comment dire....heu...accordé. Oui, vraiment une jolie chanson très émouvante, très romantique dont tous les vers se terminent en I.T.E
Un numéro de téléphone est composé, la chanson est chantée pour ne pas dire hurlée!
(J'ouvre une parenthèse : J’ai eu ce week-end le destinataire de la chanson qui n'a jamais reçu la chanson....Pourvu que ce ne soit pas la Mère de celui-ci qui réceptionne le message ! Sinon, vous êtes dans de beaux draps, les gars!)
Après cet intermède musical, le fromage arrive, suivi d'un fort goûteux crumble.
Nous attendons dès lors, le retour des deux jeunes tourtereaux (la Fille de la maison et son Amoureux) pour pouvoir les introniser à leur tour.
Soudain, on entend le bruit d'une Mini, tout le monde s'arrête. On parle à voix basse de choses très sérieuses ; c'est alors que le Baou apprend que la Mère de l'Amoureux travaille peut-être avec lui. Il rentre entièrement dans son chapeau pour ne pas être reconnu !
Les jeunes arrivent enfin dans le jardin.......médusés, ils sont médusés. On arrive difficilement à coller une tranche de la cucurbitacée sur le front virginal de la jeune fille qui pousse un cri d'otarie, puis elle monte se réfugier dans la cuisine, suivie de près par son Amoureux qui n'en croit pas ses yeux ni ses oreilles.
Tous les convives s'empressent dans la cuisine. Puis vient l'heure de la visite du water-closet de la famille nouvellement repeint : couleur heu...brun. Quelques tableaux émaillent cette teinte profonde, ainsi que le lave-mains et bien évidemment la cuvette d'aisance. Fin de la visite.
Nous revenons dans la cuisine et là, on décide à contrecœur de se quitter, en espérant se retrouver très vite pour un nouvel épisode de délire comme on sait si bien les vivre.
On redescend donc, on s'embrasse, JJ rentre en râlant la Mini. Le Chaperon rouge se retrouve avec un tas de couvertures sur les bras. Chacun prend son véhicule. Le Baou et son épouse en sont toujours au même point : qui prendra le volant ?
Et nous partons chacun dans notre direction......
Qui a dit qu'un fou rire valait un bifteck? Ce soir là, j'ai pris au moins 5 kilos !!!!
C'est malin!
Concombre :
Mardi 27 juillet 2010 :
Je reviens dans ma petite boutique pour une semaine de labeur.
Pour me mettre du baume au cœur je me précipite sur mon PC. Je fonce sur le blog des Undertakers pour y trouver quelques commentaires croustillants ou des photos édifiantes. Ah, ben ça, pour être édifiantes elles sont édifiantes !!! Je crois bien que c'est le pompon !
Reprenons depuis le début.
Arrivée chez les Unit vers 20h30.
Jusque là tout va bien.
Le maître des lieux sert à ses convives (12 au total, Françoise étant restée chez elle pour cause de nausées) un rhum garni d'une salade de menthe. (Ndlr : communément appelé Morito)
Au bout de 3 verres tout le monde semble à l'aise, bien dans ses baskets. Les Vassas ont l'air heureux, le Baou et son épouse se chamaillent pour savoir qui prendra le volant au retour, JP le mari -de-la-femme-malade commence à exciter le chien qui très réceptif, ramène à toute vitesse son gros ballon, Catou s'inquiète de ses trous de mémoire, ne se rappelant pas qu'elle s'est baignée nue devant tout le monde, dans sa propre piscine, la semaine auparavant, quant à Poun , il est un peu à l'écart du groupe, essayant désespérément de lire un message sur son nouveau portable tout-neuf-de-l'après-midi. Il grommelle, il n'y arrive pas, d'abord parce qu'il ne voit plus clair. Hé oui !!! Son grand âge le trahit mais il refuse de porter des lunettes adaptées, prétextant qu'il lui suffit de déchausser celle qu'il porte d'habitude, pour y voir !!!! Mon œil !
Quant à Mitch, il caresse avec douceur l'épaule de son épouse, quand quelqu'un lance : " Ah, quand il caresse sa femme de cette façon, c'est qu'il a soif!!!"
Aussitôt dit, aussitôt fait, l'Hôte des lieux lui ressert un petit verre.
Jusque là, rien à dire.
La maîtresse de maison nous invite à prendre place à table.
Elle monte à l'étage et redescend avec un grand panier grillagé empli de crudités, œufs et pommes de terre, puis de gros bols d'anchoïade et de vinaigrette, une tentante mayonnaise et un saladier de crevettes...roses
Nous nous plaçons au gré du vent.
Je me retrouve entre deux beaux gaillards : Poun et Jean-Paul.
Poun grommelle toujours, quant à Jean-paul, il est pris d'éternuements intempestifs : il m'explique qu'il attrape froid quand il est sur les toits en plein soleil (?), d'où son surnom pour le reste de la soirée : JP « la chatte sur un toit brûlant »....
Nous commençons par essayer d'allumer des bougies flottantes non pas installées dans des photophores mais dans de grands verres... Pas facile !!! C'est à celui qui y arrivera en premier. En plus, il ne suffit pas d'allumer sa bougie, mais encore faut-il l'introduire dans le verre rempli d'eau ; Après, il faut bien évidemment qu'elle reste allumée le plus longtemps possible... Je me fais aider par Poun qui n'est pas plus doué dans l'allumage des bougies que dans la lecture des messages de son superbe téléphone.
Cette expérience, parfois dangereuse, nous prendra bien un quart d'heure.
L'alcool commence à faire son effet...
On se précipite sur les victuailles.
De mauvais coucheurs râlent car il faut soi-même écaler ses œufs, éplucher ses pommes de terre...mais quand arrive le moment de trancher le concombre, alors c'est le Baou (très en forme) qui prend les rênes : Et que je te tranche, et que je te tranche…
Puis vient le moment où notre secte commémore sa naissance : tout le monde pose la fameuse tranche sur son front. Nous nous apercevons que la fraicheur du concombre tient longtemps. Parfois quelques tranches ne restent pas bien en place ; elles glissent vers nos yeux écarquillés et là quelqu'un lance : "ceux qui ont des lunettes, qu'ils mettent leur tranche derrière leurs verres (de lunettes).
L'on s'exécute : l'horreur.... OUI, c'est digne d'un film d'horreur !
Malgré l'opacité de la crudité on arrive à voir nos iris ! Poun dit alors " Je comprends mieux que cela n'aie pas dû être facile tous les jours pour Gilbert Montagné !!!! " Là, c'en est trop; je pique un fou-rire et je suis obligée de m'absenter quelques secondes pour reprendre ma respiration.
On décide de faire des grillades : Le Baou saute sur une crevette et dans un élan Bocusien, empale la pauvre bête et la pose sur la bougie censée éloigner les moustiques. Une crevette sauce citronnelle !!! Du jamais vu !
Le vent souffle de plus en plus. Les gens du Sud, c'est bien connu, sont frileux. Aussi, la maîtresse de maison va-t-elle chercher quelques châles pour ses invités. Pendant ce temps, nous nous introduisons dans le garage pour y trouver quelques frusques.
Le Baou ressort avec un soutien-gorge, le Fred aussi mais il a rajouté un élégant slip sur sa tête.
Pour le coup, il ressemble à un aviateur des premières heures, d'où son surnom pour le reste de la soirée : Lindbergh !
Les châles s'enfilent ; (ndlr : contrepèterie possible ?) deux chapeaux aussi (ndlr : je suis contre la zoophilie chapelière). Un blanc sur la tête à Mitch qui selon la force du vent le fait ressembler à un pizzaïolo, ou à un corsaire, ou à Eddie Barclay lors des ses soirées blanches, ou, mais là ce fut très fugace, à Grace Kelly dans ses premiers rôles. Quant au Baou, lui, il enfile un superbe chapeau noir provenant d'une fameuse petite boutique nîmoise, mais fâcheusement, il fait penser à un vieil homosexuel sur le retour, ce qui paraît du goût de l'hôte des lieux qui lui fait part de ses intentions : " Fais gaffe, tu m'excites avec la tenue de ma femme!!!!!"
Et là, on entend une petite voix toute penaude qui dit: "préviens-moi, avant, parce que, moi, je porte son slip...à ta femme!" l’index pointé vers le sommet de son crâne.
C'est notre pilote qui n'en mène pas large.
Poun endosse un châle blanc rayé de rouge. Il a déjà mis son chapeau de scène et là....l'apparition d'un vieux juif me saute au visage, d'autant plus qu'il est toujours en train d'essayer de faire fonctionner son terrible engin (ndlr : l’iphone), ses lunettes sur le bout du nez, râlant comme un perdu : on dirait Kopek (ndlr : Popeck) !
Tout d'un coup, l'ambiance s'étant érotisée, Le Baou et la maîtresse de maison déguisée en Chaperon Rouge, se mettent en tête de téléphoner à un de nos amis proches, résidant pour les vacances sur une île, et de lui chanter une petite fredaine qu’ils viennent d'inventer en son honneur. La répétition est laborieuse. Mais au bout de quelques minutes, tout est comment dire....heu...accordé. Oui, vraiment une jolie chanson très émouvante, très romantique dont tous les vers se terminent en I.T.E
Un numéro de téléphone est composé, la chanson est chantée pour ne pas dire hurlée!
(J'ouvre une parenthèse : J’ai eu ce week-end le destinataire de la chanson qui n'a jamais reçu la chanson....Pourvu que ce ne soit pas la Mère de celui-ci qui réceptionne le message ! Sinon, vous êtes dans de beaux draps, les gars!)
Après cet intermède musical, le fromage arrive, suivi d'un fort goûteux crumble.
Nous attendons dès lors, le retour des deux jeunes tourtereaux (la Fille de la maison et son Amoureux) pour pouvoir les introniser à leur tour.
Soudain, on entend le bruit d'une Mini, tout le monde s'arrête. On parle à voix basse de choses très sérieuses ; c'est alors que le Baou apprend que la Mère de l'Amoureux travaille peut-être avec lui. Il rentre entièrement dans son chapeau pour ne pas être reconnu !
Les jeunes arrivent enfin dans le jardin.......médusés, ils sont médusés. On arrive difficilement à coller une tranche de la cucurbitacée sur le front virginal de la jeune fille qui pousse un cri d'otarie, puis elle monte se réfugier dans la cuisine, suivie de près par son Amoureux qui n'en croit pas ses yeux ni ses oreilles.
Tous les convives s'empressent dans la cuisine. Puis vient l'heure de la visite du water-closet de la famille nouvellement repeint : couleur heu...brun. Quelques tableaux émaillent cette teinte profonde, ainsi que le lave-mains et bien évidemment la cuvette d'aisance. Fin de la visite.
Nous revenons dans la cuisine et là, on décide à contrecœur de se quitter, en espérant se retrouver très vite pour un nouvel épisode de délire comme on sait si bien les vivre.
On redescend donc, on s'embrasse, JJ rentre en râlant la Mini. Le Chaperon rouge se retrouve avec un tas de couvertures sur les bras. Chacun prend son véhicule. Le Baou et son épouse en sont toujours au même point : qui prendra le volant ?
Et nous partons chacun dans notre direction......
Qui a dit qu'un fou rire valait un bifteck? Ce soir là, j'ai pris au moins 5 kilos !!!!
C'est malin!
lundi 26 juillet 2010
dimanche 25 juillet 2010
Reunion Annuelle de La Secte du Concombre
Les membres de la Secte du Concombre se sont de nouveau rassemblés chez les Unit ce samedi. Il semble que cette manifestation devienne un incontournable des rencontres estivales et soit promise à un brillant avenir tant les participants ont plébiscite la formule.
Lors de la soirée, placée sous le double signe du Morito et de l'Anchoïade, c'est sans conteste le concombre qui fut à l'honneur, comme ne manqueront pas d'en témoigner les nouveaux impétrants intronisés par notre Gourou Baoulinda particulièrement en forme.
Les temps forts furent nombreux, dont je n'en doute pas notre nouvelle reportrice au coeur de l'action la mystérieuse SD saura nous faire un récit coloré et exhaustif dans ces colonnes...
Lors de la soirée, placée sous le double signe du Morito et de l'Anchoïade, c'est sans conteste le concombre qui fut à l'honneur, comme ne manqueront pas d'en témoigner les nouveaux impétrants intronisés par notre Gourou Baoulinda particulièrement en forme.
Les temps forts furent nombreux, dont je n'en doute pas notre nouvelle reportrice au coeur de l'action la mystérieuse SD saura nous faire un récit coloré et exhaustif dans ces colonnes...
samedi 24 juillet 2010
La Cale A Bière
Pour se désaltérer après le concert le chanteur des Fossoyeurs se rend désormais dans cet établissement, lequel devrait être déclaré d'utilité publique !
Rendez-vous à la Cale à Bière, près du Carrefour de la route d'Arles :
Accueil chaleureux, vaste choix de boissons pétillantes de toutes teintes et origines, parmi plus de 400 Références à consommer sur place ou à emporter.
Détail amusant : les bouteilles sont consignées ! Choix écologique ou volonté de fidéliser une clientèle retenue captive à coup (coût) de 10 centimes par bouteille rapportée ?
En tous cas, ça me rappelle ma jeunesse, quand nous ramenions les bouteilles étoilées à l'épicerie du coin...
Le retour des verres consignés : ça c'est vert et rockn'roll !
Ecolo mais pas rétro, La Cale a Bière a une devanture sur Facebook également qui vous renseigne sur les différents arrivages..
Repas Au Darling
Les Richebois et les Mazet ont invité ce vendredi soir les Unit afin de remercier Domi pour son coaching efficace de leurs chères têtes blondes à l'occasion des épreuves de français du bac. Le menu découverte fut excellent, agrémenté d'une multitudes de bricoles servies entre les plats, accompagné de la cuvée 2008 d'un rouge de la Bergerie de l'Hortus somptueux.
Saluons au passage Pascou pour le superbe geste technique final sur la timbale de fruits rouges dont il renversa l'intégralité du contenu en un seul et souple mouvement. D'une manière générale, et les maîtresses de maison ne me contrediront pas, Notre UltraBassiste aime bien honorer de sa marques les nappes des meilleures tables nîmoises. C'est une manière de délimiter son territoire, un peu comme le prédateur urine aux endroits stratégiques afin de signifier aux congénères que la chasse est gardée.
Mais jamais je ne l'avais vu à ce point culminer dans cette activité. D'habitude il se contente de planter des coups de couteau ou de fourchette, ou encore d'émietter le pain, ou de dépiauter un ou deux bouchons avant d'en disperser les dépouilles alentour. Parfois aussi il lacère puis éparpille les serviettes en papier. On le voit le champ de son imagination dans cette entreprise singulière de dévastation de table est infini, et tout artefact à proximité de son espace vital peut devenir un instrument de sa distraction.
Dans le cas qui nous intéresse, chapeau l'artiste : la barre a été placée très haut ; il sera difficile de faire mieux.
Saluons au passage Pascou pour le superbe geste technique final sur la timbale de fruits rouges dont il renversa l'intégralité du contenu en un seul et souple mouvement. D'une manière générale, et les maîtresses de maison ne me contrediront pas, Notre UltraBassiste aime bien honorer de sa marques les nappes des meilleures tables nîmoises. C'est une manière de délimiter son territoire, un peu comme le prédateur urine aux endroits stratégiques afin de signifier aux congénères que la chasse est gardée.
Mais jamais je ne l'avais vu à ce point culminer dans cette activité. D'habitude il se contente de planter des coups de couteau ou de fourchette, ou encore d'émietter le pain, ou de dépiauter un ou deux bouchons avant d'en disperser les dépouilles alentour. Parfois aussi il lacère puis éparpille les serviettes en papier. On le voit le champ de son imagination dans cette entreprise singulière de dévastation de table est infini, et tout artefact à proximité de son espace vital peut devenir un instrument de sa distraction.
Dans le cas qui nous intéresse, chapeau l'artiste : la barre a été placée très haut ; il sera difficile de faire mieux.
mercredi 21 juillet 2010
Il Y A Trois Siècles..
C'est pas d'hier les problèmes de réglage. déja les musicos de l'époque se posaient les mêmes questions existentielles sur le "Son Parfait".
Libellés :
guit'art,
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mardi 20 juillet 2010
Annif de Bascoo : Un Début de Soirée Façon Patronnage
Bon... vous avez lu le compte-rendu de la dernière partie de soirée. Assez émoustillant ma fois.
C'est pourquoi le texte de la chanson de première partie de soirée, à chanter sur l'air de Baloo dans Mowgli la Waltdisneysque animation, et que nous devons au talent de P., après les moments torrides brossés par SD, risque de faire légèrement contraste malgré ses indéniables qualités artistiques.
Avec mes oreilles clignotantes, je comprends rétrospectivement que je ne pouvais lutter contre les apparitions humides de naïades aux salières érotiques et hospitalières.
Pour tout dire c'est à se demander s'il s'agissait de la même soirée !
C C7 F F7
On peut être vieux et être heureux, vraiment très vieux et être heureux
C A7 D7 G7
Il faut se satisfaire du nécessaire
C C7 F F7
2-3 glaçons dans un whisky, entouré de quelques amis
C A7 D7 G7 C
Un' poignée de cacahuètes et c'est la fête
G7 C
Notre cher Pascou l'a bien compris
G7 C C7
C'est d'ailleurs pour ça qu'on est ici
F Fm C D7
Alors levons bien haut nos verres, pour fêter son anniversaire
D7
Tous ensemble nous allons trinquer
G7
A ses cinquante et quelques années
D7 G7 C
On peut être vieux, très vieux et être heureux
C C7 F F7
On peut être vieux et être heureux, vraiment très vieux et être heureux
C A7 D7 G7
Chassez de vos esprits tout vos soucis
C C7 F F7
Prenez la vie du bon coté, riez, sautez, dansez, chantez
C A7 D7 G7 C
Et vous s'rez un Pascou très bien léché
C'est pourquoi le texte de la chanson de première partie de soirée, à chanter sur l'air de Baloo dans Mowgli la Waltdisneysque animation, et que nous devons au talent de P., après les moments torrides brossés par SD, risque de faire légèrement contraste malgré ses indéniables qualités artistiques.
Avec mes oreilles clignotantes, je comprends rétrospectivement que je ne pouvais lutter contre les apparitions humides de naïades aux salières érotiques et hospitalières.
Pour tout dire c'est à se demander s'il s'agissait de la même soirée !
C C7 F F7
On peut être vieux et être heureux, vraiment très vieux et être heureux
C A7 D7 G7
Il faut se satisfaire du nécessaire
C C7 F F7
2-3 glaçons dans un whisky, entouré de quelques amis
C A7 D7 G7 C
Un' poignée de cacahuètes et c'est la fête
G7 C
Notre cher Pascou l'a bien compris
G7 C C7
C'est d'ailleurs pour ça qu'on est ici
F Fm C D7
Alors levons bien haut nos verres, pour fêter son anniversaire
D7
Tous ensemble nous allons trinquer
G7
A ses cinquante et quelques années
D7 G7 C
On peut être vieux, très vieux et être heureux
C C7 F F7
On peut être vieux et être heureux, vraiment très vieux et être heureux
C A7 D7 G7
Chassez de vos esprits tout vos soucis
C C7 F F7
Prenez la vie du bon coté, riez, sautez, dansez, chantez
C A7 D7 G7 C
Et vous s'rez un Pascou très bien léché
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Pierrot,
song,
texte
Un Récit Qui ne Manque Pas de Sel...
Ce compte-rendu plein de verve, de notre correspondante au coeur de l'action, sur la fin de soirée à Ritchwood Hall.
Ceci s'adresse à l'Inspecteur :
Pour ce qui est des baigneurs dénudés.....je balance : il y avait deux femmes et deux hommes, dont un couple dans la vie et l'autre pas...... Ils avaient éteint toutes les lumières pour qu'on ne les voit pas....Ils poussaient parfois de petits cris bizarres. L'une des femmes est enfin sortie de l'onde, gironde, et a fortement émoustillé un Artiste présent sur les lieux, qui depuis, ne jure plus que par elle et qui veut absolument l'avoir prochainement comme modèle. Il a remarqué que la Femme avait un joli décolleté, des épaules magnifiques et deux jolies petites salières érotiques. D'ailleurs dans les hauts lieux de la bourgeoisie nimoise on ne parle plus que de"La Muse-à-Bellot".
Tout ceci a déclenché une sorte de grand émoi chez les autres hommes de la soirée. Soudain, ils (pronom très indéfini) ont décidé de détaillé les salières des femmes présentes, en commençant par la femme gironde. Et puis il fût question d'un grand jeu avec un alcool frappé bu avec précipitation, en ayant eu grand soin de se rincer les dents dans un citron vert, puis de lécher goulûment les salières des dames, remplies bien évidemment de ...sel!!!! Drôle de jeu !!!!
Dans l'assistance, de grands cris de guerre étaient lancés. Puis soudain, l'Artiste exigea qu'on lui léchât la salière. Il criait : "Ca, c'est un truc moyenâgeux, je veux qu'on me le fasse!" Sur ces paroles,il se déshabilla et là, nous vîmes avec une certaine horreur que sa salière étaient......poilue !!!!!!
Je ne me rappelle plus qui s'est dévoué mais l'Artiste parut déçu. Il lança un : " Je n'ai rien senti.." Un notable lui répondit... mais là, la décence m'empêche de relater la phrase.
Nous nous quittâmes après un grand nettoyage de nombreuses salières. Certains étaient très joyeux et on ne sait plus s'ils récuraient des salières ou des conduits auditifs.
Voilà, Inspecteur Baoulinda, j'espère vous avoir éclairé pour que vous puissiez mener votre enquête, au mieux; Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire
SD
Ceci s'adresse à l'Inspecteur :
Pour ce qui est des baigneurs dénudés.....je balance : il y avait deux femmes et deux hommes, dont un couple dans la vie et l'autre pas...... Ils avaient éteint toutes les lumières pour qu'on ne les voit pas....Ils poussaient parfois de petits cris bizarres. L'une des femmes est enfin sortie de l'onde, gironde, et a fortement émoustillé un Artiste présent sur les lieux, qui depuis, ne jure plus que par elle et qui veut absolument l'avoir prochainement comme modèle. Il a remarqué que la Femme avait un joli décolleté, des épaules magnifiques et deux jolies petites salières érotiques. D'ailleurs dans les hauts lieux de la bourgeoisie nimoise on ne parle plus que de"La Muse-à-Bellot".
Tout ceci a déclenché une sorte de grand émoi chez les autres hommes de la soirée. Soudain, ils (pronom très indéfini) ont décidé de détaillé les salières des femmes présentes, en commençant par la femme gironde. Et puis il fût question d'un grand jeu avec un alcool frappé bu avec précipitation, en ayant eu grand soin de se rincer les dents dans un citron vert, puis de lécher goulûment les salières des dames, remplies bien évidemment de ...sel!!!! Drôle de jeu !!!!
Dans l'assistance, de grands cris de guerre étaient lancés. Puis soudain, l'Artiste exigea qu'on lui léchât la salière. Il criait : "Ca, c'est un truc moyenâgeux, je veux qu'on me le fasse!" Sur ces paroles,il se déshabilla et là, nous vîmes avec une certaine horreur que sa salière étaient......poilue !!!!!!
Je ne me rappelle plus qui s'est dévoué mais l'Artiste parut déçu. Il lança un : " Je n'ai rien senti.." Un notable lui répondit... mais là, la décence m'empêche de relater la phrase.
Nous nous quittâmes après un grand nettoyage de nombreuses salières. Certains étaient très joyeux et on ne sait plus s'ils récuraient des salières ou des conduits auditifs.
Voilà, Inspecteur Baoulinda, j'espère vous avoir éclairé pour que vous puissiez mener votre enquête, au mieux; Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire
SD
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lundi 19 juillet 2010
UMT : Undertakers Meridian Time
La photo de la montre offerte à chacun des Fossoyeurs par une généreuse admiratrice "bien connue sur la place de Nîmes" dont l'activité au confin du commerce et de la mode se traduit par cet accessoire de cuir clouté orné d'une montre au cadran évocateur et désormais emblématique de notre groupe.
Merci à S.D. pour l'a propos de ce cadeau, qui me premettra de minuter au plus juste chacune de nos compos tout en brandissant un micro rageur...
Merci à S.D. pour l'a propos de ce cadeau, qui me premettra de minuter au plus juste chacune de nos compos tout en brandissant un micro rageur...
dimanche 18 juillet 2010
samedi 17 juillet 2010
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